Personnalité De L Enfant Concu

16/ loi du 29 juillet 1994, art 511-15 code pénal) art 2 CEDH et art 6 du pacte international sur les droits civis et politiques)II)l'enfant née vivant puis viable est décédées , l’hypothèse de l'embryon et du fœtus.A)l' 'enfant mort néeB)l'être humain pré-natale la personnalité juridique , elle est liée à la durée de la vie humaine, le corps humain en est le support c'est le substratum, à cette égard la loi protège le corps humain selon l'article 6 du code civil introduit par la loi du

1854 le droit pénal a connu une peine de mort civile c'est à dire la privation de toute personnalité juridique L'aptitude à participer à la vie juridique est reconnue par le code civil à tous les êtres humains. CHAPITRE I : existence de la personnalité juridique naissance et mort = début et terme de cette personnalité Mais il existe des situations floues Section 1 : le commencent de la personnalité juridique • naissance = moment ou l'enfant cesse d'être une part de sa mere par son expulsion

Acquisition de la personnalité juridique à partir de la conception L’enfant peut dans certaines hypothèses acquérir la personnalité juridique. On considère qu’il existe lors de la grossesse mais doit naître a posteriori vivant et viable. Adage : INFANS CONCEPTUS PRO NATO HABETUR L’enfant conçu est réputé né chaque fois qu’il y va de son intérêt On peut se référer aux articles 311, 725, 906, et 318 du code civil Art 311 : « La loi présume que l'enfant a été conçu pendant la période

Chapitre 1 : les titulaires des droits subjectifs La personne est un sujet de droit doté de la personnalité juridique, qui se défini comme l’aptitude reconnu aux êtres humains de devenir titulaires de droits. Donc tous ce qui n’est pas personne, comme la nature et les animaux, entre dans la catégorie des choses, lesquels ne sont qu’objet de droit. La notion juridique de personne s’entend les personnes physiques, c’est-à-dire des êtres humains, mais elle s’entend également des personnes morales

de protection et d’épanouissement de la personne, que ce soit à titre individuel ou au sein d’un groupement ; sur les 2281 articles du Code Civil, 507 sont consacrés aux personnes et à la famille. Une personne existe en droit parce qu’elle a la personnalité juridique (elle est individualisée par son nom, son domicile, son sexe – mais aujourd’hui des questions se posent à ce sujet par rapport au changement de sexe et sa transcription dans le registre d’état civil)… => le droit des personnes est un

I) L’ACQUISITION DE LA PERSONNALITE JURIDIQUE Principe : Le principe pour être considéré comme sujet de droit , il faut naître vivant et viable. Ce sont trois critéres annulatifs pour considérer que nous sommes une personnalité juridique. Etre naît Vivant Viable : doté des principaux organes nécessaires à la vie. C’est la jurisprudence qui le définit Exception Théorie de l’enfant conçu : « infans conceptus » Elle va permettre de considérer comme née un enfant simplement conçut. C’est

n'a pas par essence une personnalité juridique. Il existe des systèmes juridiques dans lesquels certaines catégories de personnes n'ont pas cette prérogative (ex: l'esclavage). Chapitre 1: La reconnaissance de la personnalité juridique Elle appartient à toute personne physique (faite de chair et de sang). Cette personne dispose de droits et peut les exercer librement. Il existe cependant des limites: les incapacités. La personne physique incapable conserve sa personnalité juridique pourtant certaines

etre fait de sang qui vit qui meurt, Conception de la pers n'a pas été a l'origine adoptée par le d. Le d a conçu la pers de façon abstraite indépendemment du corps humain. 1804 : aucune def de la pers. La pers en d était assimilé a la personnalité jur ; l'aptitude à jouir de droit et a assumer des obligations. La pers était dc un sujet de d qui a ce titre jouissait de droit. La pers était concue comme une fonction. Un groupement de biens ou de pers pouvait etre pers car l'idée c'était de faire en sorte

considération par le droit ». En effet l'être humain n'est rien si il ne bénéficient pas d'une personnalité juridique et pendant longtemps les esclaves et plus récemment les personnes condamnées à des peines afflictives et infamantes, ne bénéficiaient plus d'une personnalité juridique. Ce n'est pas parce qu'on est un être humain que l'on a une personnalité juridique et donc des droits, c'est le droit qui donne la personnalité juridique. Les sujet de droit sont des personnes titulaires de droits et d'obligations

sur les droits de l’enfant (20 nov. 1989) le définit comme : « Tout être humain âgé de moins de 18 ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt. » Donc Enfant = Mineur, On exclu l’émancipation : acte par lequel le mineur est affranchi de l’autorité parentale et devient capable, comme un majeur des actes de la vie civile. Mais enfant pas seulement mineur : des mesures éducatives subsistent après la majorité de l’enfant (art 373-2-5 contribution à l’entretien et à l’éducation de l’enfant majeur)