Pere Trubel

pas aspirer mériter10 le salut. L’homme ne peut pas de lui-même se racheter11 ni se justifier de son péché par ses œuvres12 . De ce fait l’homme est ainsi condamné13 devant Dieu. Je crois que par sa grande miséricorde et dans son amour,14 Dieu le père a prévu15 le salut messianique à travers d’un médiateur, Jésus,16 son propre fils, afin de rétablir la communion perdue entre Dieu et l’homme. 10 Tit 3 : 5 « il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais

fond clair évoquant l’avenir radieux promis par le communisme. L’auteur utilise un langage figuratif caractéristique de l’art de l’URSS appelé le réalisme soviétique. Cette affiche participe également au culte de la personnalité autour du « petit père des peuples » : Staline y est représenté comme proche du peuple sur lequel il s’appuie. Mais il faut rappeler que Staline n’était pas proche de Lénine. Ensuite, si les progrès de l’industries lourdes sont indéniables il se font au détriment de l’industrie

Introduction Les sentiments gouvernent le monde, ce n’est un secret pour personne. Et l’amour sur quoi repose toute relation est l’un des plus présents et des plus importants. Le père Goriot en offre une exploitation intéressante, étant donné que c’est la problématique de l’histoire qui s’y déroule. Remarquons que le mot et ses dérivés est présent 214 fois, dont le verbe « aimer » conjugué 140 fois. « L'amour à Paris ne ressemble en rien aux autres amours », dit Eugène de Rastignac. Cette affirmation

On peut partager le livre du Père Goriot en quatre parties: la pension bourgeoise,l'entrée dans le monde,trompe la mort et la mort du père. Dans la première partie il y a une très minutieuse et longue description de la pension bourgeoisie où vit la plus grande partie des personnages. L'histoire se déroule à Paris dans un quartier plutôt horrible et inconnu entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin,où se trouve la maison Vauquer,une pension bourgeoise dirigée par Madame Vauquer. Ce

totalitaire : tous les moyens y sont utilisés pour contraindre la population (privée de toute liberté) à soutenir le régime communiste. Staline devient ainsi l’objet d’un culte de la personnalité démesuré : affiches de propagande le présentant comme le « Petit père des peuples » (document 1 p. 52), poèmes (doc. 3 p. 52) ou films réalisés à sa gloire. Ses opposants sont déportés au goulag (camp de travail, doc. 3 p. 51), jugés (comme lors des Grands procès de Moscou en 1936-38, doc. 2 p. 51) ou exécutés. La politique

monde. Derville est le mieux placé pour nous parler des problèmes de la société , et en conclut qu'il y a des crimes contre lesquels la justice est impuissante. L'auteur fait une cascades d'allusions à diverses intrigues de La Comédie Humaine , dont Le Père Goriot dans lesquels il a rencontré les plus grandes atrocités: des mères dépouillant leurs enfants , des maris volant leurs femmes, etc. Balzac construit et clôt sa nouvelle sur un double renoncement : celui de Chabert et aussi celui de Derville

Le Père Goriot Tout commence avec la description de la Maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents y vont régulièrement, dont Eugène de Rastignac qui est un jeune étudiant en droit, un homme nommé Vautrin et un ancien fabriquant de vermicelles retraité surnommé le Père Goriot. Rastignac est issu d'une famille provinciale modeste. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société

La gloire de mon père de Marcel PAGNOL Partie n° 1 ( pages 11 à 20 ) Page 11 Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers. Garlaban, c'est une énorme tour de roches bleues, plantée au bord du Plan de l'Aigle, cet immense plateau rocheux qui domine la verte vallée de l'Huveaune. La tour est un peu plus large que haute : mais comme elle sort du rocher à six cents mètres d'altitude, elle monte très haut dans le ciel de Provence

verglas, il l’observe et lorsqu’il se décide à aller l’aider, celle-ci lui tire dessus ; Le 2nd extrait présente « Monsieur Malaussène » dans une grande surface au moment des fêtes de Noël l’esprit accaparé par la pensée du « petit » qui a dessiné un père noël anthropophage ; le dernier texte, enfin, est Cendrillon de Charles Perrault, une jeune fille, douce et gentille, maltraitée par une belle mère odieuse y est présentée. Ces extraits sont tous les 4 situés au début des histoires, ce sont eux qui

Sujet : Algrida-Julien Greimas dans Du sens, II, 1983, écrit que la description « se double d’une fonction narrative seconde » et que « c’est un micro-récit ». En quoi le portrait de Madame Vauquer dans Le Père Goriot et les autres textes descriptifs étudiés confirment-ils cette affirmation ? A en juger son importance, que ce soit en termes de longueur ou de fréquence, il semble que la description soit un passage incontournable de la narration romanesque, au point qu’elle bâtit par exemple