Paysage urbain

qui modifie les paysages européens et américains. Description et interprétation. Fernand Léger veut montrer à quoi sert la ville, il veut la montrer indépendante de toute valeur sentimentale et ne laisse don apparaître aucun aspect émotionnel. Il peint des constructions solides, des façades de maison faîtes d'un « béton » aux tons à la fois froids et éclatants. Il joue sur le contraste. La ville est un tableau monumental qui célèbre l'intensité cacophonique d'un paysage urbain. C'est la synthèse

services à multiplier leur offre d’excursion à destination de notre ville. Ainsi, pour satisfaire au mieux leur besoin j’évoquerai, d’une part, les richesses et les manques de la ville de Blaye. D’autre part, je présenterai une description des paysages de la rive droite de l’estuaire tels qu’ils peuvent être perçus lorsqu’on les longe. I. Blaye : une ville peu connue mais au potentiel touristique riche 1. Les raisons de son déficit de notoriété Il est vrai de dire que Blaye n’apparait

d'aménagement portent sur des aspects complexes et interdépendants, qui peuvent sembler contradictoires: gestion de la demande de logements et d’espaces de loisirs, évolution de la mobilité, de l'agriculture, préservation des sites, du patrimoine bâti et du paysage, lutte contre le bruit, accueil d’entreprises, reconversion d’anciens sites industriels, etc… La nécessaire coordination des multiples intérêts en présence est une des principales missions de l’aménagement du territoir. Principes fondamentaux La

xylographie (gravure sur bois). La série appartient au style de l'ukiyo-e, mouvement artistique portant sur des sujets populaires à destination de la classe moyenne japonaise urbaine qui s'est développée durant l'époque d'Edo (1603-1868). Plus précisément, elle relève du genre des meisho-e (« peinture de vues célèbres ») célébrant les paysages japonais, un thème classique dans l'histoire de la peinture japonaise. Quelques-unes des gravures sont réalisées par son élève et fils adoptif Utagawa Hiroshige II,

perspective, visant l’intégration urbaine, les qualités des espaces sensibles et la pluri-foncitionnalité, ce mémoire de recherche s’interroge sur les interactions entre les formes construites, les phénomènes sensibles et les usages à l’intérieur des architectures commerciales. Cette démarche s’inscrit dans les travaux sur les Ambiances architecturales et urbaines menés au laboratoire Cresson. Dans un premier temps, l’approche a porté sur l’environnement urbain du site étudié, l’Espace Comboire,

à un tableau assez grand. Il est en ce moment même exposé au Musée d’art moderne à New-York, appelé ‘’MOMA’’. - En plan d'ensemble, on peut voir une statut dont il ne reste que la tête faite de plâtre, son bras et un de ses pieds, entouré de paysages encadré d'objets et de couleurs variés. - Au premier plan, on peut distinguer une table sur laquelle sont éparpillés les membres de l'homme de plâtre comme son bras tenant un parchemin, un de ses pieds ainsi qu’un livre ouvert, un tissu rouge

Véloroutes et voies vertes fiche 3 Voies vertes : choix techniques D. DELAYE Séparées des circulations motorisées, les voies vertes se situent dans un environnement varié, tantôt urbain, tantôt rural, dans des parcs ou des espaces naturels. Des choix opérés lors de la conception et de l’aménagement dépendra le type d’utilisateurs que l’on pourra accueillir sur ces itinéraires : ensemble des usagers non-motorisés - piétons, cyclistes, personnes à mobilité réduite, rollers, voire

SURIMPRESSION DE L’ARCHITECTURE À UN PAYSAGE REMODELÉ : LA CARRIÈRE DU MONT SAINT-HILAIRE Création d’un centre récréoculturel ESSAI [PROJET] soumis en vue de l’obtention du grade de M. Arch. Élise D’Aragon | École d’ARCHITECTURE Université Laval | Hiver 2010 RÉSUMÉ | L’essai[p] propose une réflexion sur les cicatrices anthropiques et indélébiles inscrites dans nos paysages contemporains suite à l’exploitation de ressources minérales. La thèse explore la manière d’aborder ces milieux,

un quartier où les transformations spectaculaires lui font subir des mutations aussi bien de son paysage que de son contenu socio-économique. En zone villa, le quartier avait sa propre identité, on savait le reconnaître par la qualité particulière de ses constructions, de ses espaces publics et par son importance en espace vert acquise durant la période coloniale, le quartier avait un espace urbain harmonieux. Jusqu’au début des années 70, malgré le départ des Européens, l’Agdal gardait son

statuts d’occupation différents selon les secteurs 70 2.1.6. Un parc institutionnel prédominant (HLM et Soginorpa) 72 2.2. UN PARC MINIER SPECIFIQUE QUI JOUE UN ROLE CENTRAL DANS LE « PAYSAGE HABITAT » DU TERRITOIRE 74 2.2.1. Une gestion du patrimoine qui évolue 74 2.2.2. Un parc de logements aux qualités urbaines et architecturales spécifiques 76 2.2.3. La structure du parc Soginorpa 78 2.2.4. L’occupation des logements 81 2.2.5. Evolutions et enjeux du parc minier 84 2.3. UN PARC SOCIAL A LA TYPOLOGIE