Pays Pauvres Et Pays Riche Face Au Risque Naturels

René SANDRETTO. 03.02.2011 Pourquoi les pays décident-ils de s'engager dans des relations d'échanges ? Plusieurs explications ont été apportées au fil de l'Histoire. Mais trois questions en particulier ont intéressé les économistes : ◦ Pourquoi les nations commercent-elles ? Comment expliquer le développement du commerce international et de la spécialisation ? La spécialisation signifie que l'on décide de se spécialiser dans certaines activités. Ces mêmes activités vont progresser plus rapidement

professionnels en Europe et dans les pays producteurs. D’où provient ce sentiment négatif devant ce qui est, après tout, un effort remarquable de personnes qui se dévouent noblement pour construire ce qui est peut être un début de solution au problème de dizaines de millions de paysans? Car nous sommes en effet face à un vrai problème. La baisse des cours des productions agricoles est une réalité tangible qui concerne d’ailleurs aussi bien les des pays développés que les pays dits émergents.  La situation

Le but de ces produits, est d’assurer la meilleure santé possible des hommes, et de les soigner lorsqu’ils sont malades. L’efficacité n’est aujourd’hui, théoriquement, plus à démontrer. Comme le montre l’accroissement de l’espérance de vie dans les pays développés, qui sont les plus gros consommateurs pharmaceutiques. Cependant il n’est pas rare que l’efficacité de certains de leurs produits soit à revoir. Il arrive souvent que des études démontrent que certains médicaments n’ont aucune influence

réponses (maximiser le profit, bien-être économique et social…) se rapprocherait d’une notion extrêmement importante voire indispensable au capitalisme : la croissance économique1. En effet, le progrès, la prospérité sont des intérêts tout à fait naturels chez « l’homme capitaliste » qui veut quasiment toujours voir son stock de capital augmenté indéfiniment, et cela au détriment de ses compatriotes2 parfois (ce fût le cas des mercantilistes commercial, bullionistes et colbertistes). De nos jours

l’incertitude concernant son état de santé. Pendant plusieurs semaines, dans un contexte politique inquiétant, l’absence du président Yar’ Adua a donné une impression de paralysie du pouvoir exécutif. Cette situation aurait pu aboutir sur à déstabilisation du pays et un coup d’état militaire. Pourtant, c’est la nomination de G. Jonathan à la présidence par intérim qui est intervenue, solution respectant en apparence le cadre institutionnel. Si le contexte a joué un rôle important dans cette nomination, c’est

I.LES FONDEMENTS FAVORABLES AU TOURISMES 1. Les fondements naturels Le brésil est un pays de l’Amérique du sud. Cinquième de par sa superficie, il est bordé à l’Est par l’océan atlantique et s’étend vers l’intérieur du continent le long des bassins hydrographiques des fleuves Amazone et Parana. Son territoire peut schématiquement se diviser en principales zones : la moitié nord-ouest du pays se constitue des bassins de l’amazone, couverte par la forêt équatoriale tandis que le sud-est est

| |3.1 Aspects économiques | |3.1.1 Pays riches | |3.1.2 Nouveaux pays industrialisés | |3.1.3 Pays pauvres | |3.2 Aspects financiers

niveau mondial. Toutefois s'y ajoutent : • l'aspect culturel qu'apporte l'accès d'une très large partie de la population mondiale à des éléments de culture de populations parfois très éloignées d'une part et aussi la prise de conscience par les pays développés dans leur ensemble de la diversité des cultures au niveau mondial. • l'aspect politique que représente le développement d'organisations internationales et d'ONG. • l'aspect sociologique de la mondialisation résumé par Zygmunt Bauman

les réalités géographiques il est important de considérer les données économiques, sociales, politiques, géopolitiques, administratives, culturelles & symboliques. 2 Dépasser la possible légitimité des découpages naturels a Quelle légitimité pour dépasser les découpages naturels ? - Au plan géologique : plusieurs Amériques, reprisent par les découpages continentaux : différents des découpages étatiques. - La plaque continentale qui porte l’Amérique du Nord englobe en partie le Guatemala, et

fait, les logiques d’intégration spontanée, s’effectuant par le bas (tourisme, migrations, travailleurs frontaliers), se déploient beaucoup plus activement et rapidement que les processus d’intégration institutionnels. Il faut dire que la plupart des pays voient d’un mauvais œil une éventuelle extension de l’ALENA, tandis que le rôle dominant du Brésil au sein du MERCOSUR est lui aussi source de méfiance. « L’Amérique latine est bien partie » remarquait Georges Couffignal dans un ouvrage paru en 2011