Pense T On Jamais Seul

de notre société, en ce sens qu’elle est une règle qui fixe des limites tendant à respecter Autrui. Cependant si son objectif tend au respect de nos semblables, nous pouvons nous interroger quant à la réelle nature de la politesse. N’ai-je en effet jamais porté un égard poli à une personne que je n’appréciais guère seulement dans le but de respecter la norme ou bien d’obtenir quelque chose en échange (de la considération, une information etc.). Si la politesse fait partie intégrante de notre société

celles-ci s'offrent à moi, les questions changent. Je suis mon propre cercle vicieux, mon propre démon. Ce sont ces pensées omniprésentes dans ma tête qui me font tout ce mal. Pourquoi je réfléchis autant? Pourquoi je ne me laisse pas vivre? Encore des questions. Je voudrais être simple, ne plus penser, trouver cette affection dont j'ai besoin, m'accepter moi et mon corps. Je pense sincèrement que si j'acquiers ces futilités, je serai heureuse. Car comme on dit, "le bonheur, c'est un état d'esprit"

n’être jamais né. » Je lui demandai pourquoi. Il me répondit : « J’étudie depuis quarante ans, ce sont quarante années de perdues ; j’enseigne les autres, et j’ignore tout ; cet état porte dans mon âme tant d’humiliation et de dégoût que la vie m’est insupportable. Je suis né, je vis dans le temps, et je ne sais pas ce que c’est que le temps ; je me trouve dans un point entre deux éternités, comme disent nos sages, et je n’ai nulle idée de l’éternité. Je suis composé de matière ; je pense, je n’ai

heurte alors aux croyances très catholiques de l'époque mais refuse de ne plus croire en ses idées, même lorsqu'il fut soumis à la question. Pourquoi tant d'abnégation ? Parce qu'il croyait en ses propos, et c'est cette croyance qui l'a poussé à ne jamais abdiquer. Croire est difficile parce qu'on ne voit pas, nous croyons en notre version et nous en faisons notre réalité. En ce qui me concerne je suis agnostique, je ne crois pas en une religion, une doctrine, je crois qu'il y a une conscience supérieure

où nous considérons leur existence antérieure, et auquel nous comparons leur existence présente. De ce que nous ne trouvons jamais ni ne pouvons concevoir que deux choses de même espèce puissent exister à la même place au même moment, nous concluons à bon droit que tout ce qui existe quelque part à un moment donné en exclut tout ce qui est de même espèce, et s’y trouve soi seul. Lorsque donc nous voulons savoir si une chose est ou non la même, la question porte toujours sur quelque chose qui a existé

Dissertation Pascal, ayant été un mathématicien, un physicien et un penseur, amèna une grande richesse de perspective à ses pensées philosophiques: «Comme la télévision nous permet de contempler un spectacle [...] sous des angles divers sans être, comme le spectateur cloué en un seul point, Pascal avait sans doute projeté un ouvrage surhumain, magique, où ses pensées auraient pu se mouvoir, se suivre et s'interrompre, se recomposer diversement, comme les couleurs le font au coucher du soleil dans

pensées des grands hommesQuand tu auras découvert quel est ton but réel ou ton destin, tu n'auras plus besoin de travailler un seul jour de ta vie.Robin S. Sharma | 20/8/2008 | Il n'y a pas d'erreurs dans la vie, il n'y a que des leçons. Il n'existe pas d'expériences négatives, il n'y a que des occasions de mûrir, d'apprendre et d'avancer le long de la voie de la maîtrise de soi.Robin S. Sharma | 18/8/2008 | Ton bonheur ne sera pas accru grâce à la quantité de biens que tu pourras être

où elle entame une licence en philologie romane à l'Université Libre de Bruxelles. Elle écrit depuis ses dix-sept ans. Elle consacre au moins quatre heures par jour à l’écriture, sa passion et dit écrire trois romans par an pour n’en publier qu’un seul ; les autres étant selon elle trop personnels. C'est en 1992, alors âgée de vingt-cinq ans, qu'elle fait son entrée fracassante dans le monde des lettres avec son roman "Hygiène de l'assassin." Elle est encore actuellement domiciliée à Bruxelles

dans ce triste paysage réaliste font ressortir parfois des choses qui les entourent, de leurs paroles et de leurs gestes, une poésie discrète. Ce n'est pas encore le crépuscule mais on sent que le soleil achève sa parabole sur la ville. Moineau est seul en scène. Il est assis sur une poubelle placée con tre la palissade, près de l'ouverture. Il joue de l'harmonica, niais très maladroitement. On di rait une suite de notes mélancoliques qui s'exha lent de ses lèvres. Parfois il cesse de jouer pour secouer

Exquis « -J'ai une question à te poser, réfléchis bien avant de répondre... Quand deux personnes s'aiment vraiment mais qu'elles ont toujours l'impression que ça colle pas, à quel moment elles s'aperçoivent que quand c'est fini, c'est fini? -...Jamais » Le Mexicain « Cette chanson parle de ma véritable histoire d'amour. L'histoire où j'ai risqué tout mon être. Mais maintenant, c'est l'histoire de l'amour, qui est déjà passée et terminée. I love you. Je t'aime encore. Mon cœur est sincère. La