Peterloo Massacre

arménien  1915-1917 Le mot « génocide » a été formé en 1944 par le professeur Raphael Lemkin à partir d’une racine grec : genos signifiant « naissance », « espèce » ou « genre » et du suffixe cide, qui vient du latin caedere et qui veut dire massacrer, tuer. Quant à sa définition, le terme génocide désigne une extermination physique, voulue et programmée d’un groupe en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales. Mais celle-ci fait polémique auprès des historiens dont certains

Bibliographie I – Introduction : Présentation de la notion de génocide La notion de massacre de masse n’est pas nouvelle dans l’Histoire du monde mais celle de génocide est beaucoup plus récente. Le terme de génocide vient du grec genos, qui signifie espèce, race et du suffixe –cide, signifiant tuer, massacrer. Ce terme a été créé en 1944 par Raphaël Lemkin, juriste polonais, pour définir les massacres des juifs par les nazis. Le génocide est fondé sur la discrimination d’une population, considérée

d’un prêtre catholique etd’un jeune enseignant anglais le massacre se fera sans tarder.. Une vision barbare ressort de ce film. En effet, le réalisateur n’hésite pas à nous montrer l’horreur des massacres en éveillant nos sens tel que la vue et l’ouïe. Le choix de filmer le sordide permet au réalisateur de toucher au plus profond l’humain et de remettre en question la notion d’humanité. Des scènes ou quelques tutsies se font massacrés à coup de machettes (homme, femmes, enfants, bébés compris)

quelqu'un. • Massacre : Un massacre est le meurtre d'une fraction non négligeable d'une population humaine ou animale. Le massacre peut notamment répondre à une logique d'extermination, à une logique de punition (massacre de représailles perpétré par un régime en réponse à l'assassinat de l'une de ses personnalités) ou à une logique de terreur, comme dans le cadre d'une guerre, pour démoraliser l'ennemi. Certains massacres sont perpétrés pour des raisons religieuses (massacre de la Saint-Barthélemy)

l'aube des temps » ainsi que« ce sombre cortège n'a pas de fin » pour désigner que la guerre est de tous les temps. 4. Le narrateur confère une force persuasive dans son intervention en utilisant un champ lexical apocalyptique: « horreur », «massacrés », « réfugiés », « fusillés », « suppliciés », « mort », « violences », « terreur », « sang »... elle s'exprime en utilisant des gradations «les violences ne cessent de se chevaucher, la terreur de régner, l'horreur de recouvrir l'horreur ». . L'auteur

une société civilisée, pourtant en 1995 en Bosnie, à quelques 1000 kilomètres de la Belgique, 6000 à 8000 hommes se sont fait massacrer après le démembrement de l’ex-Yougoslavie. Et personne n’a agit directement pour les arrêter. Les massacres et les génocides du siècle dernier et en ce début de 21ème siècle furent nombreux : le génocide arménien, l’Holocauste, le massacre de Srebrenica, les génocides au Rwanda, au Burundi, au Congo, au Soudan,… Les victimes crient vengeance et exigent que les

Nankin Aujourd’hui Aujourd'hui au Japon, certaines personnes, dont des politiciens de haut rang, nient publiquement l'existence du massacre ou remettent en cause le nombre de personnes tuées et son importance dans l'Histoire. En avril 2005, apparaît au Japon des manuels scolaires minimisant l'importance du massacre de Nankin, provoquant de violentes manifestations antjaponaise en Chine. En novembre 2006 commençait l'année de la culture de la Chine au Japon en signe de réconciliation entre les

Ecriture d’invention, Massacre de la Saint-Barthélemy 1572. Lettre écrite par un catholique, survivant du Massacre de la Saint-Barthélemy. Cette lettre avait été retrouvée quelques jours avant la mort de ce dernier en 1580. C’était le 24 Aout 1572, jour de la Saint-Barthélemy mais aussi le jour ou avait commencé le massacre religieux. Cette guerre de religion était du à un désordre complexe de facteurs multiples, aussi bien religieux et politiques que sociaux. Elle était la conséquence des déchirements

perd des batailles, commence à fatiguer. Une division de soldats du Reich entreprend de regagner les villes du centre puis du nord de la France. Sur son chemin, elle choisit de décimer au hasard un village paisible du Limousins Oradour-sur-Glane. Ce massacre s’avère être un bon moyen de marquer les consciences, de semer la terreur et de réaffirmer la supériorité des Nazis…Aucun des habitants ne sera épargné. Les hommes sont fusillés, les femmes et les enfants sont brûlés vifs dans l’église.

1)Oradour sur Glane,le Massacre d'un petit village français. Oradour-sur-Glane est le nom d'un petit village du Limousin, à 22 kilomètres de Limoges de 1574 habitant. À partir de 1939, Oradour accueille des réfugiés : des Espagnols républicains chassés par le franquisme,des évacués d'Alsace (qui est occupé par les Allemands), des expulsés francophones suite à l'annexion de la Moselle en 1940, et enfin des Juifs français et étrangers fuyant les persécutions racistes. En mai 1944, la deuxième division