Peinture Libertine

traduit par l'Abbé Prévost en 1751( une jeune fille de 18 ans fait un mariage arrangé par ses parents avec le libertin Lovelace qui la drogue et la viole) et du roman de Goethe Les Souffrances du jeune Werther (1774) traduit en 1776 qui a influencé tout le mouvement romantique européen : la passion du héros le conduit à la maladie, la folie et la mort. b) Le développement du roman libertin (tradition de la littérature galante) à partir de la Régence et sous le règne de Louis XV est attesté par l'histoire

L’attitude de la comtesse est différente, elle prend Chérubin plus : elle reste un moment sans parler, les yeux sur son Cette courte scène illustre l'atmosphère de légèreté qui règne tout au long de l'acte II. C'est une scène osée dans le courant libertin du 18ème siècle. C'est une scène dominée par le désir et son caractère ambivalent. Les objets du désir sont changeants et complexes. Les rôles sont constamment bouleversés. Dans le Mariage de Figaro les valeurs morales et sociales sont bouleversées

et représente le classicisme. Le classicisme est reconnu pour avoir donnée la raison et la morale au publique, Molière lui, représente la morale sur scène avec des pièce comiques et tragiques. Dom Juan, pièce joué en 1655 est une histoire d’un libertin qui essaie de faire tomber amoureuses toutes sortes de filles. Cette pièce est une tragi-comédie qui raconte la vie de Dom Juan. Tirso de Molina, écrivain espagnol écrit la même histoire quelques années avant; certains pensent que Molière a plagié

le parfait galant, le héros que l’on retrouve dans le courant baroque se traduit par un libre penseur, c’est-à-dire un libertin. Dans la comédie Dom Juan de Molière, on peut sans contredit voir le personnage de Don Juan comme étant un héros baroque : un libertin. On pourra le voir aisément à travers la pensée et les mœurs de ce dernier. Don Juan représente bien le libertin lorsqu’on examine sa façon de penser. On le constate d’abord par sa morale individualiste, c’est-à-dire un hérétique qui

du 17ème siècle, fortement impliqué dans la critique des excès de la société. Il écrit Dom juan en 1665 en réponse à la censure de sa précédente pièce Tartuffe pour violente diatribe à l'institution religieuse. Dom juan met en scène un personnage libertin et tragique, assoiffé d'absolu et écrasé par sa condition humaine. Dans cette scène, on y voit Sganarelle, son valet introduire l'oeuvre de manière paradoxale. En quoi peut-on penser que cette scène est une scène d'exposition? Nous verrons en première

mariageOutre l’exemple précédemment cité avec Gercourt on peut noter comme exemple qu’elle affiche un certain dédain à l’égard du couple de Tourvel dont le mari n’est pas un obstacle.La marquise de Merteuil possède donc bien les caractéristiques d’un libertin dont le principe de vie est la liberté absolue.

DOM JUAN Cette pièce relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien

(Cécile-Danceny, Cécile-Gercourt, Mme de T-Valmont). Peu d’avancée dans l’action au profit d’information sur le libertinage : actions d’éclat, art de la rhétorique, et portrait de Merteuil Lettre 70/71 : Valmont se met en scène, récit de ses actions de libertin Lettre 54 : Merteuil se promet de former Cécile Lettre 81 : autobiographie de Merteuil Lettre 79 : Valmont raconte à M. l’histoire de Prévan, mise en garde mais défi déguisé que M. relève-> révèle rivalité Lettres 74…début de séduction de Prévan

toutes deux Le Festin de pierre ou le Fils criminel. d'une mauvaise traduction de l'espagnol "convidado" : "convive", et non "banquet" ! 2- Bien qu’il ait un nom espagnol, Don Juan, chez Molière, est un noble français. C’est un grand seigneur libertin qui appartient à cette noblesse du XVIIe siècle, Il dépend ainsi entièrement de la fortune de son père, et lorsque ses revenus ne lui suffisent pas, il emprunte à la bourgeoisie, pour tenir son rang et assurer son train de vie. Il a d’ailleurs le

épaisseur psychologique. Il est d’ailleurs le premier valet du théâtre français à s’interroger sur son moi et son destin. Les autres personnages échappent de la même façon que Figaro à la programmation de leurs rôles : le comte, paradoxalement jaloux et libertin, est un homme impuissant à maîtriser ses désirs. Marceline, la « vieille duègne » de l’acte I, se révèle dans l’acte III dans toute sa dignité, en découvrant dans Figaro le fils qu’elle avait abandonné. Chérubin, le petit page, représente le désir