Penser Sans Préjugés

Chapitre 1 : ------------------------------------------------- Que vaut la preuve contre le préjugé ? « La raison du plus fort est toujours la meilleure » (La Fontaine, Le loup et l’agneau). Cette fable de Jean de La Fontaine pourrait servir d’allégorie pour le combat de la preuve contre le préjugé : l’agneau a beau apporter les preuves les plus irréfutables (il n’était pas né ; il n’a pas de frère ; …), le loup, avant même d’examiner ses preuves, a décidé (a pré-jugé) que l’agneau était coupable

- préjugé : Littéralement, qui est "jugé avant". Se dit des croyances, des opinions préconçues qui empêchent d'avoir une vision rationnelle et objective des choses. Le préjugé à proprement parler est un jugement d'avant le jugement vrai. S'intéresser au pré-jugé, c'est donc par conséquent s'intéresser à la notion de jugement dès lors que le préjugé est une forme de jugement. Le jugement en tant que faculté de juger est d'abord une puissange qui permet de distinguer le vrai et le faux qui s'exerce

libération de l’homme, et invite l’individu à la méfiance à l’égard des préjugés et des pouvoirs établis. Ce que résume son célèbre aphorisme : « Penser, c’est dire non ». Penser c’est dire « non » disait Alain. Non à la précipitation, non à la nervosité, non aux pensées immédiates et à la complaisance. Pour penser, il faut, dit Alain, que notre pensée adopte une certaine démarche puisqu’il n’est jamais question de penser n’importe comment. C’est dire non à la nature et oui à la culture et à l’apprentissage

PHILOSOPHIE Peut-on se libérer de ses préjugés ? Beaucoup d’hommes se font des idées préconçues dès leurs jeunes âges, il leur faut alors beaucoup de temps pour s’en défaire grâce à l’instruction mais surtout grâce aux expériences vécues tout au long d’une vie. On parle alors de préjugés, qui sont un ensemble d’opinions et de termes exprimés par un homme sans que ce dernier n’est fait d’examen critique au préalable. L’homme peut-il alors se libérer de ses préjugés ? Au sein même de cette problématique

a) la raison genere les prejugés les prejugés profitbles aux enfants a l etat de nullité , doivent selon les regles de la nature disparaître et remplacé par nos preores pensees qui crees grace a notr raison ;  ; mais l enfant pour accomplir sont humanité doit rempre avc ses prejugés et commence a pesner par lui meme pour acquerir la liberté de penser grafe a sa raiosn ; considerer la raison comme la clé de l humanité ne serait ce en lui meme créer un nouveau prejugé ? La puissance de bien

Un préjugé peut-il être utile ? On considère généralement que l'on doit vérifier ce que l'on crois, qu’un jugement non examiné ne saurait avoir d’intérêt ni d’avantages. Le préjugé est tenu comme une marque de faiblesse morale qui consiste à se laisser aller aux apparences ou aux idées toutes faites ou une marque de faiblesse intellectuelle qui consiste à ne pas faire preuve de jugement puisque avoir des préjugés c’est accepter des opinions sans les examiner, par ignorance et par paresse. Pourtant

discours de la méthode, Descartes nous dit " je pense donc je suis", il montre ainsi que le sujet est le principe sur lequel repose l'ensemble de la pensée rationnelle. Au contraire quand un sujet ne pense pas il répète des opinions, des avis, des préjugés. La pensée suppose donc l'activité libre d'un sujet, mais en affirmant que le sujet est principe, que cette pensée suppose nécessairement un sujet, on risque peut être d'oublier qu'il peut y avoir une activité de l'esprit qui dépasse le sujet. En

Sujet : Peut-on en finir avec les préjugés ? Affirmer qu’il est impossible de battre un africain au sprint, croire que l’apparence et le style déterminent l’individu, apparaissent comme des préjugés. En effet, ces opinions ont été admises sans jugement, ni raisonnement. Le terme préjugé provient du latin « praejudiciare » qui signifie jugé préalablement. La notion de préjugé est souvent employée dans un sens péjoratif, pour dénoncer l’erreur ou même l’absence de réflexion, celle qui conduit l’individu

tous ? On se demande si on peut avoir raison seul contre tous ? La question nous permet de contempler la situation de quelqu'un que sa prise de position dans un débat, isolerait totalement des autres, en ce qu'elle le conduirait à être le seul à penser ce qu'il pense. La conviction d'avoir raison est alors partagée par les deux camps, ce qui revient au principe de contradiction d'Aristote (de deux énoncés contradictoires, un seul est vrai).Mais comment savoir alors de quel côté se trouve la raison

préférable alors de mentir? Le préjugé est un système qui nous empêche de penser en nous enfermant dans des habitudes. Néanmoins, dans l'exemple donné ci-dessus, il a des conséquences généralement positives. Cependant, le préjugé peut amener une personne à être injuste par méconnaissance. Par exemple, lorsqu'un individu en rencontre un autre, différent par une particularité inconnue du premier, ce dernier sera considéré comme étrange, voire repoussant, dégoûtant. Un préjugé n'a-t-il toujours aucun fondement