Personnage De Cosette

Corrigé corpus bac blanc En quoi le personnage central de chacun de ces textes est-il rendu antipathique ? Ce corpus est composé d'extraits de romans du XIXème siècle, caractéristiques du Romantisme : Le Rouge et le Noir de Stendhal, Les Trois Mousquetaires de Dumas et Les Misérables de Victor Hugo. Ils présentent tous un personnage central antipathique. Tout d'abord, la description physique de ces personnages laisse transparaître leur caractère : la Milady des Trois Mousquetaires use de son

il écrivit le roman engagé, Les Misérables. Ce roman décrit la misère sociale à Paris et la France provinciale du XIXème siècle en suivant les pas du bagnard Jean Valjean. Dans cet extrait, Victor Hugo s’arrête ici sur le personnage de Fantine qui a dû laisser sa fille Cosette chez des aubergistes malhonnêtes Les Thénardier. Elle vient de se faire renvoyer de l’usine de MrMadeleine car les femmes qui travaillent avec elle ont découvert qu’elle une « fille-mère ». Fantine va venir à se prostituer

fois historique, social et philosophique. On peut voir dans les romans de Hugo un seul combat : celui de l’abolition de la peine de mort. Le passage étudié est le 3ème tome de la série, Fantine jeune fille-mère, malade décide de laisser sa fille Cosette à la famille Thénardier en attendant des jours meilleurs. L’intérêt du passage réside dans la première apparition du couple Thénardier, l’auteur se focalise sur leur description. En quoi la description des époux est-elle obscure ? Dans un premier

Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi, Javert.

VICTOR HUGO : Les Misérables, Tome II, « Cosette », livre Premier, « Waterloo », Chapitre IX (1862) Introduction Victor Hugo fut un poète, dramaturge et prosateur du XIXe (1802-1885), considéré comme chef de file des romantiques. Son père fut un militaire dans les troupes napoléoniennes lors de la bataille de Waterloo. Il fut aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’histoire du XIXe siècle. Son livre, Les Misérables, a été écrit alors qu’il était

Goethe et Zola ont certes bâti leur carrière sur le malheur de leurs personnages au point d’à leur tour, après avoir utilisé le sentiment universel de malheur, avoir eux-mêmes généré des comportements ou des usages relatifs au malheur : Werther personnage de papier créé par le romancier allemand a précipité nombre de jeunes lecteurs vers le suicide, tandis que pour Zola, il a amené à un nouveau type de malheur, hyperbolique, et que l’on résume par la locution rentrée dans le langage courant : « à

de pitié pour ces femmes socialement défavorisées. Dans le texte A, qui est un extrait du roman Les Misérables par Victor Hugo, publié en 1862, on assiste à la dégradation du personnage principal ( ?), Fantine. Cette dernière vas tout donner pour assurer un mode de vie convenable a sa fille Cosette, en allant jusqu’ à se faire « fille publique ». Cet extrait illustre donc bien la pression que peut créer la société sur une femme. En effet, on peut observer un registre pathétique comme

constitué de trois textes, portant tous sur la dégradation du personnage féminin. Les textes présents ici sont des extraits de Tous les matins du monde de Pascal Quignard (1991) , L’Assommoir de Émile Zola (1857) et Les misérables de Victor Hugo (1862). Ces textes présentent un thème commun qui porte sur la dégratation du personnage féminin. Nous nous demanderons comment les romanciers représentent la déchéance du personnage féminin. Premièrement, nous étudierons comment les

Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, du retour du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Les chatiments: il blâme napoléon III «  Napoléon le Petit »

celle d’un animal. « Allons dit elle vendons le reste » design le corps de Fantine comme étant un objet, son corps ne lui appartient plus. B.Fantine un personnage héroïque et tragique qui suscite la compassion du lecteur 1.Fantine se dévoue pour sa fille -elle consacre son corps au travail, -elle délaisse son statut de femme pour cosette 2.Sa mort est inévitable -elle est atteinte de la tuberculose -son corps ne supporte plus cette vie 3. L'issus est injuste - le p.p se sacrifie sans recevoir