Péroraison

(« penche », vers 1143), le contre rejet (« Tes splendeurs »), par un alexandrin classique avec l’hémistiche au milieu. Le vers 1144 : « Car l’Espagne se meurt, car l’Espagne s’éteint » cultive le parallèle sur un rythme ternaire (en trois temps). La péroraison (conclusion) est construite sur une gradation (demi vers, un vers et demi, trois vers).

hommes doivent donc pratiquer une justice arbitraire afin d'éviter la justice cruelle des dieux. «férocement», lg.99, «limiter leur dégâts», lg.100. On parle alors de la raison de l'Etat. b) Mendiant et poids du language Discours péroraison: emporte la conviction de l'auditeur Mendiant=personnage divin Le mendiant semble d'abord être d'accord avec le discours d'Egisthe(«J'ai très bien compris!»,lg.103). Discours allégorique avec parabole des hérissons. Le Mendiant compare les

disparaitre. On m’a alors objecté que notre société échappe à cette idée d’édification de murs, mais le “Wall Street” est bien réel. Pour finir, j’ai montré que même les murs idéologiques se fissurent aussi bien que s’ils étaient matériels. | | Péroraison | Selon moi, aucun mur ne doit être indestructible ou inaltérable. Dans le cas des murs matériels, c’est un rappel de notre éphémère. Si un mur idéologique était indestructible, cela signerait l’échec du libre-examen, du doute et de la remise en

nécessaire de faire des compromis, afin de trouver une touche de fantaisie, de douceur dans ce monde plein de conflits. Légende :Lg 1 à 22 : Exorde Lg 23 à 58 : Narration + Argumentation Lg 58 à 62 : Péroraison Question rhétorique Comparaison Personnification Hyperbole Anaphore

alternative. Une nouvelle fois, les juges se prononcent. A tous points de vue juridiques, la procédure pénale proprement dite s'interrompt à la fin de la page 38b, après ce second vote des juges : les derniers mots de Socrate se présentent comme une péroraison extrajudiciaire. Cette procédure athénienne diffère sensiblement de la procédure pénale applicable aujourd'hui en France ; aussi mérite-t-elle quelques précisions. 2) Le procès athénien (agôn) : quelques données juridiques "Il n'aurait

temps de s'arrêter, ni de douter du fait de sa construction : deux phrases. ► Période : principale + 6 subordonnées + proposition coordonnée +subordonnée relative + juxtaposée + coordonnée = insère le lecteur dans la logique de l'auteur = péroraison. ► Présent de vérité générale "il n'y a" L20 "on prétend" L20 "il peut exiger" L25 "c'est" L25 = portée universelle ► Brièveté de la dernière phrase contraste avec longueur de l'autre = conclusion incontestable avec le présentatif "c'est"

économies de son interlocutrice), opposant les « trop bas calculs » à « l’art » et au « génie » de la cigale (v. 25-26), s’incluant dans ces « autres » anonymes dépourvus de tout talent poétique (vers 23), multipliant les compliments achevant sa péroraison sur une exclamative pleine d’un regret feint (vers 30) et ponctuant d’une formule stéréotypée et emphatique, « ne sacrifier qu’aux muses ». « Maître renard » s’amuse et croit tenir sa dupe. Il se montre éloquent et persuasif, comme le renard

esclaves. III. Affirmation du juste pouvoir de la loi dans l’exercice de la liberté (l.15 à 20)· (l.14) - “Une main divine” ; “répandre partout” - synecdoque / voc religieux - Forme de conclusion : le rythme suit les préconisations rhétorique / de la péroraison. ODG voit une origine divine dans le déploiement de la liberté à son époque.· (l.15 à 17) - “la loi seule a le droit de réprimer cette liberté, si elle dégénère en licence ; mais elle doit être égale pour tous, c’est elle surtout qui doit renfermer

commis une erreur car son client n’a pas su garder son sang froid et en offensant les jurés, a perdu son procès sur le côté pénal. En effet, après que Julien ait dit aux jurés tout ce qu’il avait sur le cœur, et attendri toutes les femmes lors de sa péroraison, les émouvant aux larmes, il n’avait que peu de chance de s’en sortir. Car, l’avocat général, un homme vieillissant, moustachu aux cheveux blancs, aux manières marquant son appartenance à l’aristocratie n’avait que peu apprécié les paroles du jeune

-(ll11-13) argument linguistique. La suppression du mot « car » suivit d’autres suppressions entrainera un appauvrissement de la langue française qui pourrait à thermes condamner les français si se n’est au silence au langage des signes. 3 – La péroraison (conclusion d’un discours oratoire de manière à frapper l’imagination de l’auditoire tout en résumant l’argumentation). Il met en scène la fin tragique (ou mélodramatique) du si glorieux mot « car ». 4 – La conclusion. Un madrigal conclu le