Pères de l'Église

d’humilité : on s’écarte des leçons des théologiens, du clergé catholique, on critique leurs dogmes et leurs excès (indulgences, corruption…). Les humanistes sont anticléricaux mais pas antireligieux, ils restent catholiques mais veulent une réforme de l’Église. Ils privilégient une lecture personnelle et directe des textes, une foi personnelle. Lefèvre d’Étaples traduit en français la Bible en 1530. Luther traduit en allemand la Bible en 1534. Cela permet aux fidèles de développer leur libre examen, libre

vivante et le «lieutenant sur terre.» Le caractère religieux du roi se nourrit également de la vénération du peuple. La désobéissance est un sacrilège. Lors de son sacre le roi s’élève au-dessus des autres mortels et il fait le serment d’être fidèle à l’Eglise et de défendre la «vraie foi. » Par le sacre, le roi peut, comme les prêtres, communier sous les deux espèces (pain et vin sacrée) et guérir certaines maladies. Par exemple au milieu du XIIe siècle, à la sortie de la messe, le Roi touche le front

christianisme la religion d’Etat. Aussi, la religion, chrétienne aux IVe et Ve siècles, telle qu’elle est conçue par les pères de l’Eglise, exerce une influence sur le mariage mais celle-ci n’en demeure pas moins limitée. A. La position des pères de l’Eglise Saint Ambroise, mort en 397, Saint Jérôme, mort en 420 et Saint Augustin, mort en 430 : Selon ces trois grands pères de l’Eglise, le mariage est un Etat inférieur à la virginité. Celle-ci n’a pas de valeur intrinsèque mais il en va autrement

Puritanisme Mouvement né en Angleterre dans la deuxième moitié du 16ème siècle au sein de l’Eglise anglicane contre la réforme d’Elizabeth première pour trouver un compromis entre le catholicisme romain et les idées des protestants. C’est le nom donné à ceux qui émigrent aux Etats unis, fuyant les persécutions. Pour tenter d’y réaliser une communauté religieuse et politique conforme à leur idéal. C’est un mouvement désireux de pratique un christianisme rigoureux. Dans le langage courant il s’agit

une philosophie de l'école qui lui est propre : l'école doit enseigner « la bonne vieille morale de nos Pères » c'est à dire une morale bourgeoise, hygiéniste et conservatrice. Le débat sur l'école va s'articuler autour de la question de la laïcité : l'école publique est aussi un moyen pour l'Etat d'arracher les enfants à l'influence de l'Eglise pour permettre une émancipation politique. L'Eglise et le monde catholiques vont donc se retrouver en conflit avec l'Etat, voulant privilégier un enseignement

elle passe à la vitesse supérieure : certains vont le payer de leur vie contre le Maréchal Ney (qui sera condamné à mort par la Chambre des Pères), sinon la prison, l’exil, la fuite. La révocation immédiate. On fait appel à un expert, Foucher, une longue liste de traître (la liste de ses ennemis), qui est réduite à 54 noms. On épure aussi le Parlement, 29 des Pères avaient siégé durant les 100 jours mais sont exclus. Parmi les Députés, on décide de ne pas faire de distinction, la Chambre est dissoute

homogène car cette époque dure trop longtemps, mais il est possible de la divisé en trois. Le haut MA du 5e au 10e siècle peut se résumer à des division et des tentative de réunification de la gaule. En 496: Clovis, avec son baptême, car l'église est la seule puissance existante, unis la Gaule. Son règne est le commencement de celui des mérovingiens. A sa mort, son royaume est divisé entre ses fils: Charle Martel et Pepin le Bref. Pepin est couronné puis son fils Charlemagne en

 « Ce dimanche revêt un caractère particulier au sanctuaire marial de Mont Sion Gikungu: nous célébrons d’abord la solennité de la sainte famille  de Nazareth avec toute l’Eglise universelle, le sanctuaire procède ensuite à l’octroi du sanctuaire foyer aux familles qui se sont préparé à cet événement ; nous nous unissons enfin à la Chorale Sainte Famille qui célèbre en ce jour son dix-neuvième anniversaire d’existence et d’apostolat à Mont Sion Gikungu. Cette même chorale va profiter de cette bonne

surveillance des parents dans la famille, et leur devaient le respect et obéissance, mais sur les deux parents, un avait le plus de pouvoir sur l'enfant, le père. Le père avait un droit de vie et de mort sur l'enfant. Cependant sous l'influence de l'église, des mesures en faveur de l'enfant vont se multiplier. En 781, par exemple, Charlemagne charge les « missi dominici » de veiller à la protection de l'enfant et plus tard, les chevaliers, se feront défenseurs de la veuve et de l'orphelin. Plus

théologien, est exclu de la Sorbonne pour jansénisme en 1656 ; Marie, l’unique fille, meurt à treize ans[2] ; il aura également un frère jumeau, François, mais celui-ci meurt en bas âge, à 6 mois[3]. Charles Perrault est baptisé le 13 janvier 1628 en l'église Saint-Étienne-du-Mont à Paris. Son parrain est son frère Charles et sa marraine est Françoise Pépin, sa cousine[4]. Charles Perrault fait des études littéraires brillantes au collège de Beauvais à Paris dont il raconte, dans ses Mémoires, qu’y étant