Personnage De Mlle De Saint Yves

(surnommé ainsi du fait de sa naïveté vis-à-vis du monde occidental). Les Kerkabon l'invitent à dîner, et s'aperçoivent qu'il s'agit de leur neveu. Ils le convertissent alors au catholicisme et le baptisent, mais il tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint-Yves, qu'il ne peut épouser. Repoussant par hasard une invasion d'Anglais, il décide de partir pour Versailles afin de demander au roi une récompense pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. En chemin, il rencontre

étudier : Chapitre 1 « Mademoiselle de Saint-Yves était fort curieuse de savoir [...] de manger un Algonquin. » Présentation   Ce passage est un extrait du chapitre I de L'Ingénu, il se situe au début du roman, peu de temps après l'arrivée du personnage éponyme, et sa rencontre avec les Kerkabon. Il porte sur un dîner chez les Kerkabon, avec le bailli, l'abbé de Saint-Yves et sa sœur. Son thème est une discussion entre Mademoiselle de Saint-Yves et le Huron sur l'amour : elle pose des questions

souvent jeune jusqu’à ce qu’il devienne un homme accompli et cultivé. Et le roman sensible est un roman qui s’intéresse surtout aux situations pathétiques Personnages : L’Ingénu : L'Ingénu est un Indien d’Amérique, appelé Huron ( (p.36)) qui débarque en Bretagne. Il beaucoup de qualités, malgré une éducation limitée. Mlle de Saint-Yves va tomber amoureuse de celui-ci, mais leur amour sera impossible car elle va devenir sa marraine. L’Ingénu va évoluer au fil du livre : au début il dit à ces proches

atteindre. B - LA LIBERTÉ DU CONTEUR De son côté, l'auteur trouve un avantage considérable dans le conte. " y gagne une totale liberté. Faisant traverser à ses personnages toutes les situations et tous les lieux qu'il veut, il peut ainsi poser toutes les questions importantes, à sa guise. Le conte permet de pousser les circonstances et les personnages jusqu'à un point extrême, jusqu'à la caricature, si bien que le sens de chaque épisode apparaît avec une netteté impossible à obtenir autrement. De même,

ou roman Forme : récit fictif en prose à la troisième personne. Principaux personnages : le Huron philosophique. Auteur : Voltaire, XVIIIe siècle. Objet d’étude : un mouvement littéraire : les Lumières ; le genre narratif ; l’argumentation. Structure : vingt chapitres. (ou l’Ingénu ou Hercule de Kerkabon), Mlle de Saint-Yves, Gordon, le prieur, Mlle de Kerkabon, l’abbé de Saint-Yves, M. de Saint-Pouange, le père Tout-à-tous. Sujet : Sous le règne de Louis XIV, un jeune Indien

L'Ingénu  chapitre XX : La Belle de Saint Yves meurt, et ce qui en arrive. Centres d'intérêt de l'extrait : - une scène à la fois funèbre, pathétique, et tragique - un conte philosophique ou un roman sensible ?  INTRODUCTION [entrée en matière] Ce chapitre relativement long s'inscrit tout à fait dans la lenteur romanesque que Voltaire déploie dans L'Ingénu. Cette lenteur contraste avec la rapidité de Candide et ouvre la voie à un nouveau type de roman, à une nouvelle manière voltairienne

émotion par son caractère douloureux ou dramatique Mlle de St Yves est donc rendu héroïque par le narrateur. Elle est très ému mais aussi accablé par le remord d’avoir obéi au désir d’un homme qui n’est pas son amant. Mlle de St Yves provoque chez le lecteur la compassion, la pitié.  Le discours directe des lignes 17 à 20 rend réaliste les retrouvailles. Cela amplifie le pathétique. -Description précise de l’état d’esprit de la belle St Yves  « Confuse et charmée, idolâtre de l’ingénu et se

TEXTE : Mlle de St Yves consulte un Jésuite I Caricature du Jésuite II La satire de la Casuistique III Le personnage de la jeune femme : une héroïne attachante I. Caricature du Jésuite Dans le conte, dés les 1ers chapitres, il y a de nombreuses critiques et polémiques d’ordre religieuses contre les Jésuites qu’il appelle « créature de l’Infâme ». Notamment aux chapitres 4 et 10 l’espion dénonce l’Ingénu au Père de Lachaise. Voltaire caricature le jésuite de ce nom qui est à lui seul

(surnommé ainsi du fait de sa naïveté vis-à-vis du monde occidental). Les Kerkabon l'invitent à dîner, et s'aperçoivent qu'il s'agit de leur neveu. Ils le convertissent alors au catholicisme et le baptisent, mais il tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint-Yves, qu'il ne peut épouser. Repoussant par hasard une invasion d'Anglais, il décide de partir pour Versailles afin de demander au roi une récompense pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime.En chemin, il rencontre

Chapitre XVI I. L’argumentation A) Une succession d’arguments - « ne dites jamais mon amant ; il y a quelque chose de mondain qui pourrait offenser Dieu » : dans l’intérêt de Dieu, du Bien, de la religion = met Mlle de St Yves en confiance. - N’est « votre époux » qu’ « en idée » : pas un péché, pas un adultère = raisonnement basé sur une contradiction, arguments par syllogisme. - Bonnes intentions = essentiel : « l’intention est pure ». - Rien à se reprocher : « tout ce qui était en elle