Personnalité De L Avare

est primordial, où l'acteur est essentiel. Ce genre laisse une grande place à l’improvisation. Les personnages de ce théâtre sont des types fixes, et qui apparaissent dans la plupart des pièces. Arlequin est un valet pauvre au service d'un maître avare : il porte un costume rapiécé de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. De plus, le XVIIe siècle a vu peu à peu s’imposer plusieurs conventions dans le théâtre classique français. Ces règles permet au dramaturge d’accroître l’efficacité

personnage. Avec sa présence durant vingt-cinq scènes sur vingt-sept, il se laisse observer, analyser et critiquer. Une première approche consiste à éclairer la pièce par la scène finale : pour que le châtiment de Dom Juan soit justifié, il faut que la personnalité qui se dégage des cinq actes ait suscité l'indignation. C'est l'approche qu'en fait Jean de Guardia. Dans cette optique, les aspects positifs (grand seigneur - libre penseur - fin d'esprit) sont estompés et ce sont les aspects négatifs de Dom Juan

fantaisiste, ou plutôt conteur, suivant la nouvelle école. » ⇨ Personnage qui a marqué Duroy : à plusieurs reprises dans le roman, n trouve des expression qui marquent le souvenir « se rappela » , « rappelait ». ⇨ Personnage très lucide sur la personnalité de Duroy et sur son ambition, sans pour autant le juger. « Notre Bel-Ami, par indifférence ou par économie », « Mais il [Bel-Ami]tenait le père par des cadavres découverts, paraît-il, des cadavres enterrés au Maroc. Il a donc menacé le vieux de

personnage. Avec sa présence durant vingt-cinq scènes sur vingt-sept, il se laisse observer, analyser et critiquer. Une première approche consiste à éclairer la pièce par la scène finale : pour que le châtiment de Dom Juan soit justifié, il faut que la personnalité qui se dégage des cinq actes ait suscité l'indignation. C'est l'approche qu'en fait Jean de Guardia. Dans cette optique, les aspects positifs (grand seigneur - libre penseur - fin d'esprit) sont estompés et ce sont les aspects négatifs de Dom Juan

cinquième acte, comme d'habitude dans les pièces de Molière (1622-1673), tout s'arrange : plus d'obstacles aux deux mariages des jeunes amants et enfin Cléante rend à Harpagon le cassette que son valet La Flèche avait volée. TEXTE Harpagon, un vieil avare, vient de se rendre compte qu'on lui a volé sa «chère cassette» lourde de dix mille écus, qu'il avait enterrée dans son jardin. HARPAGON, il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. Au voleur! au voleur! à l'assassin! au meurtrier

époques postérieures. LA COMEDIE DE CARACTERE  Le comédie de caractère est la plus générale et, de ce fait, survit au temps ou à la mode. En effet, elle peint l’homme lui-même, avec ses travers et les défauts inhérents à sa personnalité. Harpagon est avare, et ce t avare, le monde l’a toujours connu et le connaitra toujours. LES GENRES MIXTES  Les genres mixtes admettent une interdépendance entre la tragédie et la comédie. Ils excitent aussi bien le rire que la pitié. LE DRAME DU MOYEN AGE

le peuple est en haut, enfin les esclaves et les étrangers sont debout sous le portique derrière les gradins. Vocabulaire : Scaena = scène / Scaena frons = mur de scène / Postscaenium = coulisses / Orchestra = places réservées aux personnalités importantes puis aux musiciens / Cavea = gradins (qui étaient creusés à l'origine) / Corridor et vomitorium = couloirs et galeries d'accès aux gradins Plan du théâtre de Marcellus Plan du théâtre de Pompéi (modèle grec) Les romains ont

choisis. Séances 1. Les enfants amoureux 2. Un avare inquiet Supports Acte I, scènes 1-2 Acte I, scène 3 Objectifs Une scène d’exposition ` — A qui parle-t-on au théatre (aparté et double ˆ énonciation) ? — Introduction à l’interprétation théatrale ˆ — Le nœud du drame — Prendre position dans un dialogue Une scène comique Une scène tragique ? Différence entre tragédie et comédie — Le quiproquo — Le dénouement Durée 2 heures 2 heures 3. Un avare de père Acte I, scènes 45 Acte III, scène

d'Aubigné se sert de ragots pour en briser la réputation, comme entre les vers 827 et 889. Sa victime de prédilection semble pourtant être incarnée par la personne d'Henri III. En effet, le roi est montré ici comme un monstre hermaphrodite ridicule et avare (v. 599-614), dont le portrait est brossé à plusieurs reprises, comme aux vers 777 et suivants qui le présentent dans l'ensemble de son apparence, de son visage à ses habits. Par ailleurs, les vers 724 et suivants s'attachent à en décrire seulement

ermite. Ils concluent un accord et Zadig accompagne Jesrad (accueilli chez un riche seigneur, il le vole ; accueilli chez un autre riche mais avare, il lui offre ce qu’il a volé ; accueilli chez une modeste personne, il brûle sa maison et ensuite chez une femme et son neveu, il tue ce dernier). Au bout de quelques jours, Jesrad dévoile sa vraie personnalité : il est en réalité un ange. Il explique à Zadig le sens de la vie : « il est important de se faire à l’idée que le mal est un élément nécessaire