Personnification Du Temps

un parc ou un jardin. II La fuite du temps : Dépérissement de la rose selon la loi de la nature. 1) la femme-fleur ***Personnification de la rose : « sa robe » v.3, « les plis de sa robe » v.5, « son teint » v.6, « ses beautés » v.9 Au second vers il y’a un changement subit par la rose avec la forme verbale du plus-que-parfait. L’enjambement des vers 2-3 couvrent le geste d’étirement (l’éclosion) que Ronsard prête à la rose. La personnification se confirme avec l’utilisation du mot « robe

et comment il prend position en faveur de l'un et s'oppose à l'autre. Dans un premier temps nous verrons comment la personnification permet de valoriser la paix et de dévaloriser la guerre. Dans un second moment nous verrons comment cette oppositions permet de critiquer la guerre. I) La valorisation de la paix et la dévalorisation de la guerre Damilaville joue sur une rhétorique très simple : la personnification, l'anaphore et la métaphore pour la valoriser la paix et dévaloriser la guerre. Damilaville

subsister (v.10) Jusqu'à la saison nouvelle. (v.11) Je vous paierai, lui dit-elle, (v.12) Avant l'août, foi d'animal, (v.13) Intérêt et principal. (v.14) La Fourmi n'est pas prêteuse ; (v.15) C'est là son moindre défaut. (v.16) Que faisiez-vous au temps chaud ? (v.17) Dit-elle à cette emprunteuse. (v.18) Nuit et jour à tout venant (v.19) Je chantais, ne vous déplaise. (v.20) Vous chantiez ? j'en suis fort aise : (v.21) Et bien ! dansez maintenant. (v.22) Livre I , Fables

47 - "une flute lugubre" page 49 plan: I. La violence et la cruauté de l'Homme: 1. un fonctionnement mécanique et instinctif, une absence de conscience 2. Animalisation de l'Homme 3. L'isotopie de la violence II. La place de la Nature : 1. Personnification de la nature 2. Le lézard, une métonymie de la nature? 3. les signe d'une "réaction" de la nature III. Emergence d'un questionnement philosophique sur la vie: 1. La multiplication des questions 2. de la gêne a la prise de conscience 3. un

l’ombre des jeunes filles en fleurs », deuxième tome de La Recherche du Temps Perdu de Marcel Proust. Cet extrait se focalise sur les souvenirs du narrateur : ici, ce sont ceux concernant Mme Swann qui sont mis à l’honneur. L’aspect temporel, récurrent dans l’oeuvre de Proust, est encore bien présent dans ce passage. L’auteur jongle avec les figures de style telles que la comparaison, la métaphore, le chiasme, la personnification et l’allitération. Les différents aspects stylistiques de l’extrait comme

AUBE Arthur Rimbaud     Arthur Rimbaud est en même temps l’auteur et le narrateur. Temps : On remarque trois verbes à l'imparfait dont deux sont négatifs et l'autre est positif, c'est un verbe d'état suivi d'un adjectif qui marque lui aussi la même idée d’immobilité. On retrouve « j'ai marchais » (vers 3) qui est au passé composé et va permettre la transition avec le passé composé. C'est un mouvement provoqué par le fait qu'il marche donc par le pouvoir qu'il semble acquérir. Par contre

civilisations. Nous montrerons comment Paul VALERY utilise les leçons de l'histoire pour amener son lecteur à réfléchir aux menaces qui pèsent sur le présent. Nous verrons dans un premier temps que VALERY propose un parallèle entre les civilisations disparus et le désastre de la 1ère guerre mondial. Pour aboutir dans un second temps à une remise en question des fondements de la civilisation et du progrès. > sa réflexion s'enracine dans une lecture de l'actualité : L.16 : « France,Angleterre,Russie »

guerre. Dans un premier temps, nous parlerons du contraste et de l'harmonie entre le soldat et la nature puis dans un second temps, nous analyserons le choc de la mort a laquelle nous nous attendions pas. 1ere parti: A premiere vue, le texte présente un jeune soldat (v.5) dormant tranquillement dans la nature. Le premier quatrain evoque "le val" (titre) comme un lieu paisible et joyeux. La riviere " chante" (v.1), la montagne est "fière" (v.3), ces personnifications donnent l'impression d'un

réels. Le passage étudié se situe peu de temps après la révolution,lors de la mobilisation de royalistes, et au début de la guerre des chouans, en France mais plus particulièrement en Normandie. L'extrait proposé est, pourrait on dire, un éloge du personnage principal de l’œuvre : Le Chevalier Des Touches, et souligne tout d'abord l'omniprésence de la narratrice. L’auteur démontre ensuite le portrait d'un héros et met enfin en évidence la personnification de la cruauté . Dans cette présentation

commence à être excédée par les questions d’Orgon. · L’apostrophe : « Mon Dieu » (v.1362), qui confirme cela. · La modalité injonctive à valeur d’ordre : « Laissez faire » (l.1362). · La métaphore : « J’ai mon dessein en tête » (v.1363). · La personnification : « Et vous en jugerez » (v.1363). · La rime suffisante et féminine : « Nécessaire (v.1631) / Faire (v.1362) » montre en effet que son stratagème est essentiel, et qu’Orgon a tout à gagner s’il lui obéit. · Le caractère vif de l’épouse d’Orgon