Pensée abstraite

Le langage Pourquoi parle-t'on? Nous parlons pour communiquer. Definition: *système de signe qui rend possible l'expression des pensées, l'échange d'info/idée. *Élément matériel(phonique, graphique, gestuel) qui représente autre chose que lui-même. Le propre du langage est sa dimension symbolique. Par le langage , nous partageons le monde. Etude de « L'Illiade » d'Aristote: Lien entre anthropologie et politique. L'homme=animal politique. Cité=communauté politique(organisée par

Comment définir une notion aussi abstraite que celle du bonheur ? Si tous les hommes désirent être heureux, il paraît impossible de parvenir à le définir universellement. Le bonheur n’est-il donc qu’une illusion ? Ne renvoie-t-il pas à une sorte d'idéal inaccessible ? Toutefois, si le bonheur est chimérique et inatteignable, la vie vaut-elle encore la peine d'être vécue ? Le bonheur apparaît comme l'idéal d'une vie accomplie, son achèvement et peut être même notre unique et ultime raison d'être

Jean Dubuffet (1901-1985) S’articulant en un certain nombre de séries qui constituent à chaque fois un changement de style, l’œuvre de Dubuffet n’en est pas, pour autant, moins cohérente du point de vue de la pensée et d’une certaine vision de l’homme, de l’art et de la culture. Réduire son œuvre à l’art brut ou inspiré des dessins d’enfance, serait oublier le caractère délibéré d’un tel art et son côté savant, alimenté par de nombreux écrits théoriques. S’intéressant à la représentation du corps

l’on dit avec ce qui est. Elle est donc un caractère de notre connaissance et non de ce qui existe réellement. En d’autres mots, elle est l’adéquation entre la réalité et l’homme qui la pense, considérée comme l’idéal de la connaissance. De manière classique nous pouvons la définir comme étant l’accord de notre pensée avec le réel. Donc, la vérité doit être conforme à nos connaissances. C’est ce que nous avons appris tout au long de notre éducation qui définit un idéal qu’est la vérité. La recherche

Les larmes dévalent notre visage, ne s'arrêtent plus. Le sang coule. Les mots fusent. Les corps s'entrechoquent, les pensées aussi. Il suffit de 5 minutes, 5 petites minutes de notre vies pour nous détruire. On apprends de ses erreurs mais on y succombe au final.. C'est la vie. On serait peut être immortels sans l'amour. Une vie sans amour est elle égale à une vie triste ? Je ne pense pas. Envier les autres. En être jaloux au point de ne faire qu'y penser. Vouloir mourir, mourir d'amour, mourir de

abstraitement, peut envisager de multiples possibilités. Peut penser en symboles Le raisonnement hypothético-déductif : Élaborer des hypothèses pour ensuite les tester. Peut être abstrait. Pensée post-formelle : pensée réflexive amène une évaluation active/continue de l’information. Fait conclusions grâce aux conséquences Pensée post-formelle : basée sur expérience, logique et intuition de la personne. Pour résoudre situations conflictuelles Critères : alternance théorie/pratique (avec raisonnement

longue rêverie sur la mort, dans laquelle il réalise petit à petit que les êtres vivants sont tous impuissants face à elle. C’est donc dans cette ambiance quelque peu morbide que nous allons étudier la façon dont l’auteur réussit à dévier les pensées de son personnage vers un solide questionnement sur la mort. Nous verrons d’abord comment l’auteur passe d’une description concrète de la mort, à la fameuse rêverie. Puis, dans une seconde partie nous étudierons le fonctionnement de la rêverie

toujours une abstraction, l’exercice d’une activité symbolique. « Arbre » ne désigne pas un arbre donné, mais le concept même d’arbre ; c’est pour cela qu’il peut désigner tous les arbres. Les mots ne renvoient pas à des choses, mais à des concepts abstraits et généraux. Comme l’écrit Benveniste, « le caractère du langage est de procurer un substitut de l’expérience apte à être transmis sans fin dans le temps et dans l’espace, ce qui est le propre de notre symbolisme » Le langage humain s’oppose à

pas réussir, mais elle peut également devenir un moteur d'autre part un moteur pour l'action. Un obstacle est une difficulté rencontrée dans l'élaboration de quelque chose. Une action est l'exercice de sa capacité d'agir, par opposition donc à la pensée ou la parole. Dans le verbe devenir, nous avons une impression d’évolution des choses. En somme nous allons tenter de comprendre en quoi la conscience de soi peut devenir un obstacle pour l'action ? Pour cela nous verrons en quoi la conscience de

leur vie intellectuelle comme disciples de Hegel, dont ils ont assimilé et développé l’enseignement le plus précieux : la méthode de pensée dialectique. Et malgré tous les accomplissements ultérieurs de la philosophie marxiste, les écrits de Hegel figurent toujours parmi les sommets de la pensée dialectique. Hegel était un idéaliste : c’est le défaut majeur de sa pensée. Pour lui, le monde qui nous entoure, les hommes, la société, l’histoire – tout est le produit de ce qu’il appelle « l’Idée absolue