Peinture Baroque Illusion

opposé. Ce phénomène est le processus normal de l'évolution du psychisme humain. Cette théorie est toujours en vigueur, même si certains psychanalystes l'ont nuancée. Le Theatrum mundi (grand théâtre du monde) est une notion qui date de l’époque baroque (XVIe - XVIIe siècles) et qui nourrit fortement les auteurs européens particulièrement en France (Corneille), en Italie, en Espagne (Calderón de la Barca) et en Angleterre (Shakespeare). Selon cette représentation, le monde serait une

ans. Il voulut y faire du cinéma, mais rata le concours d'entrée de l'IDHEC. Il connut alors une dizaine d’années difficiles, écrivant des scénarios pour des films muets qui ne virent pas le jour mais qu'on retrouva plus tard dans ‘’Le livre des illusions’’ ; des articles pour des revues ; des traductions d’oeuvres d’écrivains français (Mallarmé, Flaubert, Apollinaire, Sartre, Simenon) ; des poèmes et des essais qu’il publia dans des journaux américains. De retour aux États-Unis, il travailla pendant

dans "Dom Juan" et le fanatisme dans "Tartuffe", par exemple). 3. Au XXe siècle, les auteurs et metteurs en scène ont souvent choisi d’assumer le jeu théâtral comme illusion et en ont tiré des effets comiques, fantaisistes et déroutants (Ionesco)Le théâtre livre une vérité sur le monde et le "spectacle", dans un va-et-vient entre illusion et réalité, permet d'appréhender le monde avec plus de lucidité. « C’est joli la vie, mais cela n’a pas de forme. L’art a pour objet de lui en donner une précisément

stabilité de la vie il y a donc une harmonie qui se dégage de ce tableau. Elle est perceptible par la composition du tableau. (Les trois figures sont à la pointe d’un triangle dont la base est parallèle au bas du tableau : c’est un procédé de la peinture classique pour donner une impression de stabilité). Les femmes exposent leur corps sans pudeur au pêcheur == société libre et souligne la beauté des femmes. (Vue par le pêcheur et renvoyée au spectateur – le spectateur imagine ce que voit le pêcheur)

mythologie .................................................................... L’architecture ..................................................................... La sculpture ....................................................................... La peinture ........................................................................ La réforme amarnienne ........................................................ 27 29 30 37 38 39 Chapitre 4 La Grèce .....................................................

communication en banque de salle – microfiche – [23905] Le Sacre du printemps [1954]. Paris : Calmann-Lévy, 1985. 276 p. Salles H et V - Littératures d’expression française – [84/4 SIMO 4 sacr] Le Vent : tentative de restitution d'un retable baroque [1957]. Paris : Minuit, 1989. 241 p. Salles H et V - Littératures d’expression française – [84/4 SIMO 4 vent] L'Herbe [1958]. Paris : Minuit, 1989. 261 p. Salles H et V - Littératures d’expression française – [84/4 SIMO 4 herb] L'Herbe.

la naissance, le mariage, la mort, les étapes que l’homme parcourt tout au long de sa vie sont décrites comme une réalité désillusionnée. Dans l’étude de la biographie et de l’œuvre de Maupassant, Martin Pasquet rapproche Maupassant à Zola par la peinture des aspects laids, tristes de la vie. « Maupassant, comme Zola, veut peindre la vie telle qu’elle est, au risque de choquer son public. De fait, on a souvent reproché à ces deux auteurs de ne s’attacher qu’aux aspects bas ou laids de la vie, et

applaudissements » : permettent de se ranger du côté du public ← « le décor », « le truc ingénieux » (« deus ex machina » ( intervention divine pour créer des machines), « le filet », « le banc de mousse », « la gaze », « le plumet » : servent à créer une illusion ← « Vénus », « Diane », « Vulcain », « Mars », « jouer », « joua finement », « la loge », « la posture », « la mimique », « la scène » : présente le théâtre comme un artifice (personnes réelles portant un masque) ← « les feux de la rampe » :

Renaissance = un retour à l’antiquité : inspiration des arts de l’antiquité (art gréco romain)mais aussi des arts philosophiques, la théorie prend une place nouvelle dans l’art. Alberti a dit qu’il n’y avait pas d’art sans théorie. Il fait un traité sur la peinture et l’architecture. Il les écrit en italien et non en latin. On utilise de plus en plus les langues vulgaires. Beaucoup d’artistes en écriront aussi. On y défini la conception du beau, inspiré de l’antiquité comme promulgué par Platon et Aristote

toute sa mesure. Il lui fallut deux années pour que " Chut ! " reprenne vie. Mais quand il s'était retrouvé seul avec Florence Bastien avait éprouvé le poids de la solitude. Il venait d'un quartier bruyant, ce quartier Florès qui était un village baroque, bourré d'excès, de folie ordinaire, de truculences, de pudeur, de pastrouié (cancaniers) qui mettaient les pieds dans les plats ce qui suscitait parfois des poings dans la gueule. Florès la rouge puisqu'il y avait des cheminots, le garage des cars