PCR quantitative

refiancer aupres de l’organisme d’émission en « monnaie bq centrale » Besoins de billets des bq pr -faire face aux besoins de leur clientèle régler les créances interbancaires en monnaie q centrale Equation de fischer : Théorie quantitative de la monnaie MV = PT ] si augmentation de la masse monétaire ds un pays, immédiatement inflation dans le pays Pour combattre inflation = Tx interet haut, masse monétaire réstreinte. La banque centrale crée de la monnaie centrale et dispose

L’ajustement se fait grâce à une flexibilité totale des prix. Hypothèse 6 ; La monnaie est neutre par rapport aux agents qui ne la désire pas pour elle-même. La quantité de monnaie sert à déterminer le niveau général des prix par le biais de la théorie quantitative de la monnaie. Hypothèse 7 ; Il n’existe qu’un seul bien dirigé qui est consommé et épargné. Hypothèse 8 ; Le bien est produit grâce à une combinaison du capital k (Y=f(K,N)) où f est une fct monotone, croissante et strictement concave (dérivée

et monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman, Prix Nobel d’Economie), l’inflation résulte d’une émission de monnaie trop importante. La justification de cette idée repose sur l’existence d’une relation économique, appelée « Théorie Quantitative de la Monnaie » ou équation d’Irving Fisher. Cette dernière s’exprime ainsi : M.v = P.Y ou M.v = P.T M représente la masse monétaire en circulation (demande de monnaie) v la vitesse de circulation de la monnaie P le niveau général des prix, Y le

expliquent avec assez de constance une mesure de la demande de monnaie définie elle aussi avec assez de constance. 1.2 Les origines historiques de l’analyse de la demande de monnaie L’approche la plus ancienne de la demande de monnaie est la théorie quantitative de la monnaie. e Ses origines sont lointaines. Elles remontent sans doute au XVI siècle (au moment de l’arrivée des métaux précieux en Europe) quand la question du rapport entre le niveau général des prix et la masse monétaire en circulation a

marchandises entre elles ne se trouvent modifiés par sa présence. Certes, lorsque son émission augmente, cela modifie les prix monétaires mais comme ils varient tous proportionnellement, cette variation laisse inchangée les grandeurs réelles (théorie quantitative). Supposons, par exemple, que la masse monétaire soit multipliée par deux. Dans ces conditions, le prix du bien A passe de 10 à 20, celui de B de 2 à 4, mais leur rapport demeure inchangé : un bien A vaut toujours cinq biens B. De même, la production

aujourd’hui. I. Les théories monétaires dérivées de l’école classique Une théorie ancienne qui a joué un rôle très important dans le développement de l’analyse économique d’aujourd’hui, c’est la théorie quantitative de la monnaie. I.A La théorie quantitative de la monnaie  La théorie quantitative de la monnaie représente une théorie économique qui se base sur la relation entre le niveau général des prix et la quantité de monnaie qui circule. Cette théorie a eu plusieurs auteurs dans des différents

Economie Générale & Statistique Partie 2 : L’intervention de l’Etat 2- Les instruments de l’intervention étatique Théories de la monnaie I. Fisher « La théorie quantitative de la monnaie » MxV=PxT M. Friedman J.M Keynes Selon Keynes, la monnaie joue un rôle actif dans l’économie, les crédits distribués par les banques permettent de financer la production et stimulent par conséquent l’activité économique. La pensée keynésienne peut être résumée à travers la célèbre phrase : « tant qu’il

réglementer ( forts droits de douanes sur P manufacturés, rigueur budgétaire, organisation centralisée et contrôlée de la collecte des impôts, améliorations des routes et ports, création de manufactures et de compagnies. Jean Bodin : théorie quantitative de la monnaie Les forts prix des B ont 4 origines : - L’abondance d’or et d’argent est la principale - L’existence de monopoles - La disette - Les goûts des rois et grands seigneurs : le prix des biens qu’ils apprécient

.............7 La théorie quantitative de la monnaie (TQM) 8 La théorie quantitative de la monnaie (TQM)....................................9 Jean Bodin en 1568 exprime la théorie quantitative de la monnaie.....................9 Les néoclassiques et la théorie de la monnaie..............................10 L'équation d'Irving Fisher...................................................................................10 La critique de la théorie quantitative de la monnaie...............

constituent les variables d'ajustement, les marchés obéissent au modèle de la concurrence pure et parfaite. La monnaie est neutre et n'explique pas l'équilibre des grandeurs réelles, elle permet d'expliquer le niveau général des prix. La théorie quantitative de la monnaie est le base. Paragraphe 1 : La concurrence pure et parfaite L'atomicité L'homogénéité Libre entrée et libre sortie de la branche Information parfaite La parfaite mobilité des facteurs de production Paragraphe 2 : La loi