PDVSA

|129 134 |1 862 | |26 |E.ON |127 278 |1 853 | |27 |PDVSA |126 364 |7 451 | |28 |ArcelorMittal |124 936 |9 399

mei.edu 119 120 Rising Demand; Low Spare Capacity ; Weak Dollear; Geopolitical Concerns 100 Nominal Dollars per Barrel Nigerian Cut-Offs Hurricanes Dennis, Katrina and Rita in Gulf of Mexico 80 Hurricane Ivan in Gulf of Mexico PdVSA Worker's Strike in Venezuela and Iraq War Worries Iraq Invades Kuwait OPEC Cuts Quotas; Rising Demand 60 40 Inventory 20 Saudi Arabia Abandons Swing Producer Role Asian Economic Crisis 9/11 Attacks 0 1983 1985 1987 1989

créera aussi des opportunités pour développer de nouvelles sources d’approvisionnement. Les carburants obtenus à partir du gaz naturel ou du pétrole synthétique léger dérivé du pétrole lourd en sont des exemples. Au Venezuela, une joint venture entre PDVSA, Total et Statoil produit un tel pétrole, appelé Zuata Sweet. Face à la demande croissante de carburants plus propres, la pression s’accentue pour trouver des débouchés pour les fractions les plus lourdes du baril. La conversion en gaz de synthèse

production de ces pays qui se séparent de leurs économies d’origine et de leurs Etats pour participer pleinement à l’économie globale : des industries et des entreprises du « premier monde » dans des pays qui dérivent vers le tiers ou quart monde (telles PDVSA au Venezuela?). Nous assistons aussi à d’autres bouleversements profonds. Les analyses n’ont pas intégré pleinement des mouvements qui se passent sous nos yeux: l’intégration dans le cône sud sous l’égide du Brésil; l’arrimage du Mexique à l’Amérique

Chavez a offert une île à l’Etat du New Jersey pour en faire une réserve naturelle. Le don a été fait à l’occasion de la journée de la terre par la compagnie pétrolière Citgo, filiale de la compagnie publique vénézuélienne Petroleos de Venezuela (PDVSA). Depuis des années les relations entre les Etats-Unis et le Venezuela sont très difficiles mais depuis le sommet des Amériques, les rapports entre ces 2 Etats sont moins tendus. Le Venezuela fait part de sa bonne volonté envers les Etats-Unis

(DE-US) Toyota Motor (JP) General Electric (US) Total (FR) Ford Motor (US) Volkswagen (DE) Siemens (DE) Sinopec (CN) Nippon Telegraph & Telephone (JP) Carrefour (FR) Eni (IT) IBM (US) Mckesson (US) Honda Motor (JP) State Grid (CN) Hewlett-Packard (US) PDVSA (VE) Hitachi (JP) China National Petroleum (CN) Pemex (MX) Nissan Motor (JP) Home Depot (US) Valero Energy (US) Samsung Electronics (KR) Nestlé (CH) PSA Peugeot Citroën (FR) Us Postal Service (US) Metro (DE) Altria Group (US) Sony (JP) EDF (FR) France

Royaume Uni Alimentation 52 TARGET 42 589 000 Etats-Unis Magasins 53 CHINA NATIONAL PETROLEUM 41 602 000 Chine Pétrole 54 BMW 41 557 000 Allemagne Automobiles 55 DEUTSCHE POST 41 252 000 Allemagne Services 56 PDVSA 40 676 000 Venezuela Pétrole 57 PFIZER 40 632 000 Etats-Unis Pharmacie 58 SUEZ 39 622 000 France Energie 59 TIME WARNER 38 799 000 Etats-Unis Médias 60 NEC 38 413 000 Japon Electronique 61 PROCTER & GAMBLE

extra-lourdes ont une densité inférieure à 1 (moins de 10° API). Elles sont situées en particulier au Venezuela dans le bassin pétrolier de l’Orénoque qui renferme quelque 170 Gt d’un brut extra-lourd, selon les estimations de la compagnie vénézuélienne PDVSA. Avec un taux de récupération estimé à 8 %, les réserves de ce bassin seraient de 14 Gt en l’état actuel des techniques, les réserves potentielles étant estimées à 40 Gt. Elles dépasseraient donc celles de l’Arabie saoudite (36 Gt). Mais ces bruts

la vente de produits. en tête figure la compagnie nationale saoudienne, saudi aramco, suivie par son homologue iranienne, la nioc. Viennent ensuite la compagnie internationale (ioc) américaine exxonMobil et les compagnies nationales vénézuélienne (pDVsa) et chinoise (cnpc). en 2007, les 59 premières ioc de ce classement détenaient 9,4 % des réserves de pétrole, contre 77,6 % pour les 41 premières noc. Parmi les 5 premières © MarK richarDs/total 7% sont sortis de la pauvreté au cours de

collaborent avec les compagnies internationales pour stimuler l’exploration ou développer des gisements nécessitant des technologies complexes (Gazprom avec Total et StatoilHydro pour le gisement géant de gaz naturel Shtockmannovskoye en Mer de Barentz, PDVSA et Total pour le projet de pétrole lourd Suncor dans le bassin de l’Orénoque). Alors que les compagnies internationales (majors et indépendantes) doivent générer des taux de rentabilité interne de 15% minimum (majors) voire supérieurs à 25% (compagnies