Personnification De La Foret

printanière et romantique, la champ lexical de la nature est donc naturellement présent dans le poème : v2 « les joncs », v4 « les champs », v8 « les arbres », v9 « la rive » ou encore v12 « les oiseaux ». Tout comme les fées v3 vivent en harmonie dans les forêts, la jeune fille paraît faire partie de la nature, v2 elle est « assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants », v8 « elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ». Elle est aussi belle est simple que la nature. Son intégration dans la nature est

comparée à une forêt. Baudelaire envisage l’univers perceptible par nos sens. La Nature est évoquée sous la forme du temple, lieu de communication privilégié entre notre existence et l’au-delà. Baudelaire renvoie peut-être à la pythie de Delphes dont les propos obscurs pour le commun des mortels étaient compréhensibles seulement pour les prêtres (le poète) qui les traduisaient à destination des fidèles. Le premier quatrain est bâti sur la double métaphore filée du temple et de la forêt. La constitution

Il est, tout à la fois, le durable et le perpétuellement changeant, ce qui tient, le plus étroitement aux racines de la pensée humaine, et ce qui reflète le mieux l'évolution et les métamorphoses de cette pensée. 1.La forêt hantée Un soldat marche, seul, à travers la forêt. Minuscule, parmi les troncs des sapins immenses, serrés et compacts. On distingue à peine un sentier étroit dans la neige. L'homme est épuisé de fatigue. Cavaliers (il porte de l'uniforme des chasseurs), il n'est pas habitué

style : • Comparaison : rapprochement entre deux termes à partir d'un élément commun. • Métaphore : assimilation entre deux termes sans comparatif. • Métaphore filée : répétition ou développement d'éléments liés à une même métaphore initiale. • Personnification : représenter sous des traits humains un concept, un objet ou un animal. • Périphrase : remplace un mot par une expression de sens équivalent. • Paradoxe : proposition qui contient ou semble contenir une contradiction logique. • Hyperbole

« spirituelle »… * Caractérisation de la « musicalité » du poème ? 6 6 Soupir hémistiche Pause La nature est un temple où de vivants piliers +12 Laissent parfois sortir de confuses paroles ; Pause L’homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l’observent avec des regards familiers. 6 6 Pause (silence) Rythme binaire Rythme ternaire Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, Liaison Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Faux-ternaire = irrégulier

conscience de leur liberté. On peut le remarquer grâce à une gradation qu'il utilise, pour parler des jeunes ; vers 5-6 : « Soyez jeunes, gais, vifs, amoureux, soyez fous ! O doux amis, vivez, aimez ! Défiez-vous. » et au vers 9 : « Des cheveux en forêt, noirs, profonds, abondants ». Grâce à ces procédés, on se rend compte des qualités de la jeunesse. Quand il les utilise, il manie également des asyndètes, ce qui permet de saisir l'attention de l'interlocuteur. Il veut leur montrer que la jeunesse

omniprésente et les sentiments ont une place importante dans ce poème. Lamartine confie ses états d’âme à une nature étrangère à la souffrance humaine. Il se sert de la nature pour extérioriser ses sentiments de mélancolie : " lac! Rochers muets! grottes! forêt obscure! " (v.46). Le pauvre solitaire fait refléter ses sentiments de tristesse par des éléments appartenant à la nature : "[...] nuit éternelle[...] " (v.2). Aussi, il implore " l’aurore " (v.31) de " dissiper la nuit " (31). Axe2 : Le thème

circulaire »L 1105, «Les lierres , arrachés des murailles ébranlées, pendait comme des guenilles » L 1113 Peu à peu, le moulin tombe en ruine et le cœur de Rocreuse se meurt «La vieille roue reçut deux boulets et elle eût un gémissement suprême »( personnification ) «C'était l'âme du gai moulin qui venait de s’exhaler ». L1117.L’amour est un thème très important dans l’histoire. Zola nous montre que l’amour de Dominique pour Françoise est aveugle, mais la guerre est aussi aveugle. Françoise et Dominique

il n’intervient plus pour que le lecteur voit le paysage de ses yeux au lieu de le voir à travers les yeux de CHATEAUBRIAND. Nous pouvons voir que le texte est très subjectif. Nous relevons une métaphore pour certaines parties du paysage, la personnification de la lune « reine des nuits » l.6, « L’astre solitaire » l.6 par des périphrases et par des comparaisons « fraîche haleine » l.6, des procédés qui donne de l’importance à certains mots comme ciel remplacé par « cieux » l.10, comparaison des

Noroison, Yvain reprend son chemin. -Après : Yvain croise un lion et un serpent en plein combat, il décide de venir en aide au lion. C'est le combat d'Yvain et ses conséquences, la loyauté,qui sont racontés dans ce passage. -Après : Yvain de retour à la forêt, perd connaissance et se blesse. Le lion, le croyant mort, se prépare à se tuer. Structure du passage : -Le lion en détresse -Le combat d'Yvain et du serpent -L'humilité du lion -L'animalerie du lion. Thème : loyauté,amitié Axe/hypothèse de lecture :