Pere Trubel

Intérêt de l’œuvre Comme déjà dit, cette courte nouvelle nous initie au style balzacien (il introduit un personnage que l’on retrouve bien sûr dans d’autres œuvres de La Comédie Humaine, à savoir la Duchesse de Carigliano, présente entre autres dans Le Père Goriot et La Peau de Chagrin). De plus, l'intérêt de chaque œuvre de Balzac est de proposer une description de la réalité de son époque. Il illustre ici, par le biais de la fiction, les faits historiques de la période du Premier Empire. En effet, on

« Le Père Goriot » est un roman clé de la grande entrepris littéraire d’Honoré Balzac, « La Comédie humaine », écrite lors du XIX siècle où il prend comme point de départ dans son avant-propos la comparaison entre les « espèces sociales » et les « espèces zoologiques ». Ce roman réaliste, écrit en 1835, met en scène plusieurs personnages, dont deux principaux, le Père Goriot, un vieil homme ruiné par ses deux filles ainsi qu’Eugène de Rastignac, un étudiant venu à Paris pour faire fortune. L’extrait

Car pour comprendre le monde dans lequel nous vivons à l’heur actuel il faut savoir et comprendre ce qui s’est passé dans les siècles antérieurs et qu’elle autre moyens nous avons appart la lecture ! Prenons l’exemple de Balzac et de son roman Le père Goriot, dans se texte Balzac nous peint la société tel qu’elle est a l’heure ou il écrit. Il nous raconte la corruption et l’injustice de sa société De plus, Balzac prend parti et nous amène à nous interroger sur la corruption est si elle est vraiment

imaginaire. Poussé par l'ambition de sa femme, le Père Ubu fomente une conspiration contre le roi Venceslas. Parvenu à ses fins, et une fois couronné, Ubu fait régner la terreur.] ACTE III, SCÈNE III Une maison de paysans dans les environs de Varsovie. Plusieurs paysans sont assemblés. UN PAYSAN, entrant : — Apprenez la grande nouvelle. Le roi est mort, les ducs aussi et le jeune Bougrelas s'est sauvé avec sa mère dans les montagnes. De plus, le Père Ubu s'est emparé du trône. UN AUTRE : — J'en

valeurs que révère la critique traditionnelle. C'est même là qu'elle reconnaît le « vrai » romancier : « il crée des personnages »... Pour justifier le bien-fondé de ce point de vue, on utilise le raisonnement habituel : Balzac nous a laissé Le Père Goriot, Dostoïesvski a donné le jour aux Karamazov, écrire des romans ne peut plus donc être que cela : ajouter quelques figures modernes à la galerie de portraits que constitue notre histoire littéraire. Un personnage, tout le monde sait ce que

etc.), des théoriciens du roman (parmi lesquels Ph. Hamon, V. Jouve et L. Quéffelec) mais aussi des penseurs contemporains (J. Rancière, T. Pavel, Deleuze ou A. Birnbaum). Comme le précise l’auteur, « La Fausse Maîtresse, Le Colonel Chabert et Le Père Goriot seront particulièrement sollicités » (p. 17) du fait de leurs galeries de portraits, sans qu’ils ne constituent pour autant le corpus exclusif de cette étude. La démarche adoptée par J.D. Ebguy repose sur deux questions principales : comment

mensonge Le mensonge s’avère parfois plus réconfortant. Il est donc préférable face à une vérité qui peut être dérangeante. - La société a d’ailleurs recours à de nombreux « mensonges sociaux » pour améliorer l’existence. Par exemple, on a inventé le Père Noël pour le plus grand bonheur des enfants. - Il faut un « temps des secrets » et parfois garder le mystère en cachant certaines choses. Notamment en amour par exemple. - Cioran disait « la vérité est intolérable, l’Homme n’est pas fait pour la

Depuis bien longtemps, le jour de Noël, des familles se regroupent autour d’un repas après avoir effectué un échange de cadeau particulièrement destiné aux enfants, qui croient pour ceux des plus jeunes âges que ceux-ci ont été déposés par le Père Noël. Cette fête à l’origine religieuse s’est répandu chez toutes les familles et est devenue une fête principalement commerciale. C’est donc afin d’améliorer notre compréhension du monde qu’il est intéressant de se demander en quoi la fête de Noël constituant

de la psychologie humaine, permet, à travers les aventures des personnages, mais surtout à travers l'observation de leur fonctionnement mental, de mieux comprendre son propre fonctionnement. Sans traverser ce que traverse Eugène de Rastignac dans le Père Goriot, on s'enrichit tout comme ce personnage s'enrichit au fil de l'histoire. L'art est donc la clef de l'esprit de chaque humain. Selon Hegel, la devise que l'on peut appliquer à l'art est la suivante : « rien de ce qui est humain ne m'est étranger

caractéristiques : il informe, intéresse et noue le pacte de lecture. Il informe en mettant en place les lieux, les personnages et la temporalité du récit. Il peut même, comme chez Diderot dans Jacques le fataliste ou commeBalzac par exemple dans Le Père Goriot, apostropher le lecteur et signer un contrat explicite avec lui : « Ainsi ferez-vous, vous qui tenez ce livre d'une main blanche, vous qui vous enfoncez dans un moelleux fauteuil en vous disant : Peut-être ceci va-t-il m'amuser. » L'incipit