Pension Bourgeoise

lire. → mystère sur les personnages, sur les relations, sur les causes de leur situation. Texte 3: Le Père Goriot de Balzac Biographie de Balzac Honoré de Balzac (1799-1860) écrivain, né a Tours le 20 mai 1799, issu d'une famille bourgeoise. Au début, il était destiné à la carrière de Notaire selon sa mère mais il avoua à ses parents qu'il souhaitait devenir écrivain ainsi il ne vécut que pour la littérature à un rythme forcené après avoir travaillé dans plusieurs journaux pour rembourser

d'un peintre impressionniste au choix. Camille Pissarro: 1. Sa Vie.Né en 1830 à Saint-Thomas dans les Antilles alors possession Danoise dont il gardera la nationalité toute sa vie. Issu d'une une famille bourgeoise, Camille Pissaro arrive très jeune à Paris en 1842. Il étudie à Passy, à la pension Savary, puis retourne en 1847 dans son île natale où il restera cinq ans à travailler dans le commerce familial. En 1852, il part pour Caracas, au Vénézuela, avec un ami, Fritz Melbye, un artiste danois

il plonge dans la misère la plus noire. Les productions littéraires de ses dernières années sont purement alimentaires. À cette époque, il partage son temps entre le café et l'hôpital. En 1894, il est couronné « Prince des Poètes » et doté d'une pension. Usé prématurément, il meurt en 1896, à Paris à l'âge de 52 ans. Le lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux : dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l'Opéra, a perdu un bras

professionnel, agricole, religieux, très puissants. • Pouvoir culturelle, la bourgeoisie contrôle la plus part des moyens d’informations et de communications ex : presse écrite, elle impose ses propres valeurs. C] Le mode de vie bourgeoise Pour la grande bourgeoisie : mode de vie fastueux. Phénomène : fusion des élites urbaines entre la grande bourgeoisie et l’aristocratie par les mariages arrangés. La noblesse fascine la Bourgeoisie qui va copier certains comportements de l’aristocratie

complètement les paupières, ne regardant plus que ses doigts minces qui enroulaient sur leurs fuseaux, les longs poils de la peau d’ours. » « Et, levant la tête, elle salua deux jeunes femmes couchées côte à côte […] » «  Renée, qui avait connu en pension les deux inséparables […] Et, comme, après leur avoir souri, elle allait se pelotonner de nouveau, un rire de Maxime la fit se tourner.  Non, vraiment, je suis triste, ne ris pas, c’est sérieux, dit-elle en voyant le jeune homme qui la contemplait

Homme qui s'installe a Paris en 1914, Balzac va au pensionnat du fait des discordes avec sa mère. Il devait être notaire mais veut devenir homme de lettre. En 1820, il débute par un échec avec sa pièce Cromwell. C'est seulement en 1828 avec Les chouans qu'il commence à se faire connaître. Sous la restauration, il va chercher une solution dans un légitimisme moderne, organisé et unificateur. Après être entré en contact avec Mme Hanska en 1832, elle lui donne un fils en 1836 et il se marrie avec elle

poste de "contrôleur général des bâtiments et jardins, arts et manufactures de France". Il est reçu à l'Académie française en 1671 à l'âge de 43 ans. 12 ans plus tard, à la mort de Colbert en 1683, Louvois son remplaçant retire les charges et les pensions de Perrault. Ce dernier jouit alors, suite à cette « retraite » forcée, d'une liberté qui lui permet de s'adonner à son œuvre littéraire ainsi qu'à l'éducation de ses enfants. En 1687, il fait, devant l'Académie française, la lecture de son poème Le

Au chapitre 2, Gervaise travaille comme blanchisseuse chez Madame Fauconnier. Elle se met en ménage avec Coupeau, ouvrier zingueur qui l’a invitée à boire un verre au cabaret du père Colombe, L’Assommoir. Zola décrit ainsi son ambition petite-bourgeoise : « travail, manger du pain, avoir un trou à soi, élever ses enfants, mourir dans son lit » et ne pas être battue. Madame Lorilleux, sœur de Coupeau, fait un mauvais accueil à Gervaise et se complaît dans les ragots. Au chapitre 3, nous assistons

de 13 ans. Aujourd’hui vendeuse de roses, il l’avait vue pour la première fois alors qu’elle se trouvait avec sa grand-mère. Ils se fréquentèrent mais jamais il ne put répondre à ses demandes, car celle-ci l’obligeaient à surmonter son éducation bourgeoise : « J’ai senti la crainte, à nouveau, non plus la solitude, ni le vide, mais la crainte d’être dérobé, de devenir un autre, de changer de destin. » 18 ans plus tard, dans un restaurant de luxe, il croise son regard, éveillant en lui tout les sentiments

d'ailleurs par donner fin à sa vie, considérant qu'il souffrait trop ; ne pouvant plus vivre "puisque tout mentait et qu'il n'y avait rien de bon". Christine perd ses parents durant sa jeunesse, plus tard, elle est employée par Mme Vanzade, une bourgeoise, pour lui faire la lecture. Elle souffre dans cette demeure "close, rigide, qui sentait la mort". C'est ainsi qu'elle démissionne afin de vivre avec Claude avec qui elle souffre de la misère, d'un manque d'amour et d'un abandon progressif. Elle