PDVSA

phase 2, correspondant au développement des réserves de gaz, est actuellement en cours avec un début de production prévu en 2011. Au Venezuela, où TOTAL est présent depuis 1980, le Groupe est l’un des principaux partenaires de la société nationale PDVSA (Petróleos de Venezuela S.A.). En 2009, la production du Groupe s’est établie à 54 kbep/j, contre 92 kbep/j en 2008 et 94 kbep/j en 2007. TOTAL possède des participations dans PetroCedeño (30,323%), Yucal Placer (69,5%) ainsi que dans le bloc 4 d’exploration

institution responsible for managing the country’s monetary policy and for promoting price stability. It is also the country’s principal source of foreign exchange, under an arrangement where the state petroleum company, Petróleos de Venezuela S.A. (PDVSA), is required to sell its foreign-currency receipts to the BCV. The Bank operates Venezuela’s National Payments System (SNP), including the cheque clearinghouse and a variety of other payments services. The Superintendency of Banks and Other Financial

majoritairement originaires du brésil, du mexique et du chili, et, dans une moindre mesure, d’Argentine, de colombie, du pérou et du vénézuela ; elles interviennent dans des secteurs aussi divers que l’exploitation minière (vale), l’énergie (petrobras, pdvsA, pemex, IsA, ImpsA���), l’agroalimentaire (Arcor, bimbo, nutresa, santo domingo���), la grande distribution (Falabella, polar���) l’aéronautique (embraer), les services (tAm/LAn, mercantil, América móvil, carso global telecom���) ou le btp (cemex,

Emirats arabes unis ADCO/DPC 60 % / 100 % Indonésie Pertamina 100% Iran NIOC 100% Iraq INOC 100% Koweït KPC 100% Libye NOC 100% Nigeria NNPC 100% Qatar QGPC 100% Venezuela PDVSA 100% Table 11: Les compagnies nationales du pétrole et du gaz Support de Formation EXP-PR-DI040-FR Dernière Révision: 24/05/2007 Page 120 de 160 Exploration & Production Le Monde Pétrolier Introduction au Monde Pétrolier Dans les

Iranian Oil Co. (NIOC) moved up to a strong No. 2 showing, mainly as a result of rapidly growing product sales in its domestic market (a reflection of fuel subsidies that are paid for with high oil revenues). Venezuela’s Petróleos de Venezuela SA (PdVSA) moved down to No. 5, and Mexico’s Petróleos Mexicanos (Pemex) moved out of the top 10 list to No. 11, both due to stagnant performance. China’s China National Petroleum Corp. (CNPC, the parent of PetroChina) was flat at No. 7. Six supermajors — public

2009). (4) On précisera cependant que c’est un sujet sur lequel les économistes ne s’accordent guère. (5) www.eia.doe.gov/oiaf/forecasting.html (6) BBC Mundo, Londres, 23 janvier 2010. (7) En matière de pétrole, la « loi des hydrocarbures » exige que PDVSA, la compagnie nationale vénézuélienne, soit majoritaire à au moins 60 % dans tous les projets conjoints avec des sociétés étrangères et dans chacune des phases de l’exploitation (extraction, conversion et commercialisation de la production). « Sans

affaires bilatérales. Bogota veut obtenir le règlement de ses exportations au Venezuela. Brasilia tente de récupérer l’investissement promis pour une raffinerie commune au Pernambouc, malgré la décapitalisation de l’entreprise pétrolière vénézuélienne PDVSA. Buenos Aires cherche à compenser la fuite de capitaux argentins. Mexico, de son côté, essaye de recouvrer les indemnisations d’entreprises expropriées par Caracas. Le succès de la Celac devra être mesuré à l’aune de son ambition : faire progresser

passing a petroleum law that doubled the royalty taxes from 16% to 30% on new oil discoveries, which affected Exxon Mobil, a Rothschild operation, along with many other international oil operators. He also took full control of the state oil company, PDVSA, which before was nominally owned by the government, but in actual fact was in thrall to these international oil operators. Not only that, but President Chavez is also the President of the, “Organization of Petroleum Exporting Countries,” (OPEC) and

regulation, usually price controls. Yet, even now, many governments such as America’s talk about using strategic reserves to deal with physical shortages only; the Bush administration refused to release reserves either during the 2002 strike against PDVSA or the invasion of Iraq, because, although prices rose in both instances, there were no significant reports of physical shortages. But if volume is not the problem, what is? Arguably, the great bulk of the damage historically has been economic loss

le manuel le doc. 3 p. 69 et le doc. 2 p. 71) : l’Amérique du Nord avec Exxon Mobil, Chevron ou Conoco Phillips, l’Europe occidentale avec Shell, BP, Total ou ENI, la Chine avec Sinopec ou Petrochina, le Brésil avec Petrobras ou le Venezuela avec PDVSA, les Pays du Golfe ou la Russie… – quelques éléments « critiques » : le document montre les exportations globales des pays africains sans faire de distinction entre les différentes compagnies intervenant en Afrique. Elle ne précise pas que certains