Péridotite

une portion de lithosphère océanique, charriée sur un continent lors d’un phénomène de convergence de deux plaques lithosphériques par obduction. Elles (ex : les ophiolites du Chenaillet) sont constituées de basaltes en coussins, de gabbros et de péridotites altérées (serpentines). Ces roches se sont mises en place lors de l’expansion océanique de l’océan alpin du Jurassique moyen au Crétacé. Certaines ophiolites contiennent des minéraux hydroxylés, témoins d’une circulation hydrotermale dans la lithosphère

dorsales, plus faible au niveau des fosses océaniques. 2/La composition et les caractéristiques du manteau (Voir TP10) Les études sismiques permettent de mettre en évidence la discontinuité du MOHO qui délimite la croûte du manteau constitué de péridotite. La profondeur de cette discontinuité est située à 30 km sous les continents et à 10km sous les océans. Ceci fait que la croûte continentale a une épaisseur beaucoup plus importante que la croûte océanique. Le manteau est animé de mouvements

association de roches caractéristiques d’un domaine océanique : sédiments océaniques, basaltes en pillows qui traduisent un épanchement de lave en milieu aquatique, gabbros qui signifient un refroidissement lent dans une chambre magmatique et péridotites qui correspondent aux roches du manteau. Dans certaines conditions exceptionnelles, ces roches, malgré leur incorporation à la chaîne de collision, conservent les traces de processus associés à leur mise en place au niveau de la dorsale comme la

utilisait cette pouzzolane pour le drainage des sols. Après s'être engagé dans la tranchée, on note la présence de roches magmatiques volcaniques et des grains de pouzzolane. Ces roches sont essentiellement balsatiques et renferment des nodules de péridotites remontés par ramonage lors des phases d'éruption. Elles sont de différentes tailles et de différentes couleurs à cause de la nature de la lave et se modifent au cours du temps et des éruptions. Après être monté au sommet, on remarque une végétation

chq minéral B:compo des enveloppes inaccessible, une connaissance indirecte du manteau profond et du noyau . compo chimique du manteau profondeur - aucune variation brutale de vitesse des ondes dans tout le manteau -constitué de péridotites = même compo chimiques -haute pression et haute T° montre des modifs de structure de minéraux se produise de 400km et à 700km de profondeur. -explique les faibles variation de vitesse observé à 400km et à 700km. Compo chimique

de 3 types de formation : - - - Il s’agit de la succession de roches qui constitue la lithosphère océanique. Un plancher océanique a donc existé sous l’océan alpin. des basaltes en coussins des gabbros sur une épaisseur de 100 à 200 mètres des péridotites très hydratées appelées : serpentinites. L’âge de ces ophiolites est compris entre 150 et 80 millions d’années. La présence de ces roches normalement enfouies s’explique par le charriage de la croûte océanique sur la croûte continentale lors de

croûte continentale (couche orangée) a disparu pour céder la place à une croûte océanique (couche verte). Cette croûte océanique est engendrée par le réservoir magmatique et elle comprend, de haut en bas, trois termes principaux : basalte, gabbro et péridotite. Il s’agit de trois roches dont l’association, qui porte le nom d’ophiolites (ou trilogie ophiolitique), est caractéristique d’une croûte océanique. Cela signifie que, lorsqu’on trouve aujourd’hui des vestiges d’ophiolites sur un continent, on a

caractériser et de limiter deux grands types de croûtes terrestres : une croûte océanique essentiellement formée de basalte et de gabbro et une croûte continentale constituée entre autres de granite. La croûte repose sur le manteau, constitué de péridotite. L’observation des massifs montagneux permet de distinguer des chaines de montagnes anciennes et des chaines de montagnes plus jeunes : - les massifs anciens présentent des reliefs beaucoup moins élevés ; - la croûte continentale est particulièrement

déclencher des séismes dont les foyers peuvent être très profonds. La localisation de ces foyers sismiques permet de repérer le plan de plongement de la plaque, c'est-à-dire le plan de Bénioff. L'eau est l'élément déclencheur de la fusion partielle des péridotites du manteau lithosphérique de la plaque chevauchante : cette fusion partielle du manteau est à l'origine des magmas. L'eau est fournie par les réactions métamorphiques qui affectent les roches de la plaque plongeante. Le phénomène de subduction peut

le magma sort de l’axe des dorsales océanique et forme ces petits cristaux. On appelle cela une roche volcanique et donc c’est du Basalte. C’est donc à cause du refroidissement et de la cristallisation que la fusion partielle des péridotites asthénosphérique peut former deux roches différentes.