Péjoratif

la société de la fin du XIXème siècle c'est à dire abîmée, pourrie, gâtée au sens péjoratif. Il reproche à la société d'être →profondément inégalitaire, nous pouvoir le voir grâce à l'antithèse suivante: « le vol des quelques riches contre l'immense foule des misérables.» Nous avons ici une inégalité flagrante et choquante de l'ancienne cité, il y a un déséquilibre. Ceci est renforcé par le terme « vol » péjoratif, qui souligne le caractère criminel d'un tel déséquilibre. Ensuite, il reproche aussi

« il paraît » - Coup d’état (l2) : un tyran au pouvoir illégitime - Assassinats et exécutions sommaires (l4) : un roi sanguinaire - Hausse des impôts (l4) : un roi cupide. - Crainte légitime des paysans (l 6), (voc péjoratif) puis irruption soudaine et peu prévisible du roi chez eux (enchaînement très rapide et peu vraisemblable) B-Violence du père Ubu Irruption violente , cf didascalie l 11 Violence verbale : jurons, injonctions à l’impératif, menaces. L9- 10 /

long de ses récits et descriptions qu'il fait de son périple, il n’emploie que des termes péjoratifs pour nommer la guerre " croisade apocalyptique " , " abominable erreur " , " meurtre en commun " ... C'est une guerre devant laquelle sa peur est grande, il nous fait comprendre qu'il pense que c'est une grosse " erreur " de l'être humain. Pour nous convaincre, Bardamu utilise beaucoup de champs lexicaux péjoratifs ou bien épiques tel que ceux du sang, des blessures " éventré " , et du corps " tripes

dévalorisation de l'intérieur du pain Le changement de description entre croûte et mie est symbolisé par un tiret. Avant le tiret : mélioratif, belle lumière ; après le tiret : péjoratif, "sans un regard pour" => nette rupture. Ponge décrit l'intérieur du pain de façon très péjorative. Succession de 2 adjectifs péjoratifs associés : "mollesse ignoble", "lâche et froid". "lâche" : double sens à prendre soit au premier degré (lâche = pas compact) ou comme une personnification du pain = pas courageux

de Montaigne ) ◦ « il n' y a rien de barbare et de sauvage » : ici thème de la réflexion et début de la thèse . Deux notions importantes : « barbare » = du grec « barbaros » qui signifie étranger et qui prendra par la suite un sens péjoratif ( la barbarie= ce qui est cruel,inhumain c'est à dire étranger à l'humanité, non civilisé). « Sauvage » est ici à prendre au sens de « non civilisé ». Par l'emploi de la négation partielle « ne..rien » qui porte sur les deux adjectifs « sauvage

apostrophant à l'aide de questions rhétoriques ceux qu’il défini comme peuples « aveugles ». Cet adjectif qui dans ce contexte se révèle être péjoratif, met en évidence le fait que le peuple est ici un peuple manipulé, qui ne voit absolument pas ce qui se trame derrière un semblant d’aide de la part de l'Église. Le réquisitoire se poursuit par l’emploi d’autres termes péjoratifs, comme « victimes » et « dupes » ce qui met en avant la facilité des religieux de tromper un prolétariat si naïf. Tout ce champ lexical

définit par opposition aux autres hommes. Ce texte devient donc polémique. III- Un article polémique 1) La critique des autres hommes Articulations logiques qui opposent les « autres hommes » =/= « philosophe » Champ lexical dévalorisant/péjoratif pour les « autres hommes » Métaphores « ténèbres » (autres hommes) ; « flambeau » (philosophe) 2) Critique de l’esprit religieux « Maîtresse qui corrompe son imagination » Esprit guidé non pas par la raison mais par la foi (=>religion) ou

loup. | L.16-17 | Vocabulaire péjoratif | Démontre les conditions de vie des loups: défavorables | L.3-4 | Vocabulaire mélioratif | Démontre la beauté du chien, son mode de vie <<luxueux>> et sa bonne condition de vie. | Tout d'abord, cette fable de Jean de la Fontaine présente une structure comparative. D'un côté, il nous montre les conditions de vie du loup. Effectivement, ce loup a des conditions de vie défavorables. Le vocabulaire péjoratif que l'auteur emploie <<

est un surnom péjoratif, d’autre surnom sont employé plus affectivement pour le héros. Marie l’appellera Renzo en souvenir du Lorenzo d’avant, le duc lui aussi choisira des surnoms mettant un doute au lecteur sur les liens qui les unisses. Mais Philipe Strozzi l’appellera aussi : « un nouveau Brutus » et dans l’acte II, scène 4 nous retrouverons le nom de Brutus de la bouche même de Lorenzo qui demandera à Catherine de lui raconter l’histoire de ce personnage. Ainsi le nom péjoratif de Lorenzacio

action, verbes d'actions ''détruisent, chassent''. Vision plus saisissante (cf: Les Caractères de La Bruyère). b)un portrait orienté L'auteur donne son avis: portrait subjectif. L'opinion de La Rochefoucauld est négative, il fait un portrait péjoratif. Ligne 6, ''apparence de générosité'', condamnation du paraître. Ligne 13, ''valeur''; ligne 14, ''la noblesse dans leur courage'' qualités valorisantes détruites car destinées à la ''guerre'' ligne 13. Ligne 17, ''singes et guenons'': ''esprit''