Paysages Tristes

journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans le temps Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage, et la succession des paysages différents (anaphore de "j'irai par", énumération des éléments de la nature "par la forêt", "par la montagne"). On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage (il devient maritime et fluvial, ce que suggèrent

par la description des paysages et par les synesthésies, l'expressions des sensations. On pourra poser comme problématique " Comment ce poème est-il révélateur d'une dualité dans l'esprit Baudelairien, entre Spleen et Idéal ? " Pour cela, on étudiera le texte en un commentaire méthodique en 2 axes : - Un univers paradisiaque parfait, - La nostalgie de l'auteur. 3. Commentaire : Axe 1 : Un univers paradisiaque parfait: 1. Description des lieux : La description des paysages prône la splendeur, l'exotisme

Mathieu; 1ere ES1 Le Dossier Iconographique; Introduction, Concept et Mise En Page : Ce dossier iconographique aura fondamentalement pour but de représenter et d'illustrer les différents textes du groupement de la séquence Jardins, Ruines et Paysages au siècle des lumières, avec des tableaux ou des gravures ( réalisés entre 1700 et 1900 ) qui correspondront le plus possible au(x) thème(s), aux idées et au(x) contexte(s) de ces extraits … Ces tableaux ( une douzaine en seront retenus ), seront

et 2h15 de Dijon), mais c’est surtout… près de Chalon-sur-Saône. Et à 407 km et 5h30 de route d’Orange, arf ! Quitter le lieu d’où l’on vient, où l’on est né, où nous avons débuté notre vie et partir pour une région différente de la nôtre, c’est triste à dire mais véridique : faudra bien battre de ses ailes un jour. Le visage pâle, ce nom qui résonne dans ma tête, qui m’empêche de dormir, quatre cents kilomètres, cette distance qui me sépare de ce que j’aime, se détacher aussi vite que prévu. Ce

qu'il a eue au Nigéria en l'opposant en particulier à sa vie antérieure en France. Il se souvient de la violence du climat, des paysages, (lecture p.17), puis un autre thème apparaît : l'anticolonialisme (lecture p.18, 19). Il reprend en fin de chapitre l'idée de liberté et l'importance de cette partie de sa vie (lecture p.20, 21). Termites, fourmis, etc. : L'immensité du paysage est pour l'enfant une sorte de magie (lignes p.23), la vie de la famille est en apparence très réglée (p.24) et s'oppose à

nature ? Une nature qui tantôt agit, sauvant, tuant, façonnant les gens à la manière d'une redoutable divinité, tantôt impose le spectacle de ses paysages sans cesse renouvelés, comme les multiples facettes d'un temps immobile. Cela dit, revenons à l'exemple, forcément limité, du rôle de la nature dans le premier chapitre. Hémon nous fait découvrir le paysage de Péribonka en trois descriptions qui ont chacune leur caractère propre: celle du début, qui se confond avec la présentation de la société locale

vocabulaire : « triste », « seul », ainsi que le cadre spatial: « forêt », « campagne » et le cadre temporel « nuit », « soir » qui créent une impression de grande solitude. Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ qui se reflète dans le vers 1 par trois notions de temps « demain », « dès l’aube », « à l’heure où blanchit la campagne ». La suite évoque la progression du voyageur exprimée par une série de compléments de lieu soulignant la succession des paysages différents, cette

n’aimes pas ? - Peux-tu préciser ce que tu n’aimes pas ? - Peux-tu expliquer pourquoi cela te semble triste ? - J’aime, je n’aime pas… - Je n’aime pas... par contre j’aime bien …(par exemple : Je n’aime pas le sujet par contre j’aime bien les couleurs.) parce que... - Le sujet, les formes, les couleurs, les matériaux, la manière de peindre ne me plaisent pas, me dérangent... - Je trouve cela triste, drôle, bizarre..ça me fait peur, rire... - On ne reconnaît rien... QUAND ? • en début de séance et

mer, combine à la fois une tristesse prononcée et une esthétique de la décrépitude. La gamme chromatique est limitée avec des tons morne, les arbres penchés et les remous de la mer témoignent d'un vent fort, le ciel est tourmenté et obscure → jour « triste » → représente l'état d'âme du personnage. La femme elle même est penchée, comme sans énergie, plongée dans une méditation avec son regard tourné vers le lointain. Son regard semble se perdre dans cet infini avec une grande nostalgie, comme dans l'espérance

foraine, dont il aurait gardé un souvenir triste, grotesque et amer. Il s’agit dans cette complainte de l’évocation d’un paysage que le poète rejette avec force. I. Un leurre de narration. 1. La question des temps. L’imparfait du verbe « être » dans « C’était » au vers 1 semble a priori fonctionner comme un imparfait à valeur d’introduction générale, à l’instar du « Il était une fois » bien connu. Le « C’était un très-au-vent d’octobre paysage » est lu comme la présentation d’un cadre