Pensées Ou Apologie De La Religion Chrétienne

be/2009/a014_1983_012_f.pdf - -- -- - - - -- - ------ Université Libre de Bruxelles Institut d'histoire du christianisme et de la pensée laique Bureau Président et directeur de la section Histoire du christianisme: J. Hadot Vice-Président: H. Hasquin Secrétaire et directeur de la section Pensée laique : J. Man: Université Libre de Bruxelles Institut d'Etude des Religions et de la Laïcité PROBLÈMES D'HISTOIRE DU CHRISTIANISME Edités par Michèle Mat-Hasquin 12 1983 Editions de l/Univ�rsité

la papauté s’était attribuée le monopole du spirituel. Tout le spirituel relevait du pape. L’empereur et les rois d’occident étaient limités au pouvoir temporel (les affaires du gouvernement). L’Eglise s’était proclamée guide morale de l’occident chrétien. La papauté s’était octroyée le droit de diriger l’empire et les royaumes, et il y était d’autant mieux parvenu que depuis la fin du 12ème s. et lors d’une bonne partie du 13ème s. L’idée théocratique (théocratie = gouvernement par dieu, gouvernement

chose, c’est le principe de la modernité, il faut douter de tout. Ce doute est-il complet et alors on tombe dans un scepticisme complet ? Selon Descartes, lorsqu’un homme rentre dans la logique du doute, il se découvre comme sujet pensant. Dire « je pense donc je suis » c’est dire que mon identité n’est pas sociale, sexuelle mais elle est fondée sur ma capacité à raisonner. Cela ne signifie pas que l’on va être révolutionnaire, Descartes croit en l’existence du Dieu catholique et il va essayer de démontrer

quelques critères de délimitation. I. Le mythe ethno-religieux A beaucoup les Mythologiques (1964-1971) de Claude Lévi-Strauss sont apparues comme un couronnement, sinon un achèvement. Malgré la divergence des méthodes d'analyse, l'auteur de La Pensée sauvage et, par exemple, Eliade travaillaient sur un même matériau, un type tout à fait singulier de récit. Le mythe leur apparaît en effet comme un récit, et un récit fondateur, un récit « instaurateur » (P. Ricœur). En rappelant le temps fabuleux

les barbaries et le manque de justice à l’égard de ces êtres si pures et inoffensifs, qui n’ont aucunement provoqué les Espagnols selon lui. Il se place dès lors comme leur défenseur le plus fervent en reprenant d’autre part des arguments issus la pensée de saint Thomas d’Aquin, dont nous reparlerons. Pour accentuer les pennes des Indiens, il s’attache à décrire les atteintes portées à ces derniers et fait d’elles des atteintes aux lois naturelles voulues par Dieu. b) les atteintes aux lois naturelles

liturgiques. A coté des « jeux », on voit apparaître des textes d’inspiration plus mondaine. Les parades des jongleurs constituent pièces de théâtre en miniature. Une part de la critique pense que les chansons de geste étaient sous une forme à demi théâtrale. Même dans la liturgie chrétienne, certains passages font intervenir des personnages non nobles, non divins, proches de la vie quotidienne du spectateur moyen. Mélange de passages plus « soutenus » et de passages comiques ((més)aventures

multipliées, fondées par de riches particuliers ou a partir de souscriptions publiques. Elles collectionnent les travaux scientifiques, les gros dictionnaires, offrent une salle de lecture et, à côté, une salle de conversation. Toutes ces sociétés de pensée fonctionnent comme des salons ouverts et forment entre elles des réseaux provinciaux, nationaux, européens, échangeant livres et correspondance, accueillant les étrangers éclaires, lançant des programmes de réflexion, des concours de recherche.

politiques. Les « vérités révélées […] sont au-dessus de notre intelligence » ; pour les examiner, « il était besoin d’avoir quelque extraordinaire assistance du ciel et d’être plus qu’homme » (Discours, Partie I). Quant aux questions politiques, Descartes pense qu’il est difficile de réformer un Etat, une institution (risque de tout ébranler, Discours, Partie II). Sont habilités à mener des réformes « ceux que Dieu a établis pour souverains sur ses peuples » (Discours, Partie VI). D’Alembert a vu que la méthode

(xxe siècle) 49 De la phénoménologie à l’existentialisme 49 Edmund Husserl (1859-1838) 49 Martin Heidegger (1889-1976) 50 Jean-Paul Sartre (1905-1980) 53 La philosophie analytique 54 Ludwig Wittgenstein (1889-1951) 54 Le structuralisme et la pensée française (années 1960) 56 Michel Foucault (1926-1984) 57 Résumé Les sages d’Orient Confucius (v. 551-479) - préoccupation majeure : l’ordre, le respect, la modestie Lao-Tseu (vie – ve s.) - fondateur du taoïsme, auteur du Tao te king (livre

grouper schématiquement en quatre grands groupes : • Les dialogues de jeunesse ou dialogues socratiques ainsi nommés car soit ils défendent la mémoire du maître soit ils mettent en œuvre sa méthode : Hippias majeur, Lachès, Lysis, Charmide, Apologie de Socrate, Protagoras, Gorgias. • Les dialogues de maturité : Ménon, Cratyle, Phédon, Le Banquet, Phèdre, La République. • Les dialogues métaphysiques : Parménide, Théétète, Le Sophiste, Le Politique. • Les dialogues de vieillesse