Peine de mort en France

 Contextualisation: Le dernier jour d’un condamné est une oeuvre de Victor Hugo,  dont le thème principal est la peine de mort. Ce récit fut publié de façon anonyme en 1829.  L’auteur voulait laisser croire qu’il s’agissait des véritables mémoires d’un condamné, pour  toucher les lecteurs. A sa publication, l’oeuvre déclencha une véritable polémique dans une  France plutôt partisane de la peine capitale.  Présentation de l’extrait: Ce passage extrait du deuxième chapitre, expose l’instant du verdict. Le 

D’après Victor Hugo, « la peine irréparable suppose un juge infaillible ». Ainsi, partisan de l’abolition de la peine de mort, il nous donne, dans cette citation, une condition à l’utilisation de la peine de mort qui est une privation de la vie d’un condamné, une condamnation découlant du jugement d’une juridiction punissant des crimes graves et intentionnels. Il montre que la peine de mort est un fait irréparable et qu’en procédant ainsi, il peut y avoir l’existence d’une atteinte au droit à la

La mort et ses représentations La mort est un symbole comme on peut le voir dans les différents mythes et religions, elle fait également partie du quotidien avec cette confrontation de la peur de mourir et ainsi la peur de l’inconnu. Mais en fonction des pays la mort n’a pas la même représentation. Problématique : Quelles images collectives de la mort, les mythes, les religions, les arts, les traditions ont-ils transmis ? I) Conception et mythes de la mort L’homme croit en la vie

La peine de mort a suscité bien des controverses. C'est depuis 1764, date de la publication du livre des délits et des peines, que le marquis de Beccaria soulève le problème de son abolition pour la première fois. Est-il avant cette date naturel pour la justice de tuer les personnes qu'elle aura jugé dangereuses, ou est-ce juste le temps qui a fait que la société devienne mature au point de se poser la question de si elle a le droit sur la vie de ses citoyens ? Le livre de Beccaria connut un immense

Que penser de la peine de mort ? Dissertation 2nd Plus de la moitié des pays du monde, soit 112 pays, ont choisi d’abolir la peine capitale. Le total des pays non abolitionnistes s’élève à 83. En 2002, 3248 personnes furent condamnées à mort et au moins 1526 exécutées. Cette sanction définitive a été abolie par la plupart des pays dits « démocratiques »et de plus en plus de pays dits « non démocratiques »l’abandonnent également. Elle encore présente surtout dans les pays totalitaires.

problématique du roman « L’Étranger » d’Albert Camus peut être celle de la question de la peine de mort qui est abordée dans la deuxième partie de ce roman après le meurtre d’un Arabe sur une plage ; mais aussi celle de la vie car cette dernière peut prendre fin en un court instant. Mais alors je vous pose cette question : Peut-t-on arrêter la vie d’ une personne (en condamnant cette dernière à la peine capitale) qui en l’espace d’un court instant a dérapé et a commis un acte puni par la loi 

La peine de mort est-elle contraire aux droits fondamentaux ? Dans l’Antiquité, les grecs définissaient la peine de mort comme « le prix du sang », « la vengeance », et les Romains la définissaient comme un « châtiment ». Aujourd’hui, la peine de mort est une « sanction pénale édictée par le législateur, appliquée suite à la commission d’une infraction définie par un texte pénal ». En d’autres termes, la peine de mort doit ê expressément prévue par un texte ; prononcée suite à un jugement

Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo 1829 préface 1832, page 41, ℓ 448 à 480 Dans la préface de la deuxième édition de Victor Hugo exprime son opinion contre la peine de mort. Ici cet essaie développe une argumentation direct. Nous allons voir comment l'écrivain fait appel à la raison du lecteur par un réquisitoire implacable, puis nous verrons qu'il s'adresse à la sensibilité du lecteur. I- l'appel à la raison du lecteur : un réquisitoire 1) le schéma argumentatif de l'extrait Texte

objective, cela signifie qu’on se moquait complètement de ce qui s’était passé dans la tête de l’individu. Qu’il est voulu tuer ou qu’il n’ait pas fait exprès, personne n’en tenait compte à l’époque. C’était une responsabilité collective. A l’époque Franc la justice se traduisait par la vengeance privée. Sous les carolingiens il y a eu une tentative de restauration du royaume mais qui est marqué par un échec. La justice à l’époque féodale se trouve entre les mains des plus puissants. La justice est

condamnent disent que la peine de mort est nécessaire" jusqu'à "le Mardi Gras vous rit au nez" : Dans ce passage, extrait de la préface de 1832 de "ceux qui jugent et condamnent disent que la peine de mort est nécessaire" jusqu'à "le Mardi Gras vous rit au nez", Victor Hugo expose sa position abolitionniste envers la peine de mort. Le passage reflète l'engagement de l'auteur en faveur de l'humanité et de la justice, ainsi que son opposition à la peine capitale.