Pèlerinage de Rome

Séminaire de Cracovie à peine réouvert, mais également à la Faculté de théologie de l'Université Jagellon, jusqu'à son ordination sacerdotale survenue à Cracovie le 1er novembre 1946 des mains du Cardinal Adam Stefan Sapieha. Il fut ensuite envoyé à Rome par le Cardinal Sapieha et poursuivit ses études doctorales sous la direction du Dominicain français, le P.Garrigou-Lagrange. Il soutint en 1948 sa thèse en théologie consacrée à la Foi dans l'oeuvre de saint Jean-de-la-Croix (Doctrina de fide apud

les autochtones y sont à demeure. C’est peut être ce qui explique le drame des juifs de Médine. Mais sur un plan plus vaste, c’est ce qui fait qu’après les dominations les plus diverses qui s’y sont succédé, après celles notamment de l’Abyssinie, de Rome et de la Perse, l’Arabie n’aura finalement été dominée que par elle-même, pour ensuite dominer sur le Croissant fertile et le reste du monde civilisé, que les Arabes ont envahi dès les premières décennies de l’expansion islamique. C’est le « jeu »

romain qui contribua à définir les fondements de la civilisation européenne : par exemple, la statue en bronze représentant La louve allaitant Romulus et Rémus (V e siecle avant Jésus Christ) est un emblème car ces enfant abandonnés décident de fonder Rome et choisissent pour emplacement l'endroit où ils avaient été délaissé et où ils avaient passé leur enfance. Par la suite, l'art byzantin se développe à partir de l'art romain du VIIe avant Jésus Christ Jusqu'en 1453. La thématique artistique byzantine

un récit de Grégoire de Tours sur les événements qui ont conduit Clovis à se convertir. Grégoire de Tours naît en 538 dans une riche famille gallo-romaine et devient en 573 évêque de Tours. Tours est dans la Gaule mérovingienne un lieu sacré de pèlerinage grâce au tombeau de Saint Martin un des apôtre de la Gaule et de la Dynastie mérovingienne plus particulièrement. Grégoire est un évêque qui relit la latinité et la barbarie. Né plus de 30 ans après Clovis, la source d’information la plus riche

d’influence. L’Europe occidentale, l’ancien empire romain d’occident, est sous l’influence de Rome et du pape, qui rêve de refaire l’unité du monde occidental autour de Rome. Cet espace se définit ainsi par son appartenance au monde latin catholique. Quant à la deuxième sphère d’influence, elle correspond à l’Empire romain d’Orient, devenu l’Empire byzantin, qui s’oppose à la domination du pape et de Rome, et qui se définit par son appartenance au monde grec. Le conflit spirituel entre les

communient au moins une fois par an. Ils font l'aumône aux pauvres. Ils font don de leurs biens à l'Église. Ils entreprennent aussi des pèlerinages, pour se recueillir sur les reliques des saints. Partout en Occident, ils sont des milliers à circuler, principalement vers trois lieux saints : le tombeau de saint Jacques à Compostelle, le tombeau de saint Pierre à Rome, le tombeau du Christ à Jérusalem. Ils espèrent ainsi préparer leur salut, ou guérir d'une maladie. b) L’art au service de la foi.

déclin de l'Empire Byzantin 1.L'héritier de l'Empire romain L'Empire Byzantin est né du partage de l'Empire romain en 395. La partie Occidentale se disloque de la pression des « Barbares ». La partie Orientale de l'Empire revendique l'héritage de Rome. Le pouvoir impériale Byzantin est une Théocratie. Théocratie : Système politique dans le quel le pouvoir vient de dieu et est exercé en son nom. La puissance de l'Empereur repose sur une armée nombreuse et sous une administration efficace. Le

d’Athènes très axées sur la vraie participation réelle de la minorité citoyenne.-concepts d’hégémonie et d’impérialisme politique devient importants.-armée romaine organisée en légion.-Empire divisé en deux sections, partie occidentale dirigée par Rome et la partie orientale par Constantinople.-Constantinople devient le siège des empereurs orientaux.-ennemis étrangers et intérieurs. | -Les guerres continuent à travers l’Europe. -Avec les changements de territoires, certaines villes sont créées, d’où

6) On ne connaît pas grande chose des Lihyânites de l'Arabie centrale, mais le Yémen avait, à juste titre, été appelé "l'Arabie Heureuse", après avoir connu les florissantes civilisations de Saba et de Ma'în, avant même la fondation de la cité de Rome, et capable plus tard d'arracher des provinces aux Byzantins et aux Perses, le Yémen était alors déchiré entre d'innombrables principautés, et subissait, d'autre part, l'occupation sassanide. L'Est de la péninsule appartenait également aux rois de

III Les réactions de l'Eglise de Rome Missionnaires, Croisade et Inquisition Les cathares étaient donc des chrétiens qui s'opposaient à l'Eglise officielle, celle de Rome. Ils vont payer cher leur défi à cette puissance. L'Eglise réagit d'abord pacifiquement en envoyant des missions d'observation et de discussion. 1) Le temps des missionnaires pacifiques Moines de Clairvaux Depuis longtemps, l'Eglise s'était émue des progrès du Catharisme. Envoyé par le pape, Bernard de Clairvaux (le