Péjoratif

l’ordre sous la direction de Trivelin. Les personnages : Dans ce livre, il y a cinq personnages : Arlequin, Iphicrate, Trivelin, Euphrosine et Cléantis . Arlequin : le nom « Arlequin » est souvent donné à des bouffons, c’est un terme péjoratif . Il joue le personnage d’un valet qui ne se laisse pas piéger par son statut de maître. Iphicrate, maître d’Arlequin, son nom signifie «  qui gouverne par la force « ce qui décrit bien son état d’esprit. Cléantis , esclave féminine de Eurphrosine

d’autres » Chiasme. Référence au côté libertin de DJ. * Tirade de Sganarelle de la ligne 438 à 444. On voit que Sganarelle commence à faire un portrait très péjoratif de son maître « fourbe ». Cependant celui –ci est cassé par la didascalie « (il aperçoit Don Juan) ». Il reprend les mêmes mots employés auparavant sauf que ce n’est plus péjoratif mais mélioratif cette fois ci. Paradoxe/ Antithèse * Comique de situation : « médisants […] et je leur disais que, si quelqu’un leur venais dire du mal

portrait d'une femme rencontrée furtivement dans la rue . V1 Oppression par la foule = complément circonstanciel de lieu « autour de moi »= chiasme+Personnification de la rue = »hurlait »+ allitération en r = inconfort rue = inquiétante voc péjoratif + hyperbole . Le poète est détaché de la rue ...La rue se referme sur lui. V2 Énumération adj épithète « longue,mince»=beauté moderne + en se rapprochant « en grand deuil »= habillé de noir +allitération en «d» = renforcement + oxymore «douleur

le champ lexical du papier. Attitude critique de Pantagruel qui apparaît dans un vocabulaire péjoratif « ce fatras » + questions rhétoriques lignes 1 et 2 qui affirment implicitement l’absurdité de cette procédure. b) Une démarche inefficace : lourds et vains, inefficace, improductif, on préfère la quantité à la qualité lignes 6-7, antithèse limpide/obscurcie, obscurcie les faits. Vocabulaire péjoratif, inepte + oxymore « déraisonnable raison », absurdité, non sens de manière humoristique.

Enfer ? « Suffit que le courroux du Ciel l’accable quelque jour » (l.69). Remarquer l’euphémisme/périphrase utilisé par Sganarelle pour parler de l’enfer : « je souhaiterais qu’il fût déjà je ne sais où » (l.71, 72) II. Un portrait à charge (=péjoratif) de Dom Juan. a. Un séducteur, un libertin, un suborneur (= celui qui abuse de la crédulité des autres pour les corrompre) expert. « C’est un épouseur à toutes mains. Dame, damoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni

apparemment », des hyperboles « on la découvrit déjà verte » ; « tout le monde y passe … On n'a pas besoin de se bousculer, il y a de la place pour tout le monde ...  Et c'est bête d'être pressé, parce qu'on arrive moins vite ... », du vocabulaire péjoratif avec «  sa niche », « cette niche », « avanies », « elle claquait du bec » ainsi qu'une métaphore péjorative : « Les uns veulent, les autres ne veulent pas ». Pour finir, Victor Hugo est le seul à ne pas avoir utilisé d'ironie. Pascal Quignard utilise

bourgeoisCommentaire linéaire Description de la bourgeoisie : 1-Les bourgeois comparés à des oiseaux · Interjonction « Ô » au début du vers 1 pour interpeler le lecteur · Animalisation des bourgeois en oiseaux : Pigeon / dindon / oie / vers 3,5,7· Lexique péjoratif, Ils sont comparés à ces oiseaux qui ne sont pas très intelligents Pigeon : crétin, homme sans intelligence victime des autres dindon : animal ballot2-Le conformisme des bourgeois : · Vers 1 à 2 << Ô vie heureuse des bourgeois ! Qu’avril bourgeonne

ce temps. Le complément d'objet direct : « morte bien jeune », sert à expliquer la situation de la mère. L'adjectif qualificatif : « aîné » se rapportant au nom « frère », ou encore le complément d'objet indirect : « à l'hébétude », vocabulaire péjoratif servent dans la description du premier fils du Roi.Ces explications qui concernent le reste de la famille, semblent toutes servir le complément circonstanciel de manière : « seul », qui fait ressortir le pathétique de l'extrait en s'appuyant sur

enfants ont une position de victime « Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. » En effet , il explique le travail dur que qu’exerce les enfants en décrivant l’usine d’une manière très péjoratif. De plus , il montre que l’usine n’est pas un endroit où des enfants doivent travailler ou même être : « Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. ». Tout t’en s’appuyant sur le fait que l’enfance

parfait bonheur ”vers 15. Il utilise aussi des mots péjoratif “ farouche ” vers 5, “montée des plus bas fond ” vers 6, “ consumé ” vers 14, “ suspendu ” vers 16, “ eaux noires ” vers 18, “ lac froid ” vers 19 “ ténèbres ” vers 20 “ voraces ”vers 20 “ne te méritant ” vers 22 . On peut voir que le poème et couper en deux d'un coté, il utilise des mots mélioratif pour fair une description de la femme mais il utilise aussi des mots péjoratif pour détruit cette image de femme belle. On peux dire