Personnage D Horace

est utilisé en majeur partie par Agnès, surtout lors de la scène où elle décrit les révérences faites par Horace et elle-même. Tandis que Arnolphe continue à nous faire rire avec ses expressions ce qui rend la scène encore plus comique. Le comique de situation est le plus mis en valeur lors de la scène du ruban où Arnolphe, étant persuadé qu'il aurait pu se passer quelque chose entre Horace et Agnès, prèche le faux pour savoir le vrai auprès d'Agnès. Pendant de longues minutes, Agnès va rendre fou

Quelques éléments pour une lecture du Serment des Horaces Sources: textes de Sylvain Laveissière et Vincent Pomarède sur [louvre.edu] Contenu narratif (ce que raconte le tableau & plus largement l'histoire à laquelle il renvoie) L'histoire des Horaces Débuts de Rome, époque royale 8ème au 6ème av.J.C. ( comme pour l'Enlèvement des Sabines ) L'histoire Les Horaces étaient trois frères romains qui, d’après la légende romaine, furent choisis pour combattre les trois Curiaces, trois frères champions

aux sentiments qu’éprouve Arnolphe après avoir découvert l’amour entre Horace et Agnès, qu’il aime. Nous verrons en quoi Arnolphe est un héros émouvant et comique. Il s’agira donc de se demander si cet extrait est le signe d’un conflit intérieur drôle ou émouvant. Pour commencer nous étudierons le côté émouvant du conflit intérieur d’Arnolphe. Et dans un second temps le côté cette fois-ci drôle du conflit intérieur du personnage. Nous allons étudier l’évolution des sentiments d’Arnolphe tout au

26 décembre 1662, cette pièce est considérée par certains comme la première comédie classique Française. Il y a trois personnages principaux (Arnolphe, Agnès et Horace) et six personnages secondaires. Arnolphe est le tuteur d'Agnès (car celle ci est mineur), riche bourgeois de quarante-deux ans. Agnès est une jeune orpheline de dix-sept ans innocente et soumise à Arnolphe. Horace est un séduisant jeune homme. Georgette et Alain sont des paysans et servants. Chrysalde est une amie d'Arnolphe. Enrique

passer aux aveux. Enfin, pour lui, c’est un genre où les personnages sont privés de liberté, où l’on est « pris comme un rat ». Nous démontrerons que la tragédie est un genre violent et familial dans lequel les personnages privés de libertés, se révèlent à eux-mêmes. Nous observerons d’abord que cette citation d’Anouilh nous propose la tragédie comme un genre violent et familial, où il y a l’absence de suspens et enfin que ses personnages sont privés de libertés et qu’ils passent aux aveux.

stoïcien : s'élever au dessus du sort et des sentiments ; reprise de la raison sur la passion. · Eloge paradoxal du sort par Horace : il bénit le sort car c'est ce mauvais sort qui va lui permettre de devenir un héros = Surmoi : instance de la personnalité psychique dont le rôle est de juger le « moi » ==> Horace n'est plus un homme mais un mythe. Paradoxe des deux hommes : · Horace : Héros = spectacle a lui seul. Se montre au grand jour, s'expose, fait une action d'éclat : il s'offre triomphant au

le décor de Christian Bérard est parfaitement approprié car il représente à merveille le jardin pouvant être vu à la fois de l'extérieur comme de l'intérieur. 4. Pour ce qui concerne l'unité de lieu, il est clairement invraisemblable que les personnages parcourent des kilomètres pendant la pièce. Par exemple, lorsqu'ils commencent l’action à Rome pour la finir à Paris en moins de deux heures. Il est aussi invraisemblable qu’un même espace représente à la fois la chambre du roi, celle d'un valet

Horace Walpole : « La vie est une comédie pour ceux qui pensent et une tragédie pour ceux qui ressentent ». Horace Walpole est un écrivain et un politicien britannique du 18e siècle. Nous verrons dans un premier une opposition des termes, puis dans un second temps un parallèle entre la vie et le théâtre puis pour finir deux visons opposés de la vie. Tout d’abord, dans cette citation, on peut voir une opposition entre les différents termes. On observe une opposition entre « comédie » et « tragédie »

se contente de tâches domestiques simples et de l'amour pour lui. Horace n’apparaît pas mais on peut considérer que Chrysalde prend un peut son rôle par anticipationTexte 2Dans cette scène, Arnolphe et Horace discutent de leur expérience dans la ville. Arnolphe exprime sa méfiance envers les femmes. Arnolphe se réjouit d'avoir Horace à ses côtés, mais il se montre curieux d'apprendre si Horace a déjà eu une aventure amoureuse. Horace révèle qu'il est tombé amoureux d'une femme nommée Agnès. Arnolphe

aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents. Il se propose même de lui donner de l'argent pour l'aider à conquérir ces femmes volages. Horace lui raconte assez naïvement qu'il n'a pas attendu ses conseils et qu'il est déjà parvenu à conquérir le cœur d'une jeune fille, Agnès, pupille d'un certain M. de la Souche, personnage tyrannique et ridicule. Il a profité de