Péjoratif

Problématique : Etudier comment, malgré une neutralité apparente se construit en réalité uen critique assez sévère d’une injustice sociale. Plan : 1) Une perspective générale et universelle 2) Une portrait dépréciatif (dévalorisant, péjoratif) 3) Un auteur malgré tout engagé 1) Une perspective générale et universelle a) Un ton impersonnel L’emploi du présent de l’indicatif a une valeur descriptive, c’est un présent de vérité générale qui permet de définir de manière universelle

1ère partie : Alors que Germinie se présente à elle pour lui montrer sa robe de bal, Melle de Varandeuil, une vielle fille noble, lui reproche sa coquetterie et la met en garde contre le mariage et les hommes. 2nde partie : Portrait physique péjoratif de Germinie. I. 1er passage : Melle de Varandeuil (l1 à 24) Il s’agit essentiellement d’un dialogue au style direct : caractérisation indirecte du personnage ; opinion exprimée par le personnage ; relation entre les personnages. a) Le personnage :

des mots comme « plaisir » v.3, « envie » v.4, « regret » v.7 ou « âme » vient renforcer la dimension spirituelle de ce testament.Le poète réalise une description minutieuse de sa condition, en effet, on relève tout au long du poème un vocabulaire péjoratif avec des mots comme « maux » v.22 et 32, « haine » v.40, « malheurs » v.41, « meurtrières » v.42. Le double parallélisme vers 43 et 44 « Tant de fièvre et tant de pleurs // Tant de respects, tant de prières » insiste sur la douleur du poète, en effet

immortel’ qui est l’écho de ‘toute sa grandeur’ dans la ph 4.La nature sert de caution à sa démonstration.Ph7:’fagoté’ est péjoratif :O ridiculise l’homme qui ne semble pas capable de réfléchir ;en outre un principe est une règle et donc le contraire d’une exception.Les hommes ne sont pas capables de faire preuve de logique. Ph8:énumération de termes péjoratifs et insultants qu’O semble cracher avec l’allitération en B.Le mot ‘aveugle’ contraste avec l’esprit des Lumières :l’attaque

« dans tout l’univers » fait écho aux idées des Lumières et a un réel fondement. L’exagération avec « reconnais tes droits » a une connotation humoristique car le lecteur pourrait se demander de quels droits parle-t-on ? L’énumération de termes péjoratifs « préjugés, fanatisme, superstition, mensonges » rappelle le combat des Lumières contre la monarchie absolue. O de Gouges utilise le complément du nom nature qui fait référence à ce qui est possible, qui est naturel « le puissant empire de la nature »

mari = libertinage *elle est cultivée  (elle lit Montaigne, saint Paul), références littéraires (elle connait des vers de Molière par cœur) * irrespectueuse, qui n’a pas « la langue dans sa poche » *langage imagé et pittoresque = « croquis » péjoratif des hommes qui ont « le menton couvert d’un vilain poil rude », « les muscles plus forts » *franc parler face à l’abbé à qui elle ne laisse pas la parole *ironie signe de supériorité et de désinvolture. *réaction violente « j’ai jeté le livre »

dévalorisantes- lexique mélioratif ou péjoratif- figures d’insistance (hyperboles, gradations). | SATIRIQUE | Définition : dénoncer avec virulence les défauts d’un personnage, d’une société, de m?urs, d’un événement.Ridicule extrême du point de vue de l’adversaire» ne mérite pas d’être réfuté de façon sérieuse =inutile de construire une argumentation.But : susciter la moquerie du destinataire- le rire assure la connivence avec le lecteur. | Ironie- lexique péjoratif-figures d’insistance (hyperboles

neuf 1. Diderot compare implicitement en les opposants, la civilisation occidentale et la société des tahitiens. Deux comportements opposés se donnent à lire à travers un vocabulaire mélioratif par les tahitiens et péjoratifs pour les occidentaux. Vocabulaire péjoratif pour les occidentaux Vocabulaire mélioratifs pour les tahitiens "vengé" , "asservir" , t'emparer", "pillé", "mépris", "franchir", "entré", "tourmanter"  Comportements violents, agressif à l'égard de l'autre. "hônnete"

l'expression « il passera dans les grands » tourne encore plus le personnage au ridicule car il est plus grand que tout les autres. Pourtant ce personnage est au centre de l'incipit.                   II- Le portrait de Charles : un portrait péjoratif          A- Portrait physique Le narrateur fait le portrait en pied de Charles (taille, cheveux, ère (visage), épaule, poignets, jambes, souliers). Aspect vestimentaire de Charles qui fait référence à un déguisement qui parodie involontairement

sentiment tronqué par rapport au sujet d’Agnès. « ce que c’est que sa foi » IE redondance de l’interrogatif par le présentatif montre bien la portée didactique du texte « cassette …. Fasse » IE tire la leçon de l’expérience – prétérition « blondin » péjoratif « langueur » IE paresse comme maladie, une agonie. Ici, mauvais côté de l’état amoureux. 19ème = érotisé. Qui subit cette langueur ? on ne sait pas trop – la langueur apparait comme un stratagème. « péché mortel » : sermon + superlatif rend le