Personnification

elle établit un rapprochement entre un comparant et un comparé sans outil de comparaison. La métaphore filéé est plus longue, elle s'étend sur plusieurs lignes. - La personnification: il s'agit d'une figure qui attribue à un objet les caractéristiques d'un être humain. - L'allégorie: il s'agit d'une personnification d'une idée abstraite. On lui attribue les caractéristiques d'une personne humaine. - La périphrase: c'est un procédé par lequel on désigne un terme par une expression

L’antiphrase : Ecrire le contraire de ce que l’on pense (Ironie). L’antithèse : Rapprochement de deux mots pour garder la surprise (« Je vis, je meurs, je brûle, je me nois »). La personnification : Donner des qualités humaines à quelque chose qui n’est pas humain. La chosification : Contraire de la personnification. La matérialisation : Quelque chose d’abstrait devient concret (Amour  Cupidon). L’abstraction : Contraire de la matérialisation. L’hyperbole : Exagération emphatique (=Flagrante)

exprimé. L’allégorie : Représente de façon imagée par des éléments descriptifs ou narratifs les divers aspects d’une idée. Rends concrète une idée abstraite. Comparé : abstrait Comparant : concret Proche de la personnification= apporte valeur symbolique La personnification : Représente une chose, un animal, idée sous les traits d’une personne. (Cf. : fables de La Fontaine) II) Les figures par substitution La Métonymie : Désigne chose par un terme proche de la chose désignée. Car

figure de style : la personnification. Les animaux sont en quelque sorte humain, ils parlent ; de plus c'est dans un très haut français que s'expriment ces bêtes, et ça rajoute du « piment » à ce récit, il est plus vivant. Il y a aussi un monologue : celui du Maître. Ce monologue ainsi que les dialogues ne sont pas indispensable au déroulement de l'histoire ce qui est encore une fois un des procédé utilisé par La Fontaine pour embellir le texte d'origine. La personnification quant à elle est une

l’hyperbole ou encore l’emphase. Litote (féminin): Une litote consiste à dire moins pour suggérer davantage. La litote s’oppose à l’euphémisme. Exemple: l’énoncé «Il n’est pas laid.» pour dire «Il est beau.» est une litote. Personnification (féminin): La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Métaphore (féminin): c'est une comparaison sans outil grammatical. La relation entre le comparé et le comparant est donc beaucoup plus forte.

-Elle est explicite lorsque les deux termes rapprochés sont mentionnés tout les deux. -Elles est implicite lorsque seul le comparant est mentionné. -La personnification est une métaphore qui confère des caractéristiques humaines à une entité abstraite, à un objet ou à un élément naturel. -La prosopopée est une personnification qui va jusqu'à prêter la parole à une entité abstraite, à des êtres inanimés ou à des disparus. -L'allégorie présente une entité abstraite sous un forme concrète

Métaphore : même principe que pour la comparaison sans « comme… », etc. Ex : « Il pleut des cordes » (on compare la pluie à des cordes sans passer par l’outil de comparaison) Personnification : représente une chose ou une idée sous les traits d’une personne. Allégorie : même principe que pour la personnification, cependant ne représente concrètement qu’une idée abstraite. Souvent repérable par une majuscule. Ex : « Le Temps mange la vie », la Statue de la Liberté allégorie de la liberté.

retrouve aussi, à l’intérieur du deuxième quatrain, la triple utilisation du mot « or » en guise d’anaphore. Cela révèle que le chevreuil est constamment en mouvement pour modifier sa position dans la nature. L’homme de lettres fait usage d’une personnification en affirmant : « où son pied le conduit », il remplace donc les sabots du chevreuil par les pieds d’un être humain. De plus, l’auteur fait l’usage d’une inversion en affirmant : « de rets ni d’arc sa liberté n’a crainte», ce qui établit la crainte

que le spasme de vivre» (2 fois) «Pleurez, oiseaux de février» (2 fois) «Ma vitre est un jardin de givre» (2 fois) II- Anaphore: «Pleurez, oiseaux de février Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses» c) figures d'analogie I- personnification: «Pleurez, oiseaux de février» II- métaphore: «Ma vitre est un jardin de givre» 2. «Maison fermée» a) Les figures phoniques I- Allitération: «Quand le froid casse les clous dans les planches» (imite le bruit d'un cassement)

plusieurs phrases, on parle de métaphore filée. Dans le Chapitre I, paragraphe 2: métaphore qui assimile l’idée de la mort à un spectre de plomb - métaphore filée qui se poursuit dans le paragraphe 5. c) La personnification : (à travers l’emploi de la voix active/passive) La personnification est un cas particulier de la métaphore ou de la comparaison, dans lequel le comparé est une chose, un être non humain, ou une idée (paragraphe 5 du chapitre I), et le comparant une personne. Mohammed Bouchriha