PDVSA

le Canada, le Venezuela, l’Italie et la France. Dans le cas du Venezuela, il s’agit d’investissements stratégiques dans le domaine de l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures (avec l’entreprise Vencupet, possédée à 60% par la vénézuélienne PDVSA et la raffinerie de Cienfuegos) et minier (avec l’entreprise conjointe Ferroniquel SA, qui exploite le minerai et construit deux raffineries, l’une à Holguin, l’autre au Venezuela pour traiter le minerai cubain). La Chine, avec un projet d’industrie

et de pays partenaires comme la Chine. ✔ Les dépenses publiques, parmi lesquelles les subventions, notamment sur le prix de l’essence, représentent le tiers, resteront soutenues. ✔ Le financement par la compagnie pétrolière nationale PDVSA de certaines dépenses sociales dissimule une partie de la réalité de la situation des finances publiques. ✔ L’excédent courant s’est sensiblement réduit. Les exportations pétrolières (90% du total des exportations) reculent du fait de l’augmentation

" ("PDVSA") avait déjà fait des ajustements coûteux sur le plan de la production afin de respecter le niveau de base réglementaire et avait accéléré son programme d'investissements pour se conformer aux exigences du Modèle complexe. Ces ajustements avaient fait tomber les exportations vénézuéliennes d'essence vers les Etats-Unis, en volume et en valeur, à des niveaux qui étaient actuellement, et devraient rester à l'avenir, inférieurs WT/DS2/R Page 9 à ce qu'ils auraient été si la PDVSA avait

Mercal. Le débrayage patronal et ses corollaires inflation et effritement du pouvoir d’achat ont clairement motivé la création de l’entité. En 2008 le dispositif étatique s’est renforcé avec la naissance de PDVAL filière de l’entreprise pétrolière PDVSA. Fin 2010 l’Etat a même nationalisé le groupe Cativen en prenant une participation de 80,1%. Les réseaux de distribution alimentaire traditionnels Les vénézuéliens achètent traditionnellement dans les structures de proximité à cause de leur habitude

président Chavez a lancé également un projet de nationalisation des entreprises avec la participation des ouvriers dans leurs actions. Dans ce cadre, le président Chavez a lancé le projet de la nationalisation de la société pétrolière nationale : PDVSA pour mener le projet de la réforme sociale et économique à bien et réaliser les objectifs escomptés. Le président Chavez a développé la technique des missions qui sont un ensemble de programmes sociaux réalisés par la participation des autorités

Orénoque Les points faibles sont :    Une économie trop dépendante des hydrocarbures , en effet plus de 90% des exportations, de la moitié des recettes budgétaires et du tiers du PIB Capacités de production de la compagnie pétrolière publique PDVSA restreintes par d’insuffisants investissements L’interventionnisme étatique et corruption affectent la confiance du secteur privé et contrecarrent la diversification de l’économie . A) Données macroéconomiques          PIB 2009

natural gas and is used primarily for electricity generation. Venezuela’s state-run Petróleos de Venezuela SA (PDVSA) reported that it delivered 115,000 bpd of crude and refined products to Cuba in 2008, of which 93,300 bpd were sold to Cuban state-run oil monopoly Cubapetróleo, or Cupet, and 27,500 bpd were PDVSA’s equity share delivered to a refinery in Cienfuegos jointly owned by PDVSA and Cupet for processing and re-export to the rest of the Caribbean. The Cienfuegos oil refinery, originally built

tournure lorsque le dirigeant vénézuélien décide d’engager un bras de fer avec la compagnie nationale PDVSA en 2002. L’entreprise avait suivi au cours des années 80 et 90 une politique d’ouverture et d’internationalisation avec un certain succès, mais qui s’était traduite par une baisse des recettes perçues par l’Etat sur les exportations, celles-ci passant de 70,6% en 1981 à 38,6% en 20002. « PDVSA avait alors sa propre ambition, celle de devenir une major mondiale », rappelle JeanMarie Chevalier

retour au « nationalisme pétrolier ». Au Venezuela, outre les menaces régulièrement proférées par le président Hugo Chavez d'interrompre ses exportations vers les Etats-Unis, l’Etat oblige les compagnies étrangères à s'associer à la société nationale PDVSA dans l'exploitation du pétrole vénézuélien. Le géant pétrolier américain ExxonMobil a pour sa part décidé d’entamer un bras de fer juridique avec l’Etat vénézuélien. La Bolivie a adopté une nouvelle loi établissant le contrôle étatique sur les réserves

baser sur son influence au niveau régional et international. Cette influence s’explique surtout par la prise de contrôle des ressources pétrolifères du pays, et ce par « la prise de contrôle totale de l’entreprise [nationalisation de l’entreprise PDVSA] par l’État garantit à Hugo Chavez la possibilité de réaliser ses ambitions pour le Venezuela. » Et, encore une fois, il appuie ce geste sur des revendications populaires mais aussi économique. Sa stratégie de prendre le contrôle du pétrole sur son