Personnification Du Temps

est de transmettre une morale, mais comment l'auteur s'y prend-t-il ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons tout d'abord à la double personnification présente ainsi qu'à l'aspect satirique de cette fable. Tout d'abord, ce qui fait de cette fable un véritable chef d'œuvre, c'est la figure de style dominante: la personnification. Alain, durant toute cette fable fait en sorte d'attribuer des caractères humains à des êtres non humains. Nous pouvons dès lors remarquer les majuscules

I. La double personnification 1.1 L’hideuse vérité... •Une personnification péjorative On remarque qu’une première partie de la fable (du vers 1 à 6) est dédiée à la présentation péjorative de la vérité. - La vérité est mise en scène dès le premier vers par « La vérité toute nue ». Il s’agit là d’une personnification qui se prolongera tout au long de la fable. De plus, le fait qu’elle soit nue donne l’idée de pauvreté. Celle-ci se remarque aussi par « ses attraits

Pour montrer que la personnification de la Lison est flagrante, nous verrons tout d’abord les caractéristiques humaines attribuée à la Lison, puis en second plan, la déchéance jusqu’à la mort de la locomotive démontré. Dans cet extrait, la comparaison entre la locomotive et un cheval se fait par le biais de plusieurs comparaisons, personnifications, voire gradations. Elles souvent liés, en effet dans ce texte, les comparaisons parfois sont aussi des personnifications. Les indices spatio-temporels

Charles, une femme malade mariée et qui meurt de cette maladie Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois se retrouve donc seul au bord du lac du Bourget ou leur amour avait commencer. Il exprime ses émotions par rapport au temps qui est dévastateur et ou seul le souvenir peut le combattre. Le « lac » est un poème des médiations poétique écrit en 1820 ou le poète livre son état d’âme après un amour tragique, il y exprimera son deuil et ses pensé pour

n°4 – De l’eau, Francis Ponge. Ce poème n’est-il qu’une définition de l’eau ? I-Tente d’établir un semblant de définition de l’eau. 1- L’écriture de Ponge, les nombreuses figures de style. 2- On notera la place importante qu’occupe la personnification-matérialisation. 3- Utilisation d’un vocabulaire scientifique pour crédibiliser son semblant de définition. II- L’échec du poète face à son besoin de définir l’eau. 1- Retournement de situation ? 2- La frustration de cette incapacité

laisse penser la documentation dont Zola s’aide. Pour ce faire, il faut étudier la présentation d’une peinture réaliste, et donc l’ampleur du paysage, et l’écoulement du temps qui s’exprime par les indications temporelles, et l’évocation des couleurs. Il y a également une vision poétique avec la métaphore de la mer, et la personnification de la terre. Comme dans tout roman réaliste, nous avons la présentation d’un lieu. Nous avons en premier la description du lieu de l’action, qui sert de décor et

celui qui est représenté. Cette personnification passe évidemment par d’autres vecteurs que la représentation, mais l’évolution de cette représentation se fait invariablement en parallèle avec un changement au sein de la société jusqu’à la tête du pouvoir. Ainsi, nous allons, à travers la question suivante, analyser ce parallélisme entre représentation et société : Comment évolue la personnification du pouvoir par le chef d’Etat ? Nous verrons donc dans un premier temps la facette de la représentation

dissertation : La cloche fêlée, Les Fleurs du Mal, Baudelaire, 1861, Introduction La cloche fêlée se situe dans la rubrique Spleen et Idéal des Fleurs du Mal et s’inscrit dans l’expérience du spleen, état profondément mélancolique lié au temps, à l’accablement du souvenir et à l’ennui psychologique. Ce sonnet constitue une des multiples expressions du spleen en rapportant l’angoisse existentielle et métaphysique ressentie par le poète face à la mort. L’évocation de cette dernière repose

psychologique : Le soleil de l'enterrement, image du temps immobile 2. Le soleil comme destin tragique : Toutes les images liées à l'évocation de l'apocalypse, vocabulaire qui évoque le lyrisme de Noces. Une fois de plus un élément extérieur, ici la personnification de la chaleur, montre à quel point elle est devenue atroce. (« son grand souffle chaud »). C'était le même soleil, la même lumière sur le même sable qui se prolongeait ici.» Le temps semble de toute façon s'être même immobilisé:

tranquilité du 1er quatrain: « un bruit sourd », « un lourd vaisseau », « battant ». Le bruit sourd vient perturber la sultane qui joue de la guitare. 1er quatrain: 3 personnifications --> la Lune, la fenêtre et la mer « La Lune »--> « sereine » et « jouait »--> personnification « La fenêtre »--> « libre »--> personnification 1 anaphore: en début de chaque vers « La » Les vers sont des alexandrins. Rimes embrassées. 2è quatrain: allitérations en « r » et « s » & impression d'oppression