Péché originel

du fruit défendu * Hibou, créature de la nuit, détruit * Des animaux étranges à l’avant (oiseau à trois têtes) qui ont l’air impurs par leur côté sombre, brise l’éclat de la première vue. * Tous ces éléments annoncent le péché originel Après la jouissance du fruit défendu vient le plaisir des sens Ouvert partie centrale : l’endroit où l’homme a proliféré entre son expulsion du paradis et le déluge (le jardin des délices) Les 4 fleuves dans le jardin nous rappellent qu’on

légendaire. Georges Duhamel De toutes les choses sérieuses, le mariage est la plus bouffonne... Beaumarchais Le célibataire est celui qui prend le mariage très au sérieux. Michel Déon L'humanité se prend trop au sérieux ; c'est le péché originel de notre monde. Oscar Wilde (Le Portrait de Dorian Gray) L'homme sérieux est dangereux ; il est naturel qu'il se fasse tyran. Simone de Beauvoir L'obstination et ardeur d'opinion est la plus sûre preuve de bêtise : est-il rien certain

par Dieu dans le jardin d'Éden. Or, Dieu avait interdit la consommation du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, mais le Serpent tenta Ève qui mangea du fruit défendu et en donna à Adam qui en mangea à son tour. L'origine du péché originel[2] est cette faute commise par ces premiers humains, faute qui cause leur expulsion de l'Éden. La suite du livre de la Genèse raconte que, neuf générations après Adam et Ève (Genèse : 5-6 à 5-29), l'humanité née du premier couple a disparu sous

demande à quoi bon tout cela sans savoir me répondre. Je n’y vois que les crimes des hommes et les misères du genre humain. » p. 106 explication traditionnelle du mal par le péché originel, dans la bouche de l’inspiré : « Homme petit et vain ! Comme si vous étiez le premier impie qui s’égare dans sa raison corrompue par le péché ! » p. 113 à propos des Juifs, victimes de tous les maux : « Les malheureux se sentent à notre discrétion ; la tyrannie qu’on exerce envers eux les rend craintifs ; ils savent

des innocents et admet qu’il est possible de douter de sa foi dans des conditions extrêmes comme la Shoah. Ce qu’en dit le Christianisme : Selon le Christianisme, le mal provient du péché originel, le premier mal commis par l’Homme. Le péché originel symbolise la trahison et le rejet de Dieu. Le mal est appelé péché, le bien est toujours en lien avec l’amour. Les chrétiens, Jésus est le seul homme qui se rapproche tant de Dieu. Le bien provoque la vie et le mal provoque la mort. C’est pourquoi la

INTRODUCTION « la femme » est un thème de base en littérature dès l’Antiquité païenne, mais plus encore après le christianisme (sante doute à cause d’Eve tentatrice du péché originel) Selon la Bible, elle est celle qui a entrainé l’homme à commettre le péché. La femme est le plus souvent traitée comme objet littéraire en projection des fantasmes masculins car l’homme se trouve face à un être à la fois semblable à lui puisqu’ils sont des êtres humains et différents de lui (c’est l’autre sexe)

en général. Devant lui Pangloss se rabaisse on peut le voir aux lignes 74 et 78 lorsqu’il l’appelle « Votre Excellence », et d’ailleurs ce petit homme va insinuer que Pangloss remet en question les principes même de la religion chrétienne (le péché originel, la liberté). L’inquisition va également jouer un rôle important dans la condamnation de Candide et Pangloss à l’autodafé. Nous pensons donc qu’à travers ce passage du récit, Voltaire lance un petit pique de façon indirecte à la religion car nous

voudras » ; on retrouve cette idée à la ligne 2, « leur volonté ou leur libre arbitre …le désir ». A la ligne 9, Rabelais nie le péché originel et certains aspects de la religion puisqu’ils ont « par nature/ naturellement un aiguillon…qui les pousse toujours à agir vertueusement et les éloigne du vice » ; ainsi, si Dieu leur avait donné cet aiguillon, le péché originel n’aurait jamais été commis. Cette idée est accompagnée par des mots tels que « un instinct, vertu, honneur » et des verbes d’action :

 Tryptique «  le chariot de foin » Volet gauche  Le panneau de gauche représente l'introduction du péché dans le monde divin, avant qu'il rayonne dans la vie terrestre sur le panneau central. La composition comporte deux parties distinctes : la première occupe le tiers supérieur du panneau, et représente le ciel, alors que la seconde représente le Paradis terrestre. Dans le ciel, tout d'abord, est représentée la Chute des anges rebelles, épisode absent de la Genèse, mais qui sera par exemple

d’une règle morale indépendamment de toute considération religieuse à partir du moment où l’on pose la possibilité d’une conscience morale de l’athée, du péché, qui est la faute prise dans son acception théologique : transgression de la loi divine (les dix commandements, par exemple), ou statut de l’humanité en général à la suite du péché originel (lui-même consistant dans la transgression de l’interdit divin concernant le fruit de l’arbre de la connaissance).