Perte D Humanité

TEXTE 4 Andromaque, Acte III, scène 8 (extrait) Lecture Linéaire Introduction : … Devant l’ultimatum de Pyrrhus qui lui impose le dilemme de l’épouser – sauvant ainsi son fils –, ou de refuser – causant ainsi la perte de son enfant –, Andromaque ne parvient pas à se résoudre à trahir la mémoire d’Hector et des Troyens. Céphise, voix de la raison d’Andromaque, tente dans cette scène de la raisonner afin de laisser vivre Astyanax. Andromaque, dans cette tirade, explique

part de cette capacité individuelle, les sociétés riches ont construit des richesses mais on se rend compte que de plus en plus d’écart se construise par rapport au droit de se loger, se nourrir, se soigner et que pour ces personnes cela engendre la perte. L’indivisibilité est importante car plus les personnes sont en difficulté sociale moins les personnes seront capables de définir ce qui est essentiel pour eux. Cette question de l’indivisibilité permet de définir la citoyenneté d’un point de vue

Condillac (1715-1780), représentant éminent de l'empirisme français, et qui trouve un prolongement matérialiste avec Helvétius (1715-1771), d'Holbach (1723-1789), La Mettrie (1709-1751) et Diderot. Alors que la vie sur Terre était menacée : perte, épidémie, famine, on croyait au bonheur après la mort. La classe montante était la bourgeoisie, elle va demander plus de liberté et la fin des privilèges. Les idées de l'époque étaient le progrès et la justice. A coté du courant rationaliste, il y

hommes peuvent vivre pour autre chose que pour heureux, n’est-ce parce qu’ils ont en vue des fins plus nobles que leur bonheur personnel  ? N’est-ce pas en visant de telles fins que nous pouvons donner un sens au fait de notre humanité  ? Comme nous l’avons montré dans notre première partie, le bonheur constitue sans doute la finalité naturelle de l’existence humaine. L’homme est un être sensible et comme

8, avant que cette jeune fille devienne le symbole du temps qui passe : "qui m'a fui" v.10. Baudelaire = transformation du cadre de l'idylle avortée car on est dans "Tableaux Parisiens", "la rue assourdissante" un cadre anthropomorphe, mais une humanité sauvage avec la rue qui hurle : lieu d'aliénation. Un hurlement qui apparait jusque dans la proximité des sons vocalique même si il n'y a pas de hiatus. Baudelaire perverti le locus amenés de la rencontre. 2) Un cadre en mouvement Jeune

représente lui-même, vision que le peintre a de lui-même→ exprime ressenti intérieur _jeu sur les boutons et les points de la cible, + différentes zones de la cible avec différents fonds circulaires → homme réduit à une cible vivante, perte de son individualité et humanité, « chair à canon » 6)tableau de confrontation Doc.3 Doc.1 Doc.2 Doc. 4 thématiques _absurdité des motifs de la guerre _arbitraire de la guerre _gens se battent une cause inconnue _guerre au quotidien, concrète _absurdité

partage par tous « Dans la revolte, l’homme se depasse en autrui » Y a il une haine dans la revolte ? Selon Camus, il n’y a pas de ressentiment dans la revolte. L’homme de revolte eut conserver son humanite alors que l’homme de ressentiment est envieux , il veut conquerir ce qu’il n’a pas. La perte du sacre et la revolte Dans les societes ou le sacre predomine, la religion donne toute les reponses, valeurs, regles de conduite. En occident , la secularisation a entraine la fin des reponses absolues

dépravées avec un taureau. De cette union contre nature est né le Minotaure. Ce feu qui brûle son corps, Phèdre l’appellera "Vénus toute entière à sa proie attachée", car la déesse de l’amour poursuit Phèdre de sa haine et œuvre incessamment à la perte de sa famille. Une présence continuelle des Dieux Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours

nécessaires de la nature, n'a même de sens que si on croit également que la nature se prête au déterminisme, c’est-àdire aux mêmes causes, aux mêmes effets. Enfin, la raison doit elle-même faire l’objet d’une croyance. L’exigence morale, qui fonde notre humanité, qui nous distingue des animaux, n’est pas démontrable scientifiquement. Il faut nécessairement croire que l'humanité peut se conduire moralement et donc en la liberté humaine. En philosophie même, l'effort pour se libérer de nos opinions peut-il

personnes ont tendances à se déculpabiliser car souvent, ils se disent que c'est la faute à leurs supérieurs et qu'elles obéissent simplement. Néanmoins, cela leurs permets de faire ce qu'ils ont à faire sans aller au-delà de leur conscience et de leur humanité car ils se disent qu'ils n'ont pas le choix et qu'ils doivent obéir, allant parfois jusqu'à faire du mal sur une autre personne. Parfois oubliant même que l'autre est aussi un être humain et qu'il soufre également. On peut démontrer cela par une