Personnification De La Foret

La strophe suivant aboutit le processus de sublimation de la charogne hideuse en objet esthétique. Si pour les humains elle est un spectacle scandaleux, pour les éléments de la Nature, elle est une démonstration de la beauté de la Nature. La personnification du ciel et la posture d’admiration du ciel produit un renversement vertigineux du monde et du basmonde. Alors que traditionnellement, les êtres du bas monde admirent le spectacle du ciel, ici c’est le ciel qui admire le spectacle de la charogne

Poe. La nature est le lieu d’une révélation et permet le lien entre ces deux mondes parallèles / « la nature est un temple » (caractère sacré). Les « vivants piliers » sont les arbres : ils sont verticaux et s’élancent vers le ciel ; l’expression « forêt de symboles » le confirme. C’est le poète qui peut déchiffrer, qui peut comprendre la nature. II- LE ROLE DU POETE : Le poète comprend la nature parce qu’elle a des traits humains « vivants », vers 1, mais surtout « paroles » au vers 2. La nature

Orphée-Roi une harmonie avec l’univers, tout comme dans les textes antérieurs. « On dit que tu charmes les bêtes velues et que tu fais danser les pierres… » l’interroge l’Eurydice de Segalen, tandis qu’Ovide nous peint un Orphée qui « attire à lui les forêts et les bêtes sauvages ». Cependant, « le monde sonore » évoqué par Orphée-Roi trouve sa source même dans la nature. « Ecoute tout au fond du monde » insiste-t-il. Il ne s’applique au chant que dans ce genre de lieu, comme le montre le titre de chaque

= lune = ciel Personnification : Elle représente une chose ou une idée sous les traits d’une personne. Ex : La forêt gémit sous le vent. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux – Et je l'ai trouvée amère. Allégorie : Elle représente de façon concrète et imagée les divers aspects d’une idée abstraite. Elle se repère souvent grâce à l’emploi de la majuscule. Processus de symbolisation, par personnification. Ex : Hiver, vous n'êtes

suggérant cette longue plainte des cerfs. Ces deux vers, correspondant à  la 3ème strophe très brève du poème, constituent une sorte de ponctuation du poème. Toute la nature est en attente, attente triste d'un destin inéluctable : « Le vent et les forêts...pleurent... ». Le poète reprend tous les thèmes des strophes précédentes et suggère  une sorte d'harmonie dans la douleur qui séduit le poète.   2/ L'attente du poète   Cette attente est aussi celle du poète. L'étroite harmonie qui s'établit entre

Commentaire« Dans les bois »Le poème « Dans les bois » fait parti du premier recueil de Paul Verlaine, les « Poèmes saturniens » parût en 1866. C’est le mouvement littéraire du symbolisme qui désigne ce poème ainsi que le style de Paul Verlaine. Dans ce poème, Verlaine nous décrit sa vision des bois de manière sinistre et exprime sa peur du lieu. Il rend le paysage vivant et joue sur les sensations. Il affirme ainsi une singularité vis-à-vis des autres.Comment l’auteur décide-t-il de refléter ses

l’auteur attire ici l’attention du lecteur sur l’importance de l’automne. Par ce meme processeus Apollinaire attribue a l’automne une sorte de caracter humain. En declarant dans son tout premier vers : « Automne malade », il fait usage d’une personnification qui ammene le lecteur a déjà etablir l’importance que cette saison a pour l’auteur. En tuilisant le proom personnel « je » au debut de la quatrieme strophe, il demontre de plus son implication mais ce qui montre reelement que Appolinaire tenait

métaphore des Animaux, qui montre, expose la sauvagerie du combat. Les aigles représentent les allemands, des êtres sanguinaires et violents qui partent à la guerre pour tuer leur proie. « Serpentaient » le serpent représente les trachées… C’est la personnification et la déshumanisation de l’homme. L'humanité est exclue d'un conflit qui met l'homme aux prises avec lui-même: « L'homme y combat contre l'homme »v. 24 B. La guerre prend de l’ampleur « Artères ferroviaires ou ceux qui s’en allaient mourir

dit la personnification vers 14  « ce soleil joyeux ». Mais également cette notion de soleil se couchant fait référence à la nature se renouvelant. Chaque matin au soleil levant, la nature renait, plus radieuse que le jour d’avant « les bois toujours verts s’iront rajeunissant » vers 10-11. Le soleil et également le symbole de la vie d’où la parallèle avec l’Homme et la fuite du temps. De plus ici, la nature est présente sous toutes ses formes, eau « des mers » vers 6, terre « les forêts » vers

comparée à une forêt. Baudelaire envisage l’univers perceptible par nos sens. La Nature est évoquée sous la forme du temple, lieu de communication privilégié entre notre existence et l’au-delà. Baudelaire renvoie peut-être à la pythie de Delphes dont les propos obscurs pour le commun des mortels étaient compréhensibles seulement pour les prêtres (le poète) qui les traduisaient à destination des fidèles. Le premier quatrain est bâti sur la double métaphore filée du temple et de la forêt. La constitution