Perle de l'Orient

........ 241 DEUXIÈME PARTIE ............................................................253 I L'OCÉAN INDIEN.................................................................254 -2- II UNE NOUVELLE PROPOSITION DU CAPITAINE NEMO266 III UNE PERLE DE DIX MILLIONS ......................................279 IV LA MER ROUGE.................................................................294 V ARABIAN-TUNNEL............................................................. 310 VI L'ARCHIPEL GREC ....

TERRE 216 XXII LA FOUDRE DU CAPITAINE NEMO 232 XXIII ÆGRI SOMNIA 249 XXIV LE ROYAUME DU CORAIL 261 DEUXIÈME PARTIE 273 I L’OCÉAN INDIEN 274 II UNE NOUVELLE PROPOSITION DU CAPITAINE NEMO 287 III UNE PERLE DE DIX MILLIONS 301 IV LA MER ROUGE 317 V ARABIAN-TUNNEL 334 VI L’ARCHIPEL GREC 347 VII LA MÉDITERRANÉE EN QUARANTE-HUIT HEURES 363 VIII LA BAIE DE VIGO 375 IX UN CONTINENT DISPARU 389 X LES HOUILLÈRES

n’étais-je pas un peu responsable ? Publier sans contrôle l’histoire du Roi des montagnes, n’était-ce pas m’exposer aux réprimandes paternelles du Journal des Débats, aux démentis des gazetiers d’Athènes, et aux grossièretés du Spectateur de l’Orient ? Cette feuille clairvoyante a déjà inventé que j’étais bossu : fallait-il lui fournir une occasion de m’appeler aveugle ? Dans ces perplexités, je pris le parti de faire deux copies du manuscrit. J’envoyai la première à un homme digne de foi, un

.......228 INTRODUCTION.............................................................................................................229 CHAPITRE 12 – ÉLOGE ET BLÂME DE L’EXOTISME...........................................................231 L’Orient, terre de débauche et de corruption......................................................232 Du suicide à l’orientalisme : la mythologie serpentine.......................................235 La fascination pour l’étranger : vers l’égyptomanie..

L'Angleterre a été longtemps esclave; elle l'a été des Romains, des Saxons, des Danois, des Français. Guillaume le Conquérant surtout la gouverna avec un sceptre de fer; il disposait des biens et de la vie de ses nouveaux sujets comme un monarque de l'Orient; il défendit sous peine de mort qu'aucun Anglais osât avoir du feu et de la lumière chez lui passé huit heures du soir, soit qu'il prétendît par là prévenir leurs assemblées nocturnes, soit qu'il voulût essayer, par une défense si bizarre, jusqu'où

l'an 1185h, de Beni Wanjal, du Jabal ez-Zabîb), qui lui annonça son prochain accès au rang élevé du Grand Saint du Rif, Abou el Hassan Chadhily , supposé inhumé à Alexandrie (3), dont les hauts préceptes et concepts avaient fait école, dans tout l'Orient musulman , dès le huitième siècle de l'hégire. Mais, cette fois encore, le Cheikh Tijani avait décliné l'offre qui lui était faite, de s'insérer dans la chaîne confrérique wanjalie, ainsi que celle du célèbre Sidi Abdellah Ma'n l'Andalou (décédé

rendez l’azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m’enivre ardemment des senteurs confondues De l’huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? XXIV Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, O vase de tristesse, ô grande taciturne

pied de bronze, et j’aspirai ses premières bouffées avec la volupté d’un amateur qui n’a pas fumé depuis deux jours. « C’est excellent, dis-je, mais ce n’est pas du tabac. – Non, répondit le capitaine, ce tabac ne vient ni de La Havane ni de l’Orient. C’est une sorte d’algue, riche en nicotine, que la mer me fournit, non sans quelque parcimonie. Regrettez-vous les londrès, monsieur ? – Capitaine, je les méprise à partir de ce jour. – Fumez donc à votre fantaisie, et sans discuter l’origine

étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges: - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux! L'étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles L'étoile a pleuré rose au coeur de tes oreilles, L'infini roulé blanc de ta nuque à tes reins La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles Et l'Homme saigné noir à ton flanc souverain. L'Homme juste [......................................................] Le Juste restait droit sur ses hanches solides: Un rayon lui dorait l'épaule; des sueurs Me prirent:

rendez l’azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m’enivre ardemment des senteurs confondues De l’huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? Collections 37 Litteratura.com Spleen et Idéal XXIV Je t’adore à l’égal de la