Personnage Antipathique

quotidienne de deux personnages : le Général (Julia Kassar) et son esclave (Aida Sabra).Sous des traits féminins, vêtues de noir, pieds nus et visages crispés, le dictateur et son compagnon investissent la scène. Le premier, ne chaussant une chaussure à talon qu’à un pied et claudiquant comme un pantin, ne vit qu’à travers l’illusion que lui-même aurait créée : la conviction d’exister uniquement pour sauver le monde et l’humanité en débarrassant son peuple d’un personnage imaginaire : le Roi.

Terreur de 1794. Des pages 11 à 14, le Tiepolo de la Terreur s’impose d’abord grâce a une cataphore, poursuis son chemin a travers plusieurs tableaux pour enfin se dévoiler en tant que personnage fictif. « Il était de taille médiocre, effacé […] » Alors que toute description s’amorce généralement par le nom du personnage concerné, Pierre Michon à préféré répéter plus de vingt fois en quatre pages le pronom « il ». Ce syntagme renvoie sémantiquement au conséquent, ici un nom, Corentin : c’est une cataphore

•personnage : Individu qui joue un rôle plus ou moins important dans un récit. Le personnage est une notion difficile à cerner. Dans le roman traditionnel, il est assimilé à une personne : ses traits naissent de l'imagination d'un écrivain (personnage fictif, ex. : Meursault dans l'Étranger, d'Albert Camus) ou sont empruntés à l'histoire (personnage historique, ex. : Richelieu dans les Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas). Souvent, il présente une nature mixte, lorsque l'auteur, s'inspirant d'un

éléments, qu’il faut savoir distinguer. • Le thème est le sujet de l’argumentation ; c’est la question à laquelle le locuteur va répondre à travers sa thèse. • La thèse est la proposition que défend le locuteur (que ce soit l’auteur du texte ou un personnage fictif); elle constitue donc l’idée fondamentale du texte, dont il s’agit de convaincre ou de persuader le destinataire; on distingue plus précisément la thèse soutenue (celle que défend le locuteur) et la thèse rejetée (celle que défendent ses

présentation de l'intrigue + personnages + cadre spatio temporel. Inversion du rapport maître-esclave Problématique:on montrera en quoi l'intérêt de la scène réside dans la subversion d'un lieu commun de la comédie: le couple maître-valet. Plan: I/ Une scène d'exposition: l'entrée en scène du couple maître-valet, duo traditionnel et attendu de la comédie. II/ La mise en scène de l'inversion progressive des rôles et du rapport de force I/ 1) La mise en situation des personnages. 2)Le fonctionnement

NARRATEUR EXTRADIEGETIQUE : …………………………………………………………………………… 6) POINT DE VUE OMNISCIENT : …………………………………………………………………………… 7) POINT DE VUE INTERNE : …………………………………………………………………………… 8) CADRE SPATIO TEMPOREL : …………………………………………………………………………… 9) PERSONNAGE PRINCIPAL / SECONDAIRE : …………………………………………………………………………… 10) SCHEMA NARRATIF : …………………………………………………………………………… 11) RETOUR EN ARRIERE : …………………………………………………………………………… 12) ANTICIPATION : …………………………………………………………………………… 13) SCENE : ……………………………………………………………………………

BAC BLANC Dans quelle mesure le personnage de roman donne-t-il au lecteur un accès privilégié à la connaissance du coeur humain? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes proposés, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles. Il existe plusieurs manières pour faire réfléchir l'Homme, ou plutôt le lecteur sur l'humanité. L'une d'elle est le roman. Car celui-ci est fondées sur des faits imaginaire et peut donc plus facilement amener à la réflexion

En quoi cette page romanesque, un éloge de Mme Arnoux, est-elle également un blâme implicite du ''héros'' Frédéric par le narrateur qui prend ses distances avec ce personnage ? I – La mise en place d'un décor symbolique La réalité sale et pauvre, peu poétique fait ressortir la magie et le singularité de la femme. Le personnage passe d'une réalité sublime en s'élevant vers les gens de la haute classe comme s'il s'élevait à son niveau. II – L'éloge de la femme ''L'apparition'' place la

rupture épistémologique dans la tradition du valet de comédie : le valet de comédie, personnage fictif, s'est ici totalement libéré de la référence à la société, mais aussi, partiellement, de la tradition dramaturgique. La liberté de Figaro Du point de vue "social". La bigarrure des "états" exercés par Figaro, son absence de filiation (il ne connaît ni son père ni sa mère) inaugurent la fiction d'un personnage détaché de son époque, voire de tout milieu. Dans l'Ancien Régime, où le lignage, l'héritage

différents genres littéraires qui ont comblé et comblent nos siècles n'ont pas tous dans leurs romans donné au personnage principal le titre de "héros". En considérant le héros qui accomplit des actes extraordinaires, on peut déjà certifier que tous les romans ne sont pas composés de héros, mais, très souvent, et simplement de personnages principaux. Attendons-nous du personnage principal qu'il soit un héros ? Nous montrerons dans une première partie, qu'en réalité, tout repose sur