Péroraison

bref. Il vise à attirer l’attention (ex abrupto) (2) La narration : Le plan (la composition) : on expose les faits – le narrateur doit paraître objectif. (3) Confirmation (4) Réfutation : la réfutation des thèmes adverses. (5) Péroraison : la fin du discours et on essaie de créer une émotion vive – un peu de pathos peut-être. Le but est d’apporter la conviction de l’histoire. Les niveaux du style/ du langage (les toms) On divise les niveaux en trois parties : 1. Le simple :

est une certaine manière de mettre en oeuvre le discours. Elle renvoie à un débat. Platon pense que c'est un usage trompeur de la langue, mais qu'elle est indispensable à l'activité politique. C'est un discours qui sert à capter l'attention. La péroraison est la conclusion de ce discours. On peut utiliser la prosopopée, qui est le fait de faire parler quelqu'un d'absent. La rhétorique est un objet commun à tous ces siècles et sert d'articulation constante entre les différentes époques. Le bilinguisme

enseigne la métaphysique, la théologie et la cosmogonie et la « nigologie » b. un détenteur de savoir : Pangloss est un précepteur qui dispense son savoir à plusieurs disciples : Candide, Cunégonde, le baron et Paquette. c. Les péroraisons du précepteur : le rappel mécanique de la théorie optimiste de Leibniz 2. Le philosophe : a. la logique formelle : le raisonnement de Pangloss est basé sur des figures formelles et non sur des vérités universelles :

vous adresser, a la l.6 on constate une énumération d’impératifs, ainsi que des subjonctifs à valeur optative, c’est a dire de souhait. Cette énumération permet a Voltaire d’établir les sujets de discorde. Le second paragraphe est une sorte de péroraison qui clos la demande a Dieu. Il s’adresse directement a Dieu et le tutoie, l.21 «car tu sais qu’il n’y a...», un rapport déiste qui tient de la complicité s’installe. l.1-2: respect de Dieu, il célèbre sa puissance: Captatio benevolumtiae. l.4-5

geste parasites · Proximité avec le jury B) Types de languageC) La voix Véhiculer les émotionsVarier le ton Assurer d’être audiblePartager le plaisirChanger de tonD) Structuration du discours ExodeStructurer sa narration ArgumentationRéfutation Péroraison E) Elaborer un discours Analyser chaque mot et leurs placesRepérer le sujet dans l’espace et dans le tempsRecherche des champs lexicaux Rechercher des formules, image, locution latine Ne pas lire mais improviser 2) Faire le point et bien choisir

« mûrier », « vêtement de drap », « cabane », « soleil couchant ». St Colombe resserre l’affrontement sur le terrain du langage, lieu du pouvoir, par des phrases qui multiplient les rythmes binaires « je préfère… à … », avant de terminer par une péroraison pascalienne, page 31, « Vous êtes des noyés. Aussi tendez-vous la main. Non contents d’avoir perdu pied, vous voudriez encore attirer les autres pour les engloutir. » Lorsque Caignet part du domaine de St Colombe, la première fois au chapitre 4

L'organisation du discours est rigoureuse : *un exorde (capte l'attention par l'apostrophe) = toute l'apostrophe du début jusqu'à « voici ce qui m'est arrivé » *une narratio (l'exposé des faits, le raisonnement) = tout le reste de son discours *… pas de péroraison (ou conclusion avec un registre pathétique) => Zadig n'est pas dans la persuasion (il ne cherche pas à persuader … quoique : voir plus bas), mais dans la conviction. - Ses explications sont précises : *précision du lieu l. 69-70 *Précision

recit des faits et description de la situation. Ce n'est pas de l'argumentation. On raconte ce qui s'est passé. Plan purement théorique. Qui ? Quoi ? Pourquoi ? Comment ? Ou ? La démonstration : c'est la réfutation de la thèse adverse. Épilogue, péroraison : C'est l'art de conclure joliment Platon met en scène Socrate et un ou plusieurs interlocuteurs. Il les fait débattre. Socrate les fait parler, les laisse se tromper. Idées sous-jacente : erreur = nécessite et base de la connaissance. Apprendre

définit d’abord le point à débattre, puis développe ses arguments et ses preuves. Il réfute ensuite la thèse adverse. Dans cette partie, il peut recourir à divers procédés, comme l’interpellation de l’adversaire ou la digression . * Peroratio (la péroraison). C’est la conclusion du discours. L’orateur commence par résumer ses arguments (récapitulation), puis termine avec un élan qui s’appuie sur l’émotion. ------------------------------------------------------------------------------------------------------

commence par une exorde, comporte deux parties, la narration des faits et la discussion des preuves qui comporte le raisonnement ou argumentation et inclut la réfutation de la thèse adverse qui peut être une troisième partie, et se conclut par la péroraison qui est la fin du discours. 5 http://www.asmp.fr - Académie des Sciences morales et politiques. 1. L’exorde est capital. Il est destiné à donner aux juges l’envie d’écouter. Pour obtenir cette attention bienveillante à une heure souvent