Peinture Tragique

Commentaire littéraire : séquence I : lecture analytique n°4 : Agrippa d’Aubigné : Les Tragiques (livre I, [vers 97-130] : Misères) Problématique : Comment l’auteur rend-il saisissante cette peinture qu’il fait de la France de son époque ? Introduction : - Agrippa d’Aubigné voit s’affronter durant toute sa vie deux courants de la religion chrétienne (protestants et catholiques). - Au milieu du siècle -> cette opposition -> combats entre les deux partis -> massacre de la Saint-Barthélemy

des poètes ». En effet, les fables peuvent sensibiliser tous les publics, les enfants y voient le côté ludique par la narration et les adultes voient plutôt le côté didactique. Agrippa d’Aubigné publie de manière clandestine son épopée Les Tragiques pour critiquer le parti catholique et dénoncer les guerres de Religion en 1562 à 1598. Il fait le réquisitoire du parti catholique en défendant le parti protestant. En effet il se sert de son épopée pour personnifier les deux partis

de français Le tragique, registre littéraire, se caractérise par un ressenti d'émotions tel que la crainte, la pitié. La tragédie, sous genre théâtrale apparu dans la Grèce antique au 5eme siècle avant jc, est un récit où le héros, ne peut échapper a son destin. Ce même personnage est aussi souvent confronté a des forces supérieurs.  En quoi le tragique  n'est pas réservée a la tragédie? Pour commencer, seront abordé les points qui relient la tragédie au registre tragique. Ensuite, il conviendra

Vénus) Champ lexical de la religion Multiplication des verbes d’action (bâtit un temple, l’orne, sacrifie de nombreux animaux, fait brûler de l’encens..) + généralisation des pluriels (vœux, victimes, autels, flancs) + hyperbole dans la peinture de ses actions pieuses (vœux assidus ,à toute heure entourée) + valeur itérative de l’imparfait. Champ lexical de l’hostilité + succession de 3 verbes au passé-simple en début de vers (= multiplication des actions, acharnement) + hyperbole (mes

responsabilité sur Amour. Lutte entre raison/amour caractérise récit / phrases Longues+ tortueuses -> conflit intérieur P.C. PPS introduisent Pensées intrinsèques personnage + trahit son déchirement De l’âme. Cette peinture de la P s’oppose au premier portrait H parfaite / femme tourmentée par ravages passions. | ➯ A l’image d’une héroïne parfaite vient se substituer ici celle d’une femme tourmentée en proie aux affres

quoi l'incipit inscrit-il le récit dans un registre tragique? Introduction :Ce texte est un extrait du Soleil des Scorta de Laurent Gaudé. Laurent Gaudé est un auteur contemporain qui a écrit la mort du roi Tsongor. Par ailleurs, Laurent Gaudé est passionné par l'Italie. Cet extrait se situe au début du roman, dans le chapitre les Pierres chaudes du destin. Nous nous demanderons en quoi l'incipit incrist-il le récit dans un registre tragique. Tout d'abord, nous verrons la mise en place d'une

du tragique que nous propose Jean Anouilh dans la préface de ses œuvre : «  Finalement, c’est reposant la tragédie parce qu’il n’y a plus d’espoir, de sales espoirs… D’une manière ou d’une autre les jeux sont faits ». Vous commenterez la définition tu tragique en vous inspirant de vos lectures personnelles. Jean Anouilh, écrivain et dramaturge du XXème siècle, reprend avec Antigone, pièce noire écrite en 1944, les données de la tragédie de Sophocle, grand tragique Grec

d'Antigone , tragédie moderne rédigée par Anouilh en 1944. Finalement le texte 3 est un passage d'Antigone , piéce tragique de Henry Bauchau éditée en 1997 . Ainsi nous pourrions nous demander dans quelle mesure le personnage d'Antigone est caracteriserez dans ces 3 textes . Les textes de Sophocle , Anouilh et Bauchau sont tous trois caracteristique du registre tragique . Ils se distinguent par leurs choix enonciatifs , qui marquent trois rapport différents au personnages d'Antigone .

ne pas choquer le public. D'autre part, les agissements et les sentiments du héros doivent, naturellement, être conformes à son rang. Enfin (et même si ces directions ne sont pas exhaustives), la première moitié du xxe siècle voit un retour du tragique : Jean Cocteau, Jean Anouilh, Jean Giraudoux reprennent des mythes antiques comme celui d'Œdipe, d'Antigone ou d'Electre, tout en les modernisant. Ils montrent ainsi d'une part la permanence des interrogations humaines, d'autre part le sens nouveau

est beau et jeune. C’est donc tout à fait normal qu’elle est un penchant pour ce jeune prince. On peut en conclure qu’elle n’est pas coupable. Une présence continuelle des Dieux Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D'ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant