Père

Commentaire composé – Le Père Goriot – Balzac (1835) Une scène d’enterrement fait souvent l’objet d’un traitement pathétique, traitement qui met en exergue la douleur des vivants face à la perte de l’être cher. Les funérailles du père Goriot font cependant exception : dans le roman du même nom, composé par Balzac en 1835, le vieillard apparaît comme l’incarnation de la gentillesse et de la générosité. Il meurt néanmoins dans une indifférence et une indigence qu’il s’agira d’envisager à travers

" Qui décidera de ce qui est plus horrible à voir, ou des coeurs desséchés, ou des crânes vides ? ", Le Père Goriot, Honoré de Balzac, classique de poche, Le livre de poche, n° 757, page 49. " Eugène de Rastignac, ainsi se nommait-il, était un de ces jeunes gens façonnés au travail par le malheur, qui comprennent dès le jeune âge les espérances que leurs parents placent en eux, et qui se préparent une belle destinée en calculant déjà la portée de leurs études, et les adaptant par avance

Balzac écrit le Père Goriot en 1834, dont la publication débute dans la Revue de Paris et qui parait en 1835 en librairie. Il fait partie de La Comédie humaine. · Résumé : A la fin de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmi eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens contrastent par leur fraîcheur avec la masse des habitués : Victorine Taillefer,une

fils aîné de Provence, passionné par la lecture et les aventures dans les collines, partagé entre son amour exclusif pour la belle couturière, éternelle jeune fille incarnée par Augustine, qui sera une mère tendre et discrète, et l'admiration pour son père, Joseph le maître d'école, soi-disant anticlérical et anti-alcoolique, mais profondément humain. Il ne deviendra complètement son héros qu'en lui prouvant qu'il aime autant que lui ses chères collines, glorifié par un exploit de chasse. L'enfant se

de file du réalisme centaine de roman regroupés dans La Comédie Humaine → veut représenter la société Française bcp ascension sociale Le Père Goriot 1835 :père Goriot ancien marchand qui se sacrifie pour ses fils puis ceux-ci l'abandonnent et le laisse mourir seul. Rastignac → jeune noble qui rêve d'ascension sociale Exipit du roman, enterrement du Père Goriot Pbmatique : En quoi cette description d'un enterrement révèle-t-elle l'évolution psychologique du personnage de Rastignac?

ces belles volontés qui ne se plient jamais au mal à qui la moindre déviation de la ligne droite semble être un crime : magnifiques images de la probité qui nous ont valu deux chefs-d’œuvre, Alceste de Molière, puis récemment de Jenny Deans et son père, dans l’œuvre de Walter Scott. Peut-être l’œuvre opposée, la peinture des sinuosités dans lesquelles un homme du monde, un ambitieux fait rouler sa conscience, en essayant de côtoyer le mal, afin d’arriver à son but en gardant les apparences, ne serait-elle

société. Dans le texte numéro un, Mme de Langeais, la duchesse, nous présente le Père Goriot comme elle le perçoit. Elle le présente dans son parcours social mais aussi elle presente la société qui a permis son ascension puis qui par la suite la déchu. Dans le début du texte, la duchesse nous parle du personnage de Goriot comme quelqu'un de riche. Puis lorsqu'elle commence à entamer le sujet des filles du Père Goriot, on apprend qu'il aurait tout fais pour elles, jusqu'à en perdre sa fortune.

LA PATERNITE AVEC LE PERE GORIOT DANS LE PERE GORIOT DE BALZAC. Introduction : La paternité a un rôle important dans l’histoire su Père Goriot car c’est à cause de ce lien si fusionnel avec Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, qu’il mourra dans la solitude et la tristesse. Ces relations l’entraineront dans sa décadence et cela jusqu'à sa mort. Il mourra pauvre et seul sans ses filles qu’il aura choyées et aimées sans rien attendre en retour (sans rien recevoir non plus), sans aucuns

LA PLACE DU PERE A. Ambivalence du lien père / fils, fille • Le meurtre du père : Nécessité freudienne de tuer le père symboliquement pour accéder à une forme de liberté à l’origine de l’organisation sociale. (Freud, Totem et Tabou ; Roy Lewis, Pourquoi j’ai mangé mon père (mise en scène cocasse du repas fondateur évoqué par Freud). Kafka, Lettre au père. Rivalité mythique : dans la mythologie antique, Saturne dévore ses enfants pour empêcher que se réalise une prophétie (Goya, Rubens) Le

Le père Goriot (fiche).   Résumé de l’œuvre :   Ouverture de l’œuvre sur la pension Vauquer, pension miteuse de la rue Neuve Sainte-Geneviève à Paris. L’histoire commence à l’automne 1819. Dans cette pension tenue par Mme Vauquer se trouvent des pensionnaires et  des habitants du quartier qui viennent seulement y souper. Les pensionnaires les plus présents sont : Eugène de Rastignac, le père Goriot, Vautrin, Monsieur Poiret, Mademoiselle Michonneau… Eugène de Rastignac, personnage central