Personnage Denise Baudu

l’amour entre Mouret et une vendeuse, Denise. 2) De Octobre 1864 à Juillet 1865 : ces mois racontent le travail de Denise dans le magasin. On retrouve une description axée sur la souffrance morale et physique. En effet, Denise a tout le rayon contre elle, elle n’y trouve aucune aide. Sa seule amie, Pauline l’invite à passé un dimanche à la campagne (Joinville) avec son amant, Baugé. Notre passage se situe le même jour (juillet 1865) mais le soir lorsque Denise doit traverser le magasin pour retourner

le dialogue est plus présent Catégorie : Naturalisme A travers Au Bonheur des dames Zola montre comment Paris va avoir une influence sur Denise une fille de la campagne Registre : Thèmes dominants : les grands magasins , l'amour , les femmes , le pouvoir de l'argent et l'amitié 1- L'INTRIGUE 1/ C'est l'histoire d'une jeune fille , Denise ,qui a perdu ses parents et qui arrive dans la capitale avec ses frères Pépé et Jean , dans l'espoir de travailler chez son oncle mais celui-ci

– Émile Zola Denise Baudu, une jeune femme fragile de 20 ans se voit forcée de quitter sa ville natale avec ses deux petits frères, Pépé et Jean. Un an après la mort de leurs parents, elle est contrainte d'aller à Paris chez son Oncle qui avait proposés de les acceuilllir. Mais les temps sont durs pour Le Vieil Elbeuf, la boutique de l'oncle, et ne pouvant pas compéter Le Bonheur des Dames, la boutique d'en face, il se voit dans l'incapacité de les acceuillirs. Denise, fascinée et apeurée

Compte rendu de lecture AU BONHEUR DES DAMES D’Emile Zola Au Bonheur des Dames est un roman écrit par Emile Zola en 1833. Ce roman issu du courant littéraire naturaliste conte l’histoire d’une jeune fille de province, Denise, qui, forcée de vivre à Paris, va découvrir le début des grands magasins, le monde du travail, ainsi que l’amour. Mais Zola n’a pas simplement voulu dépeindre les amourettes d’une jeune fille naïve et humble. Avec ce « colosse » qu‘est le Bonheur des dames, comme

d’hypothèses sur comment il va mener sa narration. Il va ensuite crée une liste des différents personnages : En indiquant leur âge au début du roman et leur ville d’origine. Par exemple : Les employés du magasin sont classés par rayons (soie, dentelles, toile, laine, ganterie, confection, lingerie). Tous reçoivent un patronyme, plusieurs en changeront juste avant l’écriture du roman : - Louise deviendra Denise ; - Hervieu : Bourdoncle ; - Barrois : Bourras ; - le baron Decker

telle qu’elle est, même si elle est déplaisante. | « Denise, dont les vingt-cinq francs d’appointements fixes étaient chaque mois dévorés par les enfants, n’avait pu que rafraîchir sa vieille robe de laine noire, en la garnissant de biais de popeline à petits carreaux ; et elle s’était fait elle-même un chapeau, avec une forme de capote recouverte de soie et ornée d’un ruban bleu » (P. 169) D’après cet extrait, Denise, n’a que très peu d’argent comme la plupart des gens à l’époque

personnel bien plus nombreux est à disposition du client.Selon moi Émile Zola cherche à mettre en avant l’écart entre le grand magasin et les commerces de l’époque pour montrer l’impact du grand magasin.Question 2 :Je trouve que Bourdoncle est un personnage froid, violent et méprisant.Mouret crée le carnet à souches pour noter ce que chaque vendeur a vendu pour ensuite les rémunérer sans erreur.Question 3 :Henriette Desfroges et ses amies sont focalisées sur les ventes et prêtes à tout dépenser à l’opposé

Livres & Ebooks Chapitre 1 Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l’avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait

........................544 I Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait

-Macquart Notes Générales sur la Nature de l'œuvre "Comprendre chaque roman ainsi : poser d’abord un cas humain (physiologique) : mettre en présence deux, trois puissances (tempéraments) ; établir une lutte entre ces puissances ; puis mener les personnages au dénouement par la logique de leur être particulier, une puissance absorbant l’autre ou les autres. Avoir surtout la logique de la déduction. Il est indifférent que le fait générateur comme absolument vrai : ce fait sera surtout une hypothèse