Personnages Don Juan

Don juan Le personnage mythique de Don Juan serait né d'un fait divers3 rapporté par la Chronique de Séville. Selon la légende, il aurait vécu au XIVe siècle : fils de l'amiral Alonso Jofre Tenorio, Don Juan Tenorio aurait tué le commandeur Ulloa dont il avait séduit la fille, et les moines du couvent où fut enterré le commandeur, outrés de cet acte, l'auraient assassiné et fait disparaître le corps, racontant ensuite qu'il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer comme châtiment de

délicatesse ». Le libertin ne reconnaît aucune autorité supérieure à celle de sa conscience. On assiste donc à un dérèglement des mœurs : cette image correspond à de nombreux personnages de romans libertins. Ils se moquent des autres en les séduisant, en les trompant et en les soumettant à leurs seuls désirs, comme le fait le Don Juan de Molière. Le libertin type multipli les expériences de toute sorte : intellectuelle, culturelle, sexuelle.  On ose parler d'amour et la sexualité prête parfois à rire comme

Dom Juan : pièce comique ou tragique ? La pièce hybride de Dom Juan a choqué. Cette oeuvre de Molière mêle les registres, ne respecte pas la règle des unités, met en péril vraisemblance et bienséance. L’histoire « vécue » d’un certain Dom Juan Tenorio, seigneur espagnol du XVIe siècle, entre en littérature grâce à la comédie espagnole du moine Tirso de Molina dans les années 1620-1630. Les spécialistes discutent pour savoir si Molière connaissait ou non l’original. Peu importe. L’histoire

nous nous pencherons ici est la pièce théâtrale Dom Juan de Molière durant le courant classique mais qui fut adapté au roman. Don Juan ici est accompagné par son valet, Sganarelle. On se rend compte rapidement que ces deux personnages ont des points de vue bien différents sur le monde. Don Juan étant un libertin tandis que son valet est plutôt un conformiste. Nous allons nous demander, dans ce texte, en quoi la conception de l’amour pour Don Juan dans la scène 2 de l’acte 1 est semblable à la définition

rienBeaucoup de bruit pour rien se déroule à Messine, une ville côtière de Sicile. Bien que la Sicile ait été dominée par l’Espagne à l’époque de la pièce, les personnages reflètent un héritage nettement italien. L’action a lieu principalement sur les terres et dans la propriété de Leonato, avec quelques scènes dans la ville elle-même. Don Pedro, Prince d’Aragon, revient de guerre victorieux avec sa compagnie sur les terres de son ami Léonato, gouverneur de Messine. Béatrice, la nièce de Léonato

I, 1 Dom Juan, Molière Commentaire général sur la scène : C’est l’éloge du tabac, emprunt tout droit tirer d’un jeu des humanistes : il consistait à faire l’éloge de chose dont on ne peut pas faire l’éloge ( c’est l’éloge paradoxal. Ceci permet de mettre en place le comique de Molière : - Cette éloge débute par une référence antique (Aristote), seulement c’est absurde car à cette époque le tabac n’existait pas. Pour Sganarelle, cela permet de montrer sa culture mais au contraire ça

plus clair, les libertins ne se sentent eux que lorsqu’ils ont enfreint les règles. Mais en ayant lu Dom Juan et Les Liaisons dangereuses, j’ai pu remarquer à plusieurs reprises que les différents libertins de ces deux livres jouent un double jeu en se faisant passer pour quelqu’un qui respecte les normes de vie. Ceci leur permet également d’être eux-mêmes puisque grâce à ce double personnage, qu’il y a en chacun d’eux, ils arrivent à séduire des femmes et des hommes et peuvent ainsi compléter leur

II- Dom Juan, beau parleur et jouisseur Bien que Dom Juan incarne les différentes formes de libertinage du XVII ème siècle, c’est à la figure du séducteur impénitent que fait d’abord songer son nom mythique : par antonomase, un « don juan » désigne couramment un coureur de jupons. Or, contrairement à Tirso de Molina, Molière fait plus discourir qu’agir son héros en matière de conquêtes féminines : les déclarations triomphalistes du libertin (Acte I, scène 2) contrastent avec la modicité de

Don Juan, libertin impénitent et blasphémateur, séduit toute jeune femme passant à portée d’yeux, noble ou paysanne, vertueuse ou peu farouche. C’est la conquête qui l’intéresse véritablement : une fois le cœur de la belle ravi, il se lance sur la piste d’une nouvelle proie. C’est ainsi qu’il ravit à son couvent Elvire, et provoque sa malédiction lorsqu’elle se sait bernée. Irrespectueux envers son père, impie et fier de l’être, Don Juan sera finalement châtié pour tous ses blasphèmes par la statue

un triomphe, il va d’ailleurs mourir sur scène d’une crise cardiaque lors de la 4ème représentation le 17 février 1673. Molière n’a inventé ni l’histoire, ni le personnage de Dom Juan, C'est Tirso de Molina (1583-1648), dans sa pièce El burlador de Sevilla y convidado de piedra (1630), qui a écrit la première pièce de théâtre sur Don Juan Il écrit des comédies de genres variés tel que : - Les fourberies de Scapin ou Le médecin malgré lui : proche de la farce. - L’avare ou L’école