Péjoratif

par un adjectif ou par un article , évoque le mal et le bien . Quant à l’ordre j’ai décidé dans un premier temps de regrouper ceux ayant un titre composé d’un nom à connotation mélioratif et d’un adjectif à connotation péjoratif puis dans une deuxième parties ceux ayant un nom péjoratif et un adjectif mélioratif et enfin de regrouper ceux liant le bien et le mal de la même manière que le titre du recueil . Puis l’ordre entre les poèmes appartenant à la même partie est chronologique . Mon anthologie

donne un ordreL3 – Le créateur dans sa sagesse → utilise péri-phrase – pour évoqué dieu L5 – avec conditionnel «  si tu l’oses » - va embêter l’homme pour la faire réagir L5 – empire tyrannique → rappel l4 avec répétition empire + adj qualificatif péjoratif avec « tyrannique » 2ieme mouvement :L6 – Enumération de verbe à l’impératif → montre, conseil, etudie, jette/ voir ordre car elle les incites à faire ces actionsL6 – animaux, éléments, végétaux, modification de la matière organisée → Champ lexical

tout paraît si juste ! » souligne le fait que la justice d’élimination est pour lui naïve o « cette justice d’élimination, cette justice d’angoisse et de mort » anaphore souligne les variations après : élimination ( termes encore plus péjoratifs : angoisse, mort o « Demain, grâce à vous la justice française ne sera plus une justice qui tue. Demain, grâce à vous, il n’y aura plus, pour notre honte commune, d’exécutions furtives, à l’aube, sous le dais noir, dans les prisons françaises

« donner sa parole ».  Inquiétude / souffrance de Figaro : utilisation des points de suspension : « c’est elle…ce n’est personne ».  Généralisation : à partir du cas de Suzanne, il CRITIQUE toutes les femmes : « O femme » x3 et des mots péjoratifs : « faible » / « décevante ». A cause de son parcours difficile :  l.14 « fils de je ne sais pas qui » : problème d’identité.  l.16 hyperbole « partout je suis repoussé » = difficulté à s’intégrer.  l.31 : séjour en prison.  Questionnement

de la vie parisienne (et de la strophe) • Titre —> thème central du poème, il dévoile environ de la promenade du poète => début de association du soleil et du poète car tous les deux au centre • GN péjoratifs : « vieux faubourgs; aux masures »—> donnent un aspect abord péjoratif • PSR + rejet du substantif : « persiennes »—> mettent en valeur les environs et le verbe « pendre » • Périphrase : « abri des secrets luxures »—> description insiste essentiellement sur la misère sociale

impliquant des avantages et le mal impliquant des inconvénients. Diderot soutient l'idée que la religion entraine de ce fait plus d'inconvénients que d'avantages. Il utilise l'argumentation. En effet, on voit que l'auteur utilise un vocabulaire péjoratif, un champ lexical du mal impliquant des mots forts pour décrire la religion et défendre son point de vu : « terribles ravages », « violente », « antipathie », « exterminant », « divisions », « effusion de sang », « funestes » et « haine ». La phrase

(l.16_18) - « Il savait assez honnêtement de théologie » (l.18) : ironique, cela remet en cause sa foi et ce pourquoi il s'est fait prêtre; - le fait d'associer St Augustin à Rabelais est péjoratif « quand il était las de lire st Augustin, il s'amusait avec Rabelais » (l.18-19) → c'est un portrait péjoratif, caricatural qui jette le discrédit sur les hommes d'église. En ce moquant des hommes d'église, Voltaire poursuit la tradition des fabliaux du Moyen-Age. 2-Portrait de la sœur -Elle n'est

sociale est l’émancipation des colonies. 4. Un homme de son temps Condorcet est un rationaliste, il lutte contre les préjugés. Il s’attaque à la religion, tout comme Voltaire : le mot « tyran » associé au mot « prêtre » lui donne un sens péjoratif, tout comme « l’extravagant prosélytisme ou les intrigues de nos prêtres ». Il lutte également contre l’esclavage et le racisme (« notre m épris sanguinaire pour les hommes d’une autre couleur ou d’une autre croyance »). Il y a une hiérarchie culturelle

cupidité,l’orgueil,la violence ». On peut dire que le registre est polémique critique d'abord leur violence et la barbarie par le champ lexical de la violence tel « brutes déchaînées » « mutilés » « égorgés » aux lignes 16 et 17 et des termes très péjoratif comme la périphrase « Cette bande frustre et avide » à la ligne 15. La violence des marins se traduit envers la nature , mais aussi entre eux comme le témoigne l'expression ligne 26 « Les bagarres que ne manquait pas de susciter chaque

venin ; C’est un folliculaire…C’est un faiseur de feuilles, un Fréron »Démonstratif + Champ lexical de l’insulteAntithèseHyperboleComparaisonAccumulations de termes péjoratifs et violentsAntonomase (désignation d’une personne par un nom commun ou une périphrase qui le caractérise, ou par le nom d’un personnage typique)Portrait très péjoratif du raisonneur présenté dans la première partie du texte.Qui marque l’opposition entre Candide, le sensible et le raisonneur dépourvu de toute sensibilité, un personnage