Peinture Libertine

La première représentation de Dom Juan a eu lieu en 1665, peu après la censure de Tartuffe, en 1664. A l’époque, Molière est considéré comme un hérétique voir un libertin. Son ennemi majeur est la Compagnie du Saint Sacrement. La pièce est une contre-attaque de la part de Molière adressée aux censures de ses œuvres précédentes. Malgré son grand succès, la provocation avec Dom Juan est trop grande pour laisser certaines

disant que « Suffit qu’il faut que le courroux du ciel l’accable quelque jour » et « je souhaiterais qu’il fut déjà je ne sais ou ( en enfer ) » Mais non seulement Sganarelle met en avant le côté impie de don Juan comme il met aussi son côté libertin. Pour lui, les femmes sont toutes les mêmes qu’elles soient « Dame[s], demoiselle[s], bourgeoise[s], paysanne[s] » elles sont toutes des choses dont il fait une sorte de collection, nous montrant ainsi le mépris de cet homme pour les femmes, mépris

entre "simples capitulations" et "victoire complète" insistent sur ce point.  CONCLUSION : Valmont se présente comme un conquérant victorieux, fanfaron, suffisant. Cependant ce communiqué de victoire n'empêche pas l'apparition de sentiments. Le libertin cynique et impitoyable semble trahir le plaisir de cette conquête toute particulière. PARTIE 2 : LES SENTIMENTS INAVOUABLES DE VALMONT : Malgré son ton triomphal, son refus des sentiments Valmont semble s'être attaché aux charmes de Mme

lui-même son libertinage.* Quelles valeurs conserve ce libertinage lorsqu'il est inséré dans une comédie ? Nous étudierons dans un premier temps la parole théâtrale qui fait naitre le rire sur la scène avant de voir dans un second temps la leçon du libertin. La parole théâtrale qui fait naitre le rire sur la scène : La gestion de la parole théâtrale : Le passage commence par deux lignes qui indiquent que Dom Juan donne le droit de parler à son valet, il va indiquer aussi le contenu

DOM JUAN de Molière Introduction des extraits : Dom Juan est une pièce écrite par Molière en 1665 inspirée de la pièce Le trompeur de Séville de Tirso de Molina. Le titre et le sous-titre renvois à la pensée libertine à l’amoralité, à l’infidélité dans tous les domaines. Mais également à la destruction car le sous titre, Le festin de Pierre fait référence à la statue du commandeur qui entrainera Don Juan dans la mort. La pièce sera jouée en 1665 mais suite à des critiques sur «  l’impiété » de

Dom juan Molière  Dossier  Résumé de l’œuvre : Cette pièce relate la vie d’un séducteur, libertin, grossier imprévisible et actif. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Don Elvire, va lui

courant de pensée tend à se libérer du dogmatisme religieux. Les libertins souhaitent en effet l’apparition d’une société reposant sur le mérite et non les privilèges, être indépendants de toute contrainte moraliste imposée par l’Église, l’État ou la tradition. Ils s’adonnent aux relations sexuelles multiples, séparant le sexe de l’amour. Ils revendiquent le droit au plaisir immédiat. Dans ce récit, on nous décrit plusieurs libertins. Le fermier général, M. de B… dont Des Grieux découvre la présence

un roman libertin et fantaisiste. Pour Diderot le corps doit être un thème privilégié ; c'est sur lui qu'il fait reposer le fondement de sa morale. Pour lui, plaisir et vertu sont indissociables. Ainsi la vertu n'a pas à être austère, elle doit procurer du plaisir ou alors elle ne sert à rien. Dans cette lettre, Sophie Volland est sa maîtresse ; il est alors marié, c'est une correspondance réelle, elle est abondante et Diderot y fait son autoportrait. Cette lettre est libertine car : il

qui se lance dans l’écriture en //. Son œuvre littéraire majeure est un roman épistolaire libertin : Les liaisons dangereuses publiée en 1782. Elles provoqueront un véritable scandale. Il s’agit d’un roman composé d’échanges entre différents personnages et notamment Valmont et la Marquise de Merteuil qui sont 2 séducteurs et 2 grands manipulateurs. A travers ce roman épistolaire, mettant en scène 2 libertins, le lecteur va construire sa propre opinion puisque chaque évènement se comprend en croisant

(1567-1625) : « L’Astrée » Marin Le Roy de Gomberville (1600-1674) : « Carithée » Libertinage : Ce courant est né en Italie au XVIIe siecle en Italie , ce mouvement consiste à remettre en cause les dogmes (=régles) établis : c’est un libre penseur (=libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi par la métaphysique et l’éthique religieuse imposé par la société au XVIIe siècle. Le Classicisme : Ce courant sa développe en France et Europe de 1660 a 1715, Il se définit par un ensemble de valeurs