Personnification

d’évasion de leur monde et leur époque de la part des auteurs. Dans ces textes, de nombreux verbes sont à la première personne : « viens », « demande », »donnerais », « crois », « me souviens », « aimais », « roulerai ». Aussi, il y a deux personnifications qui représentent ce « je » : « moi seul » et « mon âme ». Enfin il y est présent les déterminants possessifs « mon », « ma », « mes » ou le pronom « moi ». Nous voyons donc que la première personne du singulier est accentuée et mise en évidence

Épitrochasme (l1) Accumulation des termes cours qui représente quatres différents vices. - Personnification (l2) Répétition de “nos”-oxymore ‘aimable remord’ (l3) Assonance en [i] : “lésine”, “vermine” - Antithèse (l5) - Personnification de “péchés”- Champ lexical de souffrance morale (remords, repentirs, aveux, pleurs, tâches)- Antithèse (l7-8)- (gaiement /bourbeux) - Champ lexicale de

qui attireront leur attention. Les enfants en bas âge ne sachant pas lire, il faut que les marques se fassent reconnaitre d’un autre moyen pour installer une relation entre le produit et l’enfant. Ainsi il existe plusieurs principes comme la personnification, la pertinence du message et son assiduité. Un monde idéalisé avec des personnages rassurants qui les renvoient à l’univers des contes. Le packaging est donc très important pour les enfants car il leur permettra de reconnaitre le produit sans

sont à l’imparfait (« chantait » v1, « soufflait » v2) ce qui montre que Baudelaire évoque un souvenir de jeunesse témoignant d’une certaine mélancolie. Au début du vers 1, « la diane » est personnifiée grâce au verbe « chantait ». Cette personnification rejoint la thématique de la boue et de l’or étant donné que « la diane » qui est une sonnerie stridente pour réveiller la caserne fait ici l’action de chanter. Ainsi, Baudelaire trouve de la beauté dans ce qui semble laid. D’autre part

double ici : elle se présente sous la forme d’une double personnification de la fable et de la vérité, c’est-à-dire d’un genre et d’une valeur en apparence opposés. Toutes deux sont représentées sous la forme de deux femmes diamétralement opposées par l’âge et la tenue. Les deux premiers vers réactivent un proverbe éculé, « la vérité sort du puits », grâce au passé simple, à l’indication de temps « un jour » et à la personnification. L’adage impersonnel perd son abstraction. La vérité

de la fenetre qui lui permet de faire decouvrir le paysage qu’il voit. De plus, il decouvre une ville Industrielle en la decrivant par > (V6), (v7) et ces > (v7) qui est une metaphore aux chemines de la cite. Une ville > (V6) qui est une personnification ou il fait reference au bruit a l’activite des usines de l’industrie. Le paysage urbain reel demontre aussi un poete observateur depuis sa fenetre et une omnipresence du ciel en utilisant les mots de ce champ lexical: (V2), > (V19), (V17) et

cela, il s'adresse plus aux sentiments du lecteur qu'à sa raison, en jouant par exemple sur le registre pathétique. Le poète cherche aussi à créer des images fortes grâce à des figures de style comme des comparaisons, des métaphores, des personnifications ou des allégories. Il utilise aussi des anaphores pour mettre certains éléments importants en valeur. Pourtant les arguments sont aussi présents dans ce type de poésie. La visée de la poésie engagée: -rendre hommage à une personne, une

donc l’infériorité de l’Homme face à la Nature, mais démontre ensuite la dépendance que l’Homme a sur celle-ci. À travers le poème, Baudelaire utilise la personnification de la nature pour démontrer son infériorité à l’incomprehensible. Tout d’abord, la majuscule de “Nature” au vers 1 présente une grande importance. Cette personnification de la nature démontre l’inévitable. Aussi, en associant la nature à des “vivants piliers” (vers 1) démontre qu’elle est la base de la vie, comme des piliers

font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous au côté droit. Octobre 1870 . Arthur RIMBAUD, Poésies, 1870-1871 QUESTIONS I. La personnification de la nature 1. Qu’est-ce qui permet de dire que ce texte est une poésie. Appuyez-vous au moins sur trois éléments. (1.5 point) 2. Vers 2-3 : « Accrochant follement aux herbes des haillons d’argent ». Quelle est la figure de style

négative : «Après ces longs mois, pas une goutte d’eau n’avait rafraîchi la ville »(L18) ♦ La MER : elle fait sentir sa présence menaçante → « soulevée » et « toujours invisible »(L30) - La ville maudite ou la « cité empestée »(L15) → personnifications : « le vent seul y poussait des plaintes continues (L29) – les cris du vent (L32) - les habitants accusaient le vent de transporter les germes d’infection(L37) ». La ville d’Oran est dominée par le vent qui est perçu comme un être maléfique.