Penser C Est Dire Non

Introduction Peut-on apprendre la philosophie ? Le verbe pouvoir prend deux signification en philosophie : -Est-il possible (dans la réalité, dans les faits) ? -Est-il légitime ? Qu’est ce qui nous autorise à penser que. Pourquoi une telle question ? Exemples : -Apprendre une langue. C’est acquérir une maitrise de la langue, un passage de l’ignorance au savoir. C’est l’acquisition d’une compétence. Pour l’anglais par exemple, c’est l’acquisition d’un savoir qui atteint aussi la culture anglaise

doit-elle avoir des limites ? La liberté de penser est le droit pour tout le monde de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par les moyens qu'elle désir, en terme de politique, de philosophie, de religion, de morale ou tout autre domaine. La liberté est considérée comme fondamentale (inscrit dans la déclaration des droit de l'Homme de 1948). Notre liberté de penser possède t-elle des limites ? Doit-on limiter la liberté de penser ? Pour répondre à ces questions nous jugerons

A priori, le texte ne comporte pas de terme technique, son abord est plutôt simple. De plus, le texte se présente directement comme argumentatif où la thèse n'est qu'évoqué au début et qui est que «les bêtes sont dénuées de pensée». C'est à dire que les animaux ne sont pas capable du processus que les Hommes ont au contact de la réalité matérielle et sociale qui leur permet d'élaborer des concepts afin de les relier entre eux et acquérir de nouvelles connaissances. Mais Descartes affirme tout de

qui devient blanc a d'abord été non-blanc, la maison achevée suppose la dispersion initiale des matériaux qui la composent. Aristote, dans un premier temps, réduit l'opposition de ces contraires à deux grands principes : la forme (eidos) et la privation de forme (steresis). Une construction quelconque ne peut être dite « maison » que lorsqu'elle possède la forme, c'est-à-dire la structure de la maison. Inversement, en raison de son absence de détermination, c'est-à-dire de sa privation de forme, un

de dire des créatures vivantes, lorsqu’elles sont emprisonnées ou retenues par des murs ou des chaînes, ou de l’eau lorsqu’elle est contenue par des rives ou par un récipient, faute de quoi elle se répandrait dans un espace plus grand, que ces choses n’ont pas la liberté de se mouvoir de la manière dont elles le feraient en l’absence d’obstacles extérieurs. Cependant, quand l’obstacle au mouvement réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas

pensaient, ils se débrouilleraient pour trouver un moyen de parler, de communiquer, sans que le but soit de répondre a leurs besoins ou instincts. Penser que et parler semblent dissociables puiqu’on peut ne pas penser ce qu’on dit et penser ce qu’on ne dit pas MAIS, à partir du moment où on pense que, on doit être capable de le dire, au moins de se le dire, même si ce n’est pas avec les bons mots. Si on ne peut pas traduire sa pensée en mots, la pensée n’existe plus. « un nouveau mot est comme une

 Philosophie : Peut-on tout dire ? L’homme est considéré comme un animal, mais on lui accorde une caractéristique qui est la possession de cette faculté proprement humaine, le langage (« logos »). C’est ce qui permet de différencié « l’animal » de « l’animal ayant le logos », l’Homme. Il est capable de mettre des mots sur des choses, de les nommer, pour permettre aux autres hommes de le comprendre, d’interagir et de communiquer avec lui : "Comme

Suis-je libre de penser ce que je veux? Être libre (du latin liber), c’est n’avoir pas d’entrave, de chaînes, au contraire de l’esclave. « libertas » désignait l’état juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle

de changer sa façon de penser? Ou bien est-ce qu’il n’est pas nécessaire de mettre en place une éthique qui régit le développement technique, afin de comprendre qui impose quoi à qui ? Le développement technique nous impose t-il une façon de penser ? L’homme contrairement aux autres espèces est devenu ce qu’il est car il a su transformer son espèce et ce qui l’entourait, la nature. Mais que serions-nous aujourd’hui, sans la technique ? On peut aujourd’hui encore dire que le développement technique

avouer ; c’est à savoir qu’une pensée vient quand « elle » veut et non quand « je » veux, en telle sorte que c’est falsifier les faits que de dire que le sujet « je » est la détermination du verbe « pense ». Quelque chose pense, mais que ce soit justement ce vieil et illustre « je », ce n’est là, pour le dire en termes modérés, qu’une hypothèse, une allégation, surtout ce n’est pas une « certitude immédiate ». Enfin, c’est déjà trop dire que d’affirmer que quelque chose pense, ce « quelque chose » contient