Personnalité De Scapin

Ambition de totalité / d'exemplarité. b. Correspondances discrètes - De l'unité de la section "de la ville" (VII)– 22 Rques . Du portrait fait des bourgeois devenus gentilhommes, les Sannions, les Crispins, Scapin (9/10/13) , par le pouvoir de l'argent – les équipages (9/11/15) , par la participation aux divertissements – les promenades (1/2/3/9/11/12/13) – les théâtres

caractères et de leurs travers. A la fois auteur et acteur,on lui doit nombre de pièces comiques,notamment:Les Précieuses ridicules (1659),Sganarelle ou le Cocu imaginaire(1660) ,L'ecole des femmes (1662),Dom Juan(1665) ou encore Les Fourberies de Scapin(1671). Il meurt sur scène lors d'une dernière représentation du Malade imaginaire en 1673. b)Molière publia Dom Juan ,une tragi-comédie théâtrale en 1665 à la suite de l'interdiction de Tartuffe .Composé en en cinq actes (comportant respectivement

familier – comique grossier – les personnages de la farce sont peu nombreux, l’intrigue est simple (mari trompé, femme infidèle, médecin charlatan), les personnages appartiennent généralement à la bourgeoisie ou au peuple. Comme « Les fourberies de Scapin » La comédie-ballet Genre créé par Molière mêlant la comédie et la musique Comme « Les Fâcheux » La comédie sérieuse Il s’agit d’une pièce qui est comique tout en traitant un sujet sérieux Comme « Tartuffe » VI – LE THEATRE AU 18ème SIECLE

certain type de dialogue amoureux. La pièce de Marivaux est une comédie psychologique et sentimentale, elle décrit les changements et les dérives du cœur. Elle fait appel à plusieurs types de comiques : -Le comique de caractère : représenté par la personnalité d’Arlequin, dont certains traits de caractère sont caricaturaux : la gourmandise, la naïveté, l’insolence et la moquerie. - Le comique de situation : l’identité du prince travesti n’est connue que par Flaminia et produit un quiproquo. Les différents

règle de vraisemblance voulait que toute l’action représenté soit possible pour ne pas choqué le public. Il existait en outre d’autre exigence comme l’unité de ton, qui consistait en la séparation des genres. Une pièce comique comme Les fourberies de Scapin de Molière a très peu d’éléments sérieux, de même qu’une pièce tragique notamment Britannicus de Racine a très peu d’éléments comique. Dans un second temps, il existe dans certaine pièce de théâtre des fantaisies que le spectateur accepte sur

personnage. Avec sa présence durant vingt-cinq scènes sur vingt-sept, il se laisse observer, analyser et critiquer. Une première approche consiste à éclairer la pièce par la scène finale : pour que le châtiment de Dom Juan soit justifié, il faut que la personnalité qui se dégage des cinq actes ait suscité l'indignation. C'est l'approche qu'en fait Jean de Guardia. Dans cette optique, les aspects positifs (grand seigneur - libre penseur - fin d'esprit) sont estompés et ce sont les aspects négatifs de Dom Juan

pièces par an : des comédies à grand spectacle telles que le Bourgeois gentilhomme (1670), des comédies où la peinture de l'être humain donne une profondeur nouvelle au genre comique (le Misanthrope, 1666 ; l'Avare, 1668), des farces (les Fourberies de Scapin, 1671) ou des comédies satiriques (les Femmes savantes, 1672). Sa vie privée a souffert d'une telle activité d'auteur, de chef de troupe et de comédien, parfois en conflit avec d'autres artistes comme le compositeur Lully, l'un de ses rivaux auprès

satiriques, se référent à des personnalités et coutumes contemporaines. [pic]U 19ème siècle, la Commedia dell'arte disparaît littéralement de la scène. Seuls quelques écrivains y feront référence, tel Paul Verlaine dans "Les Fêtes Galantes", se disant sensibles à ces personnages, "masques et bergamasques jouant du luth et dansant". Théophile Gautier, dans "Capitaine Fracasse", raconte également la vie d'une troupe de comédiens, traversant la France en interprétant Matamore, Scapin, Isabelle, Léandre,le

empruntant l’identité d’un autre pour se cacher, par ruse… Quelles sont les fonctions de ces travestissements ? Le déguisement est-il plutôt un obstacle à l’expression des sentiments des personnages, ou bien au contraire un révélateur de leurs personnalités et de leurs passions ? Nous étudierons tout d’abord le jeu théâtral que constitue le travestissement. Ensuite, nous l’envisagerons en temps qu’obstacle. Enfin, nous considérerons l’aspect paradoxalement révélateur des déguisements des personnages

et n’a qu’une idée, tromper son mari ou son fiancé avec un autre homme ; le couple illégitime fait appel à un serviteur rusé pour berner le représentant de l’autorité. 2/ Dans ce cadre, les personnages n’ont pas réellement d’individualité ni de personnalité propre. Ce sont des types figés, que l’on retrouve de pièce en pièce : le mari déjà cocu ou sur le point de le devenir (dans la farce, tout mari est un cocu en puissance) ; la femme rusée, toujours amoureuse d’un amant illégitime ; le vieillard