Peine De Mort Platon Aristote

matière et portent des appréciations sur l'actualité. Chacun d'entre nous se réfère à des valeurs morales lorsque nous admirons ou nous nous scandalisons sur tel ou tel comportement, lorsque nous nous prononçons sur des questions sensibles comme la peine de mort, l'euthanasie, la protection de l'environnement, les mœurs sexuelles etc. Toutes ces opinions sont guidées par une certaine idée du bien et du mal, par des convictions intimes, héritées certes de notre éducation, de notre milieu, mais que nous

sciences sociales (terme non encore découvert) apparaît d’abord chez les grecs Platon (428-347), le premier à avoir employé le terme théologie dans La République, est par ce terme, il entend, le contexte et le montre nettement, une épuration philosophique de la présentation mythologique des Dieux. C’est à ce seul compte que les poètes trouveront place dans la cité idéale qu’il propose. Le terme théologie est repris par Aristote  dans son livre Métaphysique, pour distinguer les philosophes des théologiens

d'harmonie des communautés s'est exprimé par la voix de la condamnation à mort. Les textes juridiques retrouvés au cours de l’histoire dans les sociétés mésopotamiennes, grecques, romaines ainsi que celles des hommes du Moyen-âge démontrent l’application de la peine de mort. D’ailleurs, pour beaucoup de philosophes anciens, cette sanction protège la vie des citoyens et répare le dommage causé par l’exécuté. Par exemple, Platon considère cette pratique comme moyen de purification puisque les crimes

vieilles femmes, paysans répandant autour d'eux la fumée de leurs pipes, le vin brillant dans des verres transparents, gars en vestes sales jouant aux cartes, tous ces sujets et des centaines d'autres qui, dans la vie courante, nous intéressent à peine, car nous-mêmes, lorsque nous jouons aux cartes ou lorsque nous buvons et bavardons de choses et d'autres, y trouvons des intérêts tout à fait différents, défilent devant nos yeux lorsque nous regardons ces tableaux. Mais ce qui nous attire dans ces

remplis, notre homme n’y verserait plus rien, ne s’en inquiéterait plus et serait tranquille à cet égard. L’autre aurait, comme le premier, des liqueurs qu’il pourrait se procurer, quoique avec peine, mais n’ayant que des tonneaux percés et fêlés, il serait forcé de les remplir jour et nuit sans relâche, sous peine des plus grands ennuis. Si tu admets que les deux vies sont pareilles au cas de ces deux hommes, est-ce que tu soutiendras que la vie de l’homme déréglé est plus heureuse que celle de l’homme

des colonies aux Indes, prouveut sagement qu'on n'y menast aucuns escholiers de la jurisprudence : de crainte, que les proces ne peuplassent en ce nouveau monde. Comme estant science de sa nature, generatrice d'altercation et division, jugeant avec Platon, que c'est une mauvaise provision de païs, que jurisconsultes, et medecins. Pourquoy est-ce, que nostre langage commun, si aisé à tout autre usage, devient obscur et non intelligible, en contract et testament : Et que celuy qui s'exprime si clairement

le vrai une autre. Et la confusion des ordres se fait invariablement au détriment des exigences intellectuelles. Pour parler métaphoriquement, on peut dire que les « valeurs de l’esprit » sont subverties par « les valeurs du corps ». C’est pourquoi Platon souligne qu’on ne peut pas  » sortir de la caverne  » sans affranchir les yeux de l’esprit de ce qui, dans notre condition d’esprit incarné, projette de l’ombre. D’où la nécessité d’une ascèse. * Du prestige de l’autorité. Nous sommes ainsi faits

place par chaque classe sociale afin de donner à la défense de ses intérêts particuliers l’apparence d’un programme en faveur de l’intérêt général. Théories : Marx et la lutte des classes ; Mill et le gouvernement représentatif ; Platon et les philosophes-rois ; Aristote et la prudence. _ La Justice : La justice apparaît tout d’abord sous les traits naturels du « sentiment d’injustice ». Elle est alors cette sorte de sentiment qui naît spontanément du fait que le monde ne correspond pas à nos

protège). Une dimension politique de la religion apparaît ici : honorer les dieux c'est faire un acte civique, citoyens. De ce fait une religion avec beaucoup de rites et aucune laïcité puisque politique et religion sont liés. Cependant, pas d'après la mort dans un premier temps. Des questions existentielles qui ne concernent pas la religion mais la philosophie → les dieux répondent à des besoins quotidiens mais pas à des besoins spirituels. La foi n'existait pas, les grecs savaient très bien que les

épistate qui détient pour 24 heures les clefs de la cité, des trésors des temples et est nourri et logé dans un lieu spécial : le prytanée (bâtiment circulaire aux fonctions diverses dont celle de temple : le tholos).(Cf réponse de Socrate quant à sa peine : « être nourri et logé au prytanée »). Le rôle de la Boulé est de présenter un « ordre du jour » (probouleuma) à l’Ecclésia, de gérer les finances et de contrôler les magistrats. Les magistrats : pour un Grec, il s’agit de citoyens détenteurs d’une